Iln'y aura pas de retour à la vie d'avant Temps de lecture : 2 min. Repéré par Léah Boukobza — 2 octobre 2020 à 15h18. Le biais de la normalité nous pousse à croire qu'un changement est Les SECRETS pour Avoir un MENTAL au TOP !Rejoignez le " CLUB BOOSTER SA VIE " et recevez des conseils, tactiques pour changer et transformer durablement votre vie + le GUIDE GRATUIT "Comment Avoir un Mental de Champion".Entrez votre Prénom et adresse email et cliquez sur le traitons avec sérieux vos données personnelles. Pas de spam. Voir nos conditions et confidentialité ici..J’en suis sur aujourd’hui, il n’y a pas de hasard dans la vie. tout ce que vous attirez dans la vie dépend de vos pensées et de vos plus, ce n’est pas au hasard de décider de votre vie, mais c’est à tu dois comprendre une chose importante, Il n’y a pas de hasard dans la vie et tu es au commande de ta très important de comprendre que tu es au commande de ta vie et que personne d’autre que toi, dois diriger ta il n’y a pas de hasard dans la vie ?Selon moi, il n’y a pas de hasard dans la vie et je vais vous expliquer jour, un de mes amis m’a proposé de venir assister à un séminaire donné par un grand leader d’une société de vente de par l’offre, j’ai accepté, étant à mille lieues de me douter du raz de marrée qu’allait provoquer cette rencontre dans ma me suis rendu avec mon ami, à ce séminaire, sans arrière-pensée, sans a la seule intention de passer un bon moment et de profiter de l’expérience qui mettait découvert un leader d’un charisme personne sûre d’elle, nous à parlée pendant plus d’une aucun moment elle a parlé de son entreprise ou de ses a parlé de nous, de qui nous étions, et de qui nous devrions personne s’intéressait à nous et pas à autre ne vendait rien et elle ne cherchait pas à seul but était de nous aider et de nous faire prendre conscience que nous étions les personnes les plus comme un enfant qu’on prend par la main et à qui ont montre le les opportunités qui se c’était la première fois que l’on me disait Qu’il n’y a pas de hasard dans la j’étais la personne la plus importante,Ou encore, qu’il était indispensable de croire en moi,Que j’avais le potentiel pour réaliser de grandes choses,Et que personne n’avait le droit de décider de ma vie à ma plus d’une heure, je l’ai écouté sans dire un buvais ses paroles, j’étais sous le l’impression de me sentir revivre, comme si je venais de me réveiller après un long, un trop long enfin, je voyais clair en comprenais que je m’étais trompé depuis des savais que j’avais perdu un temps précieux à écouter les mauvais conseils, les mauvais dictonsEEt J’avais laissé aux autres le soin de décider pour moi, de décider de ma vie, de mon métier, de mon alors que j’avais la possibilité d’être moi, j’étais un pris une sacrée claque ce mes certitudes d’un seul coup ont volé en ce que j’avais appris jusqu’à aujourd’hui sur ma manière D’être,De penser,De me comporter,De voir le monde qui m’entourait,De voir mon remis en question pour mon plus grand que je devais m’en plaindre ou bien devais-je en être heureux, je ne le savais pas mon avenir, allait me le faire découvrir bien plus tôt que je ne le voyais clair et une personne avait osé enlever le voile qui obscurcissait ma ne remercierai jamais assez mon ami de m’avoir fait découvrir tout cela et de m’avoir présenté à cette vie n’a plus jamais été la même et pour mon plus grand n’y a pas de hasard dans la pensez certainement que cette rencontre est due au hasard et que c’est grâce à lui que j’ai eu la chance de croiser le chemin de cette l’époque, je suis à peu près sûr que j’aurais pensé comme je suis convaincu que le hasard n’a rien à voir la dedans et que c’est moi qui est provoqué cette rencontre sans le l’époque, je remettais souvent en question certaines je commençais à prendre conscience que les choix qui m’avaient été imposés ne me convenaient pas rêvais d’autre chose, d’une autre vie d’un nouveau métier, même si tout cela était encore flou dans mon le savoir, j’avais commencé à emprunter le chemin qui me mènerait là où je suis aujourd’ devez être persuadé qu’il n’y a pas de hasard dans la en agissant de la sorte et en sans le savoir, que je me suis retrouvé dans cette là à écouter cette personne et à prendre conscience que je devais prendre ma vie en n’a pas été simple, et cela ne c’est pas fait sans même si cela a pris du temps, je suis heureux d’avoir été à ce séminaire et si c’était à refaire, je referais la même de personnes peuvent comprendre ce que j’ai ressentie ce jour-là, à part celles qui comme moi décident de leur vie en toute la fin, du séminaire, mon ami m’a présenté à cette avons passé un long moment à échanger et nous sommes convenus de nous m’a fait découvrir le développement personnel, les grands auteurs, le pouvoir de la pensée ainsi que la loi de l’attraction. Même si lui l’appelait eu la chance d’être invité à la table d’un très grand leader mondial avec qui j’ai échangé pendant quelques il n’y a pas de hasard dans la vie et comment cela est-il arrivé ?À bien y réfléchir, simplement parce qu’à un moment donné de ma vie, j’ai cherché autre chose que ce que l’on me mis en action des forces que je ne soupçonnais pas et tout doucement, avec le temps, elles m’ont conduit D’action en action,D’expérience en expérience,parfois d’échec en échec,et de réussite en réussite,Là où je voulais être un jour, et là où je suis aujourd’ serein, heureux de la vie que je mène, apaisé et fier de mon parcours, parce que je l’ai qui m’ont connu il y a bien longtemps avant que ces changements se produisent, seraient surpris de me voir aujourd’hui, ils ne me reconnaîtraient, tant j’ai n’êtes pas obligé de me sais qu’il est difficile de croire que de tels changements puissent se produire. Je n’oblige personne à le faire, je n’en ai pas est libre de croire ou non qu’il Est responsable de sa un grand potentiel,Est capable de bien plus de chose qu’il ne le encore qu’il doit croire en oublier qu’il est responsable de sa qu’il doit se prendre en est libre d’ouvrir les yeux et de voir plus loin que son horizon, d’oser croire que c’est possible et qu’il a un grand avenir, s’il le n’êtes pas obligé de me croire, lorsque je vous dis que Rien n’est simple,De nombreux obstacles se dresseront devant devrez surmonter de nombreuses persévérance est devrez bousculer vos que vous devrez parfois vous battre contre compte, il y a une certitude que j’ai vérifiée à de nombreuses reprises au cours des années qui ont suivi cette rencontre, il n’y a pas de hasard dans la ce que m’a dit la personne que j’ai rencontrée le jour du séminaire. N’oublie jamais, que ton plus grand ennemi, c’est toi. Tu devras te battre contre toi-même, contre tes certitudes, tes doutes et tes peurs. Et tu réussiras, seulement, si tu gagnes se combat ».Pour allez plus loin Comme vous l’avez compris, il n’y a pas de hasard dans la vie et vous êtes responsable de vos est temps pour vous de réussir et de remplacer vos mauvaises habitudes par de bonnes habitudes plus tant qu’à faire, pourquoi ne pas en créer de nouvelles qui vous ouvriront la porte de vos attentes ?Comme l’a écrit le poète français Paul Eluard Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous ».A partir d’aujourd’hui si vous voulez changer votre vie, vous devez Arrêter de croire que réussir est une question de arrêter de mettre votre vie entre les mains du la décision de prendre votre vie en main et mettez en place votre plan pour atteindre le SECRETS pour Avoir un MENTAL au TOP !Rejoignez le " CLUB BOOSTER SA VIE " et recevez des conseils, tactiques pour changer et transformer durablement votre vie + le GUIDE GRATUIT "Comment Avoir un Mental de Champion".Entrez votre Prénom et adresse email et cliquez sur le traitons avec sérieux vos données personnelles. Pas de spam. Voir nos conditions et confidentialité ici.. Jen'aide pas mon mari à cuisiner parce que moi aussi j'ai besoin de manger, donc, il est nécessaire que moi aussi je cuisine. Je n'aide pas mon mari à faire la vaisselle, je le fais car moi
Ne pas faire l'amour pendant un certain temps peut être salutaire pour certains. Getty Images "J'ai connu une première histoire d'amour assez longue, du lycée jusqu'à la fin de mes études supérieures, raconte Céline, 34 ans. Mais finalement, nous nous sommes séparés. J'avais alors 23 ans. Et pendant presque quatre ans, il n'y a eu personne. Je ne saurais pas trop expliquer pourquoi. Est-ce que j'avais besoin de faire mon deuil de celui dont je pensais qu'il serait le père de mes enfants ? Est-ce que j'étais accaparée par le début de ma vie professionnelle ? Difficile à dire, mais le fait est que pendant quatre ans, rien." Un no man's land sexuel que la jeune femme n'a pas vraiment mal vécu. "Je me sentais bien sûr un peu seule parfois, mais je ne peux pas dire que j'ai éprouvé un manque physique. D'abord, j'ai toujours été assez décomplexée au sujet de la masturbation, donc le plaisir, je savais comment le trouver. Ensuite, ces trois années ont été riches de rencontres amicales et d'expériences professionnelles." LIRE AUSSI >> Asexuel peut-on s'aimer sans jamais faire l'amour? "Une véritable pression sociale""Et puis je m'occupais de moi, je n'oubliais pas pour autant que j'avais un corps, reprend Céline. Mon entourage s'inquiétait plus que moi à vrai dire. Il y a une véritable pression sociale sur le sujet." Cette période d'abstinence prend fin un beau jour de décembre. "Une soirée chez des amis, 'il' était là, j'étais sans doute prête et je me suis réveillée chez lui. Ça n'a pas duré, mais quelques mois après, j'ai rencontré mon mari. Et sexuellement, ça se passe très bien", souligne la jeune femme. Céline ne regrette pas ces années sans sexe. Avec le recul, elle confie avoir appris à se suffire à elle-même, à ne pas compter sur un autre pour se sentir "entière". "Surtout, je ne me serais pas respectée de faire l'amour sans en avoir envie. Qu'il n'y ait pas de sentiments, ce n'est pas un problème. J'ai connu de très belles rencontres d'un soir. Mais il faut du désir. Et à ce moment-là, je n'en avais pas. Il était peut-être ailleurs, sur le plan professionnel ou amical. Quand il est revenu, c'était encore plus fort qu'avant, je me suis découvert une sensualité que je ne me connaissais pas. Peut-être avais-je besoin de me prouver certaines choses, de ne plus faire l'amour pour comprendre à quel point j'aimais ça." "Oui, les mains d'un homme sur mon corps me manquent"Autre histoire, autre ressenti, celui d'Armelle, 42 ans. Cela fait deux ans qu'elle n'a pas eu de rapports sexuels. "J'ai divorcé de mon mari, qui est parti pour une autre. Je commence tout juste à remonter la pente. Mes amies me disent de m'inscrire sur Tinder, mais je n'en ai pas la force. J'ai trop peur de ne pas trouver un seul homme qui s'intéresse à moi. Et puis l'idée de me mettre à nu devant un inconnu, à un âge où le corps n'est plus aussi tonique, avec les stigmates de mes grossesses, cela me terrifie." "Avec mon mari, je n'y faisais pas attention, il connaissait mon corps, mes vergetures, ma cellulite, il les aimait même. Enfin, je pensais qu'il les aimait. Mais là, honnêtement, j'aurais du mal." Armelle souffre de cette "mise en sommeil". "La solitude, je m'y fais, d'autant que j'ai mes enfants une semaine sur deux et pas mal d'amis. Mais j'ai toujours aimé faire l'amour et oui, ça me manque. Les mains d'un homme sur moi, le désir qui monte, l'orgasme. La seule chose de positive, c'est de ne plus avoir à penser à une contraception. Mais pour le reste, je ne vois pas. J'espère vaincre mes angoisses et avoir le courage de me lancer de nouveau bientôt." LIRE AUSSI >> Appli de rencontre laquelle choisir pour trouver l'amour? L'impression de ne plus être désirableCe manque, Claire, 45 ans, le ressent aussi, alors même qu'elle est en couple. "Je n'aurais jamais pensé faire partie de ces gens mariés qui petit à petit ne font plus l'amour. Mais la vérité, c'est qu'on n'a rien fait depuis un an. Certes, ce n'est pas si long à l'échelle d'une vie, mais quand on se couche tous les soirs avec la même personne et que plus rien ne se passe, c'est une éternité." "Mon mari a été infidèle. Je l'ai découvert, on a eu une grosse crise, et finalement, on a décidé de rester ensemble. Mais quelque chose a été cassé, on n'y arrive plus. Le pire, c'est qu'on n'en parle même pas. C'est l'éléphant dans la pièce." Au-delà de ce que cette abstinence dit de son couple, Claire supporte de moins en moins cette impression de ne plus être désirable "Je n'ai que 45 ans. Je ne me vois pas me priver de rapports charnels pour toujours. D'autant que je vois bien que je compense en mangeant compulsivement. C'est comme si mon corps était déclaré inapte, comme s'il ne pouvait plus servir." LIRE AUSSI >> "Faisons-nous l'amour assez souvent?" "Cette parenthèse sexuelle nous a sans doute sauvés"Des problèmes de désir, il y en a eu aussi pour Marie et Cédric, mariés depuis quinze ans. "On a eu une longue traversée du désert. Je travaillais beaucoup, lui aussi, on a finit par 'oublier' de se toucher. Mais au bout de longs mois à ne plus faire l'amour, on a réussi à en parler et je suis allée voir un sexologue", raconte Marie. "Honnêtement, cela venait tout de même surtout de moi. Mon thérapeute m'a appris à 'défocaliser', à ne pas faire du sexe une obsession. Petit à petit, on a appris à se redécouvrir avec Cédric. On a essayé des choses qu'on ne faisait pas avant, une nuit à l'hôtel en pleine semaine, on s'est envoyé des sextos. J'ai fait du sport, des massages", énumère Marie. "Cela semble peut-être idiot mais j'en avais besoin. Et c'est revenu. Mieux qu'avant. Beaucoup mieux, en vérité. Je n'y croyais pas, mais on a en quelque sorte rattrapé le temps perdu. Et aujourd'hui, je me dis que cette parenthèse dans notre vie de couple nous a sans doute sauvés. Elle nous a poussés à nous retrouver, paradoxalement." Comme quoi, l'abstinence peut parfois être la promesse d'une sexualité à venir plus épanouie. Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely
Pasde panique, ne pas avoir de but à cet âge ne fait rien. Tu verras, si tu es un peu curieuse, intéresse toi à ce qui se passe autour de toi, et dit toi que moi, j’ai trop de “Je peux être changé par ce qui m’est arrivé. Mais je refuse d’en être réduit à cela.” – Maya Angelou La résilience est la capacité à rebondir face à des situations difficiles et d’éviter de céder à l’impuissance. Nos vies sont remplies de changements inattendus et parfois de virages à 180°, de moments troublants voire traumatisants. Certains de ces changements ou moments seront anecdotiques, tandis que d’autres peuvent remettre en question notre existence. Dans tous les cas, un état d’esprit résilient vous aidera à mieux gérer ces situations mais aussi votre stress, à diminuer la probabilité de développer une dépression voire même de vivre plus longtemps. Cela vous permettra d’apprendre de vos expériences et de cultiver un optimisme réaliste en prenant soin de vous après un échec, en continuant à aller de l’avant dans votre vie quotidienne. Voici quelques méthodes pour reprendre les rennes de votre vie, et vous préparer à accepter les moments difficiles. Pour savoir si vous êtes résiliente ou non, voici ci-dessous un petit questionnaire interactif basé sur le CD-RISC-10 le test de référence en psychologie pour la résilience en 10 questions Test de résilience Êtes-vous capable de surmonter les difficultés ? 1. Faites face aux situations difficiles Il est souvent compliqué de rester calme dans les moments de difficulté, le stress vous empêchant de voir la situation avec lucidité. Gérer votre stress vous aidera non seulement à gérer les difficulté avec plus de sérénité, mais aussi à garder la tête froide et à affronter ce qui vous arrive plutôt que de fuir ou chercher à ignorer la situation. Si vous êtes surmenée et fatiguée, regardez s’il n’y a pas des tâches que vous pourriez retirer de votre agenda. Faites des activités agréables qui vous permettent de vous détendre complètement, et programmez-vous un moment spécifique pour le faire. Considérez d’ailleurs le stress comme un signal d’alarme, si vous êtes stressé c’est que quelque chose vous inquiète, il est donc temps de s’y attarder et de régler la situation. Par exemple, au lieu de vous dire “Je n’ai pas assez de temps”, dites-vous “Je sais que je peux le faire, je dois juste m’organiser différemment.” Méditer vous aidera également à faire le vide dans votre esprit et à diminuer votre stress. Des études ont montré qu’à peine 10 minutes de méditation peut vous relaxer autant qu’une heure de sommeil et vous aider à affronter vos problèmes. Si vous avez l’impression d’être débordé ou au bord du burn-out, méditer vous aidera à ralentir et garder le contrôle de la situation. Une autre alternative est le yoga, une étude de l’école de médecine de Harvard semble montrer que les personnes pratiquant le yoga sont moins sensibles aux accès de colère et plus à même de gérer les difficultés dans leur vie. Lorsque vous pratiquez le yoga et notamment en prenant des postures difficiles, cela vous pousse à développer votre endurance et ainsi votre capacité à “tenir bon” dans les moments difficiles, en trouvant les ressources qu’il faut pour rester calme et déterminé. N’hésitez pas non plus à vous faire soutenir si besoin, maintenir de bonnes relations avec des proches ou des amis vous aidera à recevoir l’aide et le soutien dont vous aurez besoin lorsque les choses se corseront pour vous. Vous pouvez également compter sur les thérapies ou toutes les sources d’aide dont vous avez besoin, ce n’est pas un signe de faiblesse de demander de l’aide, c’est même l’inverse. 2. Cultivez votre résilience Passer à l’action et attaquer de front vos problèmes favorisera votre capacité à faire face aux situations difficiles. Rester dans la passivité à ruminer des pensées et des idées négatives ne fera pas disparaître ce qui vous angoisse. Si par exemple personne ne veut publier le roman que vous avez écrit, cela ne signifie pas que votre valeur se mesure dans la qualité de votre travail. Vous n’êtes pas la somme de votre travail, vous avez les capacités d’obtenir ce que vous désirez. Soyez fier d’avoir déjà mené à bien ce travail, et persistez dans votre voie ou bien essayez quelque chose de nouveau. Si vous avez été licencié, ne vous laissez pas abattre et cherchez immédiatement un autre emploi. Profitez-en pour trouver quelque chose qui vous apportera plus et qui vous rendra plus heureux, même si cela implique de changer de carrière. Vous n’en n’avez pas l’impression aujourd’hui, mais dans quelques années vous être fait licencier sera sans doute la meilleure chose qui vous soit arrivée. Pensez aux côtés positifs de la situation et construisez une solution qui vous convient. Cherchez votre but dans la vie. Avoir des buts et des rêves vous aidera à développer votre résilience. Quels que soient ces buts, petits ou grands, cela vous permettra d’apporter un sens à votre vie et vous donnera suffisamment d’énergie pour continuer à avancer. Faites une bucket-list, c’est-à-dire la liste de tout ce que vous aimeriez accomplir dans votre vie. Gardez cette liste en sûreté et relisez-la régulièrement pour faire le point sur votre progression. Vivez votre vie en accord avec vos valeurs et vos convictions, ne faites pas de concessions là-dessus. Au-delà d’avoir des buts, il est nécessaire de construire un plan pour les atteindre. Que vous cherchiez à obtenir un diplôme, à améliorer votre condition physique ou à surmonter une rupture, cela vous donnera la force et la motivation d’avancer. Faites une liste de tous les objectifs que vous voulez atteindre le mois prochain, dans 6 mois et l’année à venir. Veillez aussi que chaque but soit SMART Spécifique, Mesurable, Accessible, Réaliste et Temporel. Faites le point semaine après semaine, mois après mois pour obtenir ce que vous désirez. Bien qu’il ne soit pas possible de tout planifier, avoir un plan vous aidera à garder une ligne directrice claire et ainsi à augmenter vos chances de succès. Parlez de vos buts à des personnes dont vous avez une haute opinion, cela vous motivera à aller jusqu’au bout d’après certaines études. 3. Adoptez un état d’esprit positif Développer des pensées positives vous permettra de ressentir des émotions positives, ce qui en retour améliorera votre résilience. Bien sûr, il n’est pas simple d’être positif après une rupture amoureuse ou un accident grave. L’important est de rester lucide sur votre situation, car nous avons souvent tendance à amplifier les conséquences des situations négatives. Même si dans un domaine particulier cela ne va pas comme vous le voulez par exemple en amour, regardez s’il n’y a pas des choses que vous appréciez dans les autres domaines de votre vie. Si votre santé n’est pas bonne, pensez à votre entourage, à vos finances, à votre spiritualité, etc. Repensez également à tout ce que vous avez réussi à faire dans votre vie jusqu’à aujourd’hui, quelle place a cet événement négatif sur l’ensemble de votre vie ? Aura-t-il le même impact dans 10 ans ? Prenez le recul nécessaire pour vous libérer de ces émotions négatives. Acceptez le changement. D’après des recherches, c’est même la voie royale vers la résilience. Apprenez à voir les changements comme des défis plutôt que des bouleversements. Gardez un esprit ouvert et ne jugez pas immédiatement les personnes pour leur apparence, leurs actions ou ce qu’ils croient être juste. Cela vous aidera à percevoir le monde différemment et vous apprendrez forcément quelque chose de nouveau. Essayez de nouvelles choses, aussi petites soient-elles. Que ce soit de rentrer chez vous par un autre chemin, lire d’autres genre de livres ou bien vous lancer dans une activité dont vous ne savez rien. Imaginez cela comme une opportunité de grandir, de vous adapter et surtout d’évoluer. Parfois les changements que nous vivons ne collent pas avec nos désirs, pourtant quelques temps après nous découvrons des aspects positifs qui nous avaient échappés sur le moment. N’espérez pas non plus être positif constamment. Notre vie est remplie de moments de joie, de tristesse, de colère et bien d’autres émotions. Accepter que les émotions positives et négatives peuvent cohabiter est très important pour votre résilience. Ne cherchez pas à masquer vos émotions ou à les ignorer, mais prenez le temps de vous retirer pour les ressentir pleinement. Il y aura également des obstacles et des problèmes dans votre vie comme dans celles de tout être humain. Parfois, nous imaginons que nous sommes les seuls à vivre des tragédies, pourtant ce n’est pas le cas. Il vous suffit de faire un peu de bénévolat dans des associations caritatives pour vous en persuader. 4. Développez votre capacité à résoudre les problèmes Ne pas savoir comment gérer vos problèmes vous empêche d’être résiliente. En ayant en tête des méthodes pour solutionner vos tracas, vous deviendrez capable de les résoudre plutôt que de vous sentir impuissante. Voici quelques conseils pour voir les choses différemment Comprenez tout d’abord votre problème. Vous pensez être insatisfaite de votre travail parce que vous n’êtes pas payé assez. Pourtant si vous creusez un peu, vous verrez que c’est parce que vous ressentez que vous ne faites pas ce que vous aimez. Cela ouvrira la porte à d’autres problèmes que celui que vous aviez attaqué au départ. Trouvez plus d’une solution. Il n’y a pas qu’une solution à un problème par exemple quitter votre emploi pour vous lancer dans le bénévolat à plein temps, croire à cela vous créera des difficultés sur le long terme parce que votre solution n’est pas pratique ou faisable. Faites plutôt la liste de toutes les solutions et sélectionnez-en 2 ou 3. Lancez-vous. Evaluez votre solution et regardez à quel point elle vous aide à gérer votre situation. N’ayez pas peur de demander des retours aux autres. Si votre solution ne fonctionne pas, ce n’est pas un échec, mais un apprentissage. Prenez l’habitude d’apprendre de vos erreurs. Concentrez-vous uniquement sur ce que vous pouvez maîtriser et lâchez prise sur le reste. Regardez les apprentissages que vous avez tirés de vos erreurs, mais tout n’est pas qu’une question de malchance. Si vos trois dernières relations ont échoué, il est temps de regarder plus longuement le rôle que vous avez joué dans cet échec. Remarquez les comportements et les phénomènes qui se reproduisent dans votre vie, c’est un bon moyen d’éviter de revoir les mêmes conséquences. Ne rien faire, ne pas agir est aussi une action dont vous êtes responsable. La façon dont vous pensez peut aussi renforcer ou au contraire saper votre résilience. Voyez-vous les événements négatifs comme temporaires ou bien permanents ? Imaginons que vous avez raté un entretien d’embauche. Diriez-vous plutôt “Bon, je n’ai pas eu le job” ou bien “Personne ne m’embauchera jamais de toute façon” ? Avez-vous l’habitude de laisser les événements affecter d’autres pans de votre vie ? Dites-vous “Je n’ai pas de bonnes connaissances sur le sujet” ou bien “Je suis stupide et je ne sais rien d’utile” ? Avez-vous également l’habitude de vous blâmer lorsque tout ne va pas comme vous le désirez ? Diriez-vous “Cette relation n’a pas fonctionné parce que nos valeurs et points de vue étaient incompatibles” ou bien “Il/Elle est partie parce que je ne mérite pas d’être aimé et je ne suis pas une bonne personne” ? Ce type de pensées négatives peut vous empêcher de chercher une solution à un problème. Lorsque vous pensez que VOUS êtes le problème, il n’existe pas de solution et vous resterez impuissante face à la situation que vous vivez. À l’inverse, lorsque vous prenez conscience que cet événement fait partie de la vie et qu’il arrive que certaines choses échouent, alors vous êtes plus disposée à trouver la solution pour vous sortir de là. 5. Kintsugi L’art de la résilience Le Kintsugi est un art japonais qui consiste à réparer un objet en céramique en saupoudrant les fêlures d’or, pour les souligner. C’est également une métaphore qui explique que nous sommes parfois “brisé” par certains événements, mais que nous n’avons pas besoin de les cacher ou de faire comme si de rien n’était. Parfois ces blessures dont on peut voir les cicatrices sont aussi des marques de courage, de force et de résilience. Nous pouvons être brisé par certaines épreuves de la vie, mais ce n’est pas la fin du chemin, nous devons prendre le temps de ramasser les morceaux, peut-être en les redécouvrant sous un autre angle, puis de les replacer un à un avec patience en permettant à notre corps et à notre esprit de guérir et se réparer. Nous ne sommes pas parfaits, ni invincibles, chaque cassure ou fêlure sera alors l’occasion de vivre un changement, peut-être de penser et composer différemment sa vie, d’être meilleure. Cela vous permet progressivement de faire la paix avec votre passé et envisager l’avenir sereinement. Pour aller plus loin Kintsugi – L’art de la résilience, de Céline Santini. 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à propos de la perte, de la mort et de l’irrémédiable Le jour de l’enterrement de sa mère, C. a été piquée par une abeille. Il y avait beaucoup de monde dans la cour de la maison familiale. J’ai vu C. dans l’infini de ses quatre ans, être d’abord surprise par la douleur de la piqûre puis, juste avant de pleurer, chercher avidement des yeux, parmi tous ceux qui étaient là, celle qui la consolait depuis toujours, et arrêter brutalement cette recherche, ayant soudain tout compris de l’absence et de la mort. Cette scène, qui n’a duré que quelques secondes, est la plus poignante que j’aie jamais vue. Il y a une heure où, pour chacun de nous, la connaissance inconsolable entre dans notre âme et la déchire. C’est dans la lumière de cette heure-là, qu’elle soit déjà venue ou non, que nous devrions tous nous parler, nous aimer et même le plus possible rire ensemble. » Christian Bobin, Ressusciter », Éditions Gallimard. La vie est injuste Comment la nature peut-elle être aussi injuste ? J’avais pourtant mis toutes les chances de mon coté pour avoir un bébé en bonne santé, alors que certaines personnes n’en font même pas la moitié et ont de beaux bébés. Et le mien… Je n’ose même pas dire ce qu’il a. Je ne comprends pas. J’ai fait tout ce que le médecin m’a dit, à la lettre. La vie est trop injuste ! Mon fils a eu un terrible accident avec sa moto samedi en fin de matinée… il est mort sur le coup… j’ai beaucoup de mal à écrire ça car je n’arrive pas à y croire. Il venait d’avoir 20 ans. Il était tellement heureux de se payer sa première moto. Quand je pense à toutes les choses qu’il ne connaîtra pas, il laisse un vide terrible… Je me demande pourquoi lui ? Pourquoi nous ? C’était un gentil garçon, discret, respectueux et apprécié de tous. Pourquoi une telle injustice ? Mon père a travaillé dur pendant toute sa vie, et quelques jours avant sa retraite, il nous a dit, à mes frères et moi Ah, je vais enfin pouvoir me reposer et passer du temps au jardin ». Mais six mois après, il était mort. C’est vraiment pas juste ! Quand l’être humain se retrouve aux prises avec une douleur insurmontable, une douleur qui l’étrangle presque, il se débat, refuse la réalité et croit n’avoir pas d’autres ressources que de crier à l’injustice. Pourquoi moi ? » La douleur insurmontable nous rend totalement égocentriques nous aurions préféré que quelqu’un d’autre la subisse. Un certain contexte judéo chrétien du dieu vengeur nous inciterait même à penser que certains mériteraient la punition divine – parce qu’ils se sont mal comportés – mais moi qui n’ai rien fait, moi qui suis innocent, pourquoi devrais-je souffrir ? N’est-ce pas nécessairement injuste ? » La souffrance serait-elle fondamentalement injuste ? Qu’est-ce que l’injustice ? La notion d’injustice peut être appréhendée de deux manières bien différentes. Par définition, la justice juge toujours par rapport à quelque chose, que ce soit la loi ou la conception que chacun a du Bien. Dans la mesure où il y a un contrat établi entre l’homme et la société et que ce contrat – aussi appelé la loi » – dit qu’il ne faut pas voler, on trouvera par exemple juste qu’un homme qui n’a pas respecté ce contrat soit condamné pour vol. A contrario que ce voleur ne soit pas condamné nous paraîtra, à juste ! titre, injuste. Par une dérive insidieuse, nous en arrivons à trouver juste d’être en bonne santé, de correctement gagner sa vie, d’avoir de beaux enfants… et tout ce qui viendra casser ce bel équilibre rêvé ou inventé par notre idéal sera considéré comme injuste. Or où est la loi non écrite le contrat entre la vie et nous qui stipule qu’une future mère donnera toujours naissance à un bébé en bonne santé, que ceux qui ont travaillé pendant plus de quarante ans vivront au moins vingt ans à la retraite pour en profiter, que les cyclones, tremblements de terre, tsunamis ne peuvent pas se produire, que les jeunes à moto n’auront jamais d’accidents, etc. ? Qui parmi nous a signé un contrat avec dieu, la vie, le destin, son père ou sa mère pour être assuré de ne pas souffrir ? Auquel cas il y aurait rupture du contrat… et injustice ! Alors pourquoi crions-nous à l’injustice ? Nous nous disons sans doute inconsciemment que si nous acceptons ce qui nous paraît atroce, cela va lui donner plus de réalité. Et que si nous refusons que ce qui est soit autre nom du déni nous allons moins souffrir. Or nous allons voir que ce n’est pas le cas, bien au contraire ! Petite ou grande souffrance, il n’y a aucune injustice à souffrir. Il n’y a aucune injustice à ce que mon enfant soit handicapé. Il n’y a aucune injustice à ce que mon père meure quelques jours après son départ en retraite. Il n’y a aucune injustice à ce que mon fils de vingt ans se tue dans un accident de moto. Pourquoi ? Simplement parce qu’il n’y a pas eu de contrat, parce que personne n’a jamais eu le pouvoir de l’interdire. Ce qui n’empêche évidemment pas de souffrir. Mais le fait de ne pas se révolter contre les faits change complètement notre relation à la souffrance, c’est ce que nous verrons par la suite. La vie est cruelle Comment pouvons-nous nommer le fait que les desseins de la vie ne correspondent pas toujours à ce que nous aurions souhaité ? Tout juste pouvons-nous dire que c’est pas de chance », en comparaison avec ce que nous aurions espéré ou voulu. Nous sommes tous contraints à vivre dans un monde dans lequel nous sommes impuissants à faire en sorte que les événements arrivent comme nous le voulons. Nous pouvons légitimement nous employer à tout faire pour mettre les chances de notre côté, mais ils continueront d’arriver… comme ils arrivent. Par exemple, nous avons organisé le mariage de notre fille unique un 1er août en Provence, persuadés que l’époque et le lieu choisis par nous nous assureront le beau temps. Et ce jour-là, pour la première fois depuis des années à cette date-là, il pleut des cordes. Il va bien falloir un jour que nous comprenions que ce n’est pas nous qui décidons, alors même que nous avons la fausse impression de tout avoir contrôlé. Même quand la vie nous impose des événements qui ne coïncident pas avec ce qui nous convient, nous savons maintenant qu’elle n’est pas injuste il n’y a pas eu de contrat, alors nous disons qu’elle est cruelle ». Car nous souffrons. La première des Quatre Nobles Vérités énoncées par le Bouddha après son illumination s’énonce ainsi Tout est souffrance. Etre uni à ce que l’on n’aime pas est souffrance, être séparé de ce que l’on aime est souffrance. » Comment s’en sortir ? A une mère tordue de douleur qui n’acceptait pas la mort de son enfant et qui le suppliait de le faire revivre, le Bouddha aurait répondu Je t’exaucerai si tu trouves une seule maison qui n’a pas connu la mort. » On dit qu’après plusieurs années de souffrance et d’errance, la femme est revenue en paix, se prosterner aux pieds du Bouddha. Qu’avait-elle compris ? Elle avait vérifié par elle-même que toutes les maisons des hommes avaient connu la mort. Elle avait donc compris que la souffrance fait partie intrinsèque de la vie et que comme avec tout ce qui est », chacun est obligé de faire avec. » Ordinairement, nous nions la réalité de ce qui ne nous convient pas. C’est ainsi que par notre résistance, nous nions une partie de notre expérience et c’est cela qui nous condamne à souffrir davantage. A chaque fois que nous refusons de souffrir au moment où nous souffrons, nous nous blindons, et nous renforçons l’intensité de la souffrance en nous. Nous souffrons davantage encore en ajoutant la souffrance de notre refus c’est injuste, à notre souffrance première par exemple, mon cœur est transpercé par la mort de ma mère. Oui, la vie est cruelle, c’est ainsi, et nous aurions avantage à apprendre à nous laisser transpercer le cœur plutôt qu’à vouloir le blinder. Et si c’était au moment où la nuit est la plus noire que nous étions au plus près du point de l’aurore ? C’est en intégrant la souffrance qui est la nôtre et non en la rejetant que nous avancerons sur le chemin de la paix. Pour illustrer Voici quelques jours, je recevais ce message d’une mère musulmane Mon fils, hier soir, a oublié de fermer une des portes des trois poulaillers. Ce matin je me suis aperçu qu’il manquait sa poule qu’il a depuis qu’elle est petite ainsi que ses poussins. Il ne reste qu’un poussin sur les sept. Un prédateur a dû les prendre. Mon fils était très attaché a cette poule. Il l’avait apprivoisée et j’angoisse de lui annoncer. Il a dix ans. » La situation n’est-elle pas infiniment cruelle ? Le cœur d’une mère est transpercé par la douleur parce que son enfant va se confronter violemment à l’inéluctable et à la mort. Non, l’arrivée de ce prédateur n’est pas injuste pas de contrat entre le prédateur et les gens qui élèvent les poules. Non, la mort de la poule de cet enfant n’est pas injuste pas de contrat entre le désir de cet enfant pour sa poule et la vie de la poule. Non, la souffrance de cet enfant n’est pas injuste pas de contrat entre le désir de la mère que son enfant ne souffre pas et la vie. C’est l’amour de cette mère pour son enfant qui lui donnera la force de traverser sa propre souffrance et de s’ouvrir pleinement à la vie telle qu’elle est, accompagnant par là-même son enfant à s’ouvrir à son tour à la vie telle qu’elle est. La colère*, émotion liée à l’injustice, trouve son sens quand elle est légitime, c’est-à-dire quand il y a eu transgression d’un contrat, elle peut servir alors à nous donner l’énergie de nous confronter à celui qui a rompu le contrat ; mais quand elle est illégitime, c’est-à-dire quand elle s’exprime indûment, elle ne fait que masquer la tristesse, elle devient un piège qui nous empêche de devenir vulnérable à la vie – même quand elle est cruelle avec nous – qui nous empêche de pleurer tout notre saoul, par exemple. Nous avons tous besoin de devenir vulnérables car c’est la vulnérabilité à la souffrance qui attendrira notre cœur. En fait il n’y a que l’amour qui peut nous donner la force de transcender la souffrance en nous permettant d’aller au-delà, or l’amour ne peut se déployer que dans la vulnérabilité. C’est ce que vit cette mère qui angoisse d’annoncer à son enfant la cruauté de la vie mais qui ne recule pas et assume son rôle par amour. En guise de conclusion Dans une société qui veut nous rendre la vie belle et nous abuse en nous laissant croire la perte, la maladie, la solitude et la mort injustes, le grand défi est d’oser se confronter à la souffrance la sienne et celle des autres en ne s’en protégeant pas. C’est à cette condition et dans le souvenir de cette souffrance commune que nous pouvons nous rencontrer et nous comprendre, comme l’exprime si bien C. Bobin dans le texte introductif à cet article. * Voir à ce propos mon article Oser la colère, oser être vrai avec soi-même » © 2013 Renaud & Hélène PERRONNET Tous droits réservés. ————– Moyennant une modeste participation aux frais de ce site, vous pouvez télécharger l’intégralité de cet article 5 pages au format PDF, en cliquant sur ce bouton —————- Pour aller plus loin, vous pouvez aussi lire Le travail de deuil L’enfant et la mort J’ai peur que ma petite fille de 5 ans n’ait été secouée par un décès Vous pouvez aussi télécharger la fiche pratique inédite Apprendre à se détendre …et regarder la vidéo Pour adultes seulement ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d’accompagnement psychothérapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes réponses. Avertissement aux lectrices et aux lecteurs Il est possible que les idées émises dans ces articles vous apparaissent osées ou déconcertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expérience, je ne vous invite pas à croire ces idées parce qu’elles sont écrites, mais à vérifier par vous-même si ce qui est écrit et que peut-être vous découvrez est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions et peut-être de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes. Cliquez ici pour en savoir plus sur qui je suis Cliquez ici pour en savoir plus sur Évolute Conseil TopicJe ne trouve pas de sens à la vie (32 ans) Bosser pour enrichir le CAC40 n'est pas un but dans ma vie. Faire la fête, et trouver une chérie oui. J'ai des potes Forme et bien-êtrePsychoBien dans ma tête, bien dans ma peauRechercherJe n'ai pas d'ambition c'est grave ?Et si l'ambition professionnelle n'était pas le seul modèle pour accéder à l'épanouissement ?Je n'ai pas d'ambition c'est grave ? La réponse ici !Décrocher un poste à responsabilités, avoir un parcours professionnel remarquable, tout cela ne vous fait pas rêver. On vous fait d'ailleurs souvent la remarque que vous manquez d'ambition. Mais après tout, est-ce si grave ?Je n'ai pas d'ambition c'est quoi l'ambition, en fait ?Et s'il n'existait pas une ambition, mais plutôt des ambitions ? Certes, vous manquez peut-être d'ambition professionnelle, votre carrière vous importe peu, et l'ascension de l'échelle sociale encore moins. Pourtant, cela ne signifie pas que vous n'avez pas d'ambition. Elle peut être ailleurs. On peut chercher à réussir sa vie autrement, et aspirer à une vie tranquille, entourée de ceux que l'on aime. Dans ce cas, il s'agit d'ambitions personnelles. Vos envies, vos priorités ne correspondent pas forcément à celles de vos parents, de vos amis, mais elles relèvent tout de même de l'ambition. Car l'ambition est ce qui nous pousse, ce qui nous fait avancer. Une réalisation de soi qui ne passe pas forcément par la réussite sociale, mais qui peut tout à fait passer par la sphère privée. On peut avoir pour ambition de se dévouer entièrement à sa famille. L'essentiel est d'être n'ai pas d'ambition quand cela provoque une souffranceLe problème arrive lorsque le bonheur n'est pas au rendez-vous. On peut penser ne pas avoir d'ambition alors qu'en réalité, on en a, mais on n'a pas trouvé lesquelles. Si les accomplissements actuels ne vous épanouissent pas, c'est sans doute le cas. Il faut vous poser la question, vous demander quelles sont vos ambitions, qu'est-ce qui donnerait un sens à votre vie. Ces ambitions peuvent évoluer avec le temps. On peut avoir une grande ambition professionnelle un jour, puis se réveiller un autre jour en ressentant un manque. L'ambition personnelle prend alors dessus. Demandez-vous si vous n'êtes pas passée à côté de vos ambitions à un moment de votre vie. Dans ce cas, analysez pourquoi vous n'avez pas pu les accomplir, ce qui vous a freinée dans vos motivations. En vous penchant sur ce problème, vous pourrez retrouver votre ambition personnelle, celle qui vous n'ai pas d'ambition reprendre confiance en soiSi vous pensez que vous n'avez pas d'ambition, c'est sans doute parce que vous vous regardez par rapport aux autres. Vous cherchez leur approbation, ou du moins, vous prêtez attention à leur avis sur vos accomplissements. Or, ceux-ci sont personnels. Ce qui comble une personne peut ne pas satisfaire une autre. Il est alors très important pour votre épanouissement de prendre conscience de vos véritables ambitions. Mûrissez vos motivations en vous, sans forcément en parler à votre entourage tant que vous n'aurez pas pris confiance dans votre projet, quel qu'il soit. Ce n'est qu'une fois que vous serez en accord avec celui-ci, que vous aurez suffisamment avancé vers son accomplissement, que vous pourrez en parler autour de vous. Comme vous aurez gagné en confiance, le regard des autres ne vous importera plus. Et ils pourront dire que vous n'avez pas d'ambition, vous saurez bien que c'est faux. . 423 145 150 297 230 408 198 377

je n ai pas de but dans la vie