Iln'est pas facile d'expliquer ce qu'est l'acide lactique . Cependant, les personnes qui aiment faire du sport font face à ses conséquences de maniÚre habituelle. La raison en est que lorsque cette substance s'accumule dans le corps , elle provoque un manque d'énergie et, par conséquent, les muscles ont plus de mal à se contracter.
Question facile, voyons lâĂ©nergie, câest ma facture dâĂ©lectricitĂ©, ou Ă©ventuellement de gaz. Si je suis trĂšs concentrĂ©, jây rajouterai peut-ĂȘtre mon plein dâessence, si je le suis encore plus le remplissage de ma cuve Ă fioul, et puis on va dire que lâon a fait le tour du sujet. LâĂ©conomiste ajoutera peut-ĂȘtre que lâĂ©nergie câest 7% des dĂ©penses des mĂ©nages en France, et donc que si lâĂ©lectricitĂ© augmente câest ennuyeux parce que cela comprime un peu le pouvoir dâachat, mais que personne nâen mourra. Mais, avec ces approches Ă©conomiques, tout le monde passera Ă cĂŽtĂ© de lâessentiel, qui est que lâĂ©nergie, dans les civilisations industrielles, joue un rĂŽle physique central qui nâest pas du tout reflĂ©tĂ© par sa part dans les dĂ©penses. Physique, vous avez dit physique ? De fait, avant dâĂȘtre un montant sur une facture, lâĂ©nergie a une dĂ©finition scientifique il sâagit de la grandeur qui caractĂ©rise un changement dâĂ©tat dâun systĂšme. Bigre ! Voici bien des mots compliquĂ©s ! En fait câest trĂšs simple cela ne dit rien dâautre que le fait que dĂšs que le monde qui nous entoure = un systĂšme » change, de lâĂ©nergie entre en jeu, et la mesure de cette Ă©nergie mesure le degrĂ© de transformation entre avant et aprĂšs. Si nous regardons autour de nous, nous constaterons que, en effet, dĂšs quâil se passe quelque chose » quelque part de lâĂ©nergie intervient un changement de tempĂ©rature consomme ou restitue de lâĂ©nergie. Câest cette Ă©nergie-lĂ que nous utilisons pour chauffer ou refroidir une piĂšce, ou un aliment, ou lâeau dâune douche celle-lĂ on la refroidit rarement !, etc. De mĂȘme, toutes les machines industrielles qui cuisent, stĂ©rilisent, chauffent ou refroidissent utilisent donc de lâĂ©nergie, un changement dâĂ©tat de la matiĂšre passer de lâĂ©tat gazeux Ă lâĂ©tat liquide, ou encore de lâĂ©tat liquide Ă lâĂ©tat solide, que les physiciens appellent Ă©galement changement de phase, utilise ou restitue de lâĂ©nergie, qui sâappelle de la chaleur latente. Notre corps utilise cette Ă©nergie pour se refroidir câest la transpiration, qui consiste Ă Ă©vaporer de lâeau issue de notre sĂ©rum câest pour cela que la transpiration est salĂ©e, et que par ailleurs elle nous dĂ©shydrate. Les machines de froid rĂ©frigĂ©rateurs, congĂ©lateurs, et leur symĂ©trique », les pompes Ă chaleur, utilisent la chaleur latente de condensation et dâĂ©vaporation pour transporter des calories. Et tous les processus industriels qui fondent il y en a un paquet, surtout dans la production des matĂ©riaux de base ou Ă©vaporent la matiĂšre consomment donc cette Ă©nergie. un changement de vitesse dâun corps consomme ou utilise de lâĂ©nergie. Mettre en mouvement voitures, camions, trains et avions utilise environ 20% de lâĂ©nergie que nous consommons en France, un changement de composition chimique, selon les cas, fournit de lâĂ©nergie ou en consomme. Une combustion, par exemple, est une transformation chimique qui fournit de lâĂ©nergie, en associant de lâoxygĂšne aux atomes initiaux, et Ă lâinverse toute action de rĂ©duction le fait dâenlever de lâoxygĂšne dâun composĂ© qui en comporte, comme par exemple un oxyde mĂ©tallique en consomme. Modifier une composition chimique consomme de 10 Ă 15% de lâĂ©nergie mondiale. Lâindustrie chimique qui, Ă partir de ressources naturelles air, eau, minerais, sous-produits pĂ©troliers, etc, fabrique dâautres molĂ©cules des centaines de milliers !, consomme 7% Ă 8% de lâĂ©nergie mondiale pour forcer » des rĂ©actions chimiques qui nâont pas envie de se produire toutes seules. La mĂ©tallurgie de base aciĂ©rie et production de mĂ©taux non ferreux consomme quant Ă elle environ 5% de lâĂ©nergie mondiale, essentiellement pour rĂ©duire les oxydes qui composent les minerais. faire apparaĂźtre ou disparaĂźtre du rayonnement fait aussi intervenir de lâĂ©nergie. Par exemple, une partie de lâĂ©nergie libĂ©rĂ©e par la fusion des noyaux dans le soleil est transformĂ©e en rayonnement, qui transporte lâĂ©nergie jusquâĂ la Terre, oĂč il est pour une large partie absorbĂ© et chauffe notre planĂšte. 100% de lâĂ©nergie renouvelable hors gĂ©othermie et Ă©nergie marĂ©motrice, cette derniĂšre Ă©tant dĂ©rivĂ©e de lâattraction universelle nous parvient donc sous forme de rayonnement et mĂȘme pĂ©trole, gaz et charbon sont des stocks de rayonnement fossile » !. Câest lâĂ©nergie du rayonnement qui transporte lâinformation permettant Ă la radio, la tĂ©lĂ©vision, le tĂ©lĂ©phone portable ou le wifi de fonctionner, mĂȘme si les quantitĂ©s dâĂ©nergie associĂ©es ne sont pas considĂ©rables. Le micro-onde qui rĂ©chauffe nos aliments ou le laser qui dĂ©coupe les tissus utilisent aussi cette Ă©nergie ! changer une forme fait intervenir de lâĂ©nergie. La presse Ă emboutir et lâĂ©plucheur Ă lĂ©gumes ont tous deux vocation Ă changer une forme dĂ©former une tĂŽle dans le premier cas, sĂ©parer un objet en deux morceaux dans le second, et de lâĂ©nergie est nĂ©cessaire pour les mettre en mouvement notre bras suffit pour le second !. Toutes les machines industrielles ou plus rarement domestiques qui tordent, vissent, emboutissent, alĂšsent, Ă©crasent, Ă©tirent, filent, rapent, dĂ©coupent, et jâen passe, ont donc besoin dâĂ©nergie. dĂ©placer une masse dans un champ gravitationnel fait intervenir de lâĂ©nergie ; câest la pesanteur ». Câest contre cette Ă©nergie que nous luttons lors dâune ascension en montagne, et câest cette Ă©nergie qui nous entraĂźne vers le bas de la pente Ă vĂ©lo. A chaque fois que nous utilisons le poids » dâun objet, en fait câest lâĂ©nergie gravitationnelle que nous exploitons. Or on ne compte plus les dispositifs qui utilisent des poids ou contrepoids, Ă commencer par la balance du marchĂ© ! faire interagir du courant et un champ magnĂ©tique consomme ou libĂšre de lâĂ©nergie, selon le cas. Quand on amĂšne le courant au sein du champ magnĂ©tique et que lâon rĂ©cupĂšre du mouvement, câest un moteur Ă©lectrique, et il y en a dĂ©sormais partout dans notre univers. Il y en a dans la distribution dâeau, les Ă©gouts, le fonctionnement des ordinateurs, les appareils de froid, les ascenseurs et monte-charge, les trains, les auxiliaires domestiques lâĂ©lectro-mĂ©nager, les pompes Ă essence, les dĂ©marreurs de voiture, les lignes dâassemblage industrielles, les compresseurs, les grues⊠Quand on amĂšne le mouvement pour rĂ©cupĂ©rer le courant, câest un alternateur, que lâon trouve dans toute centrale Ă©lectrique⊠et dans toute voiture. toucher Ă la composition du noyau des atomes fait intervenir de lâĂ©nergie câest lâĂ©nergie nuclĂ©aire. Cette Ă©nergie intervient dans la radioactivitĂ©, la fusion, et la fission. Toutes les formes dâĂ©nergie disponibles sur terre sont des dĂ©rivĂ©s directs ou indirects de lâĂ©nergie nuclĂ©aire lâĂ©nergie solaire a une origine nuclĂ©aire la fusion dans le soleil, et avec elle tout ce qui en dĂ©coule hydroĂ©lectricitĂ© cycle de lâeau, vent, solaire direct, biomasse, Ă©nergie des ocĂ©ans, etc ; les combustibles fossiles sont de lâĂ©nergie solaire ancienne, donc du vieux nuclĂ©aire », la gĂ©othermie provient de la chaleur libĂ©rĂ©e par 4 milliards dâannĂ©es de radioactivitĂ© naturelle des matĂ©riaux composant le cĆur de la planĂšte, etc. LâĂ©nergie nuclĂ©aire Ă©tant extrĂȘmement intense fissionner un gramme dâuranium libĂšre autant dâĂ©nergie que de brĂ»ler une tonne de pĂ©trole les hommes ne lâont mise en oeuvre que dans des applications en nombre limitĂ© production Ă©lectrique, bombes hĂ©las, et radiothĂ©rapie la radioactivitĂ© du cobalt 60 est utilisĂ©e pour bombarder les cellules cancĂ©reuses, pour lâessentiel. Au risque de se rĂ©pĂ©ter, la conclusion de tout ce qui prĂ©cĂšde est quâil ne peut rien se passer » dans notre univers sans que de lâĂ©nergie entre en jeu. Plus la modification est ample, et plus, par dĂ©finition, il y a de lâĂ©nergie qui intervient. Cette Ă©nergie, nous ne pouvons pas toujours lâutiliser avec notre propre corps. Ce dernier sait convertir en chaleur, ou en Ă©nergie mĂ©canique lâĂ©nergie de la biomasse via notre alimentation, mais nous ne buvons pas de pĂ©trole ni ne mangeons de charbon. Pour utiliser ces Ă©nergies modernes » il faut recourir Ă une machine qui, elle, saura en tirer profit. Et des machines, nous en utilisons de plus en plus, pour effectuer de plus en plus de transformations de toute nature dont nous cherchons Ă tirer profit. Plus prĂ©cisĂ©ment lâhumanitĂ© a utilisĂ© de plus en plus dâĂ©nergie alimentant des machines pour extraire Ă©nergie mĂ©canique, transformer Ă©nergie chimique, travailler Ă©nergie mĂ©canique, et dĂ©placer Ă©nergie du mouvement les ressources minĂ©rales ou biologiques qui composent les objets de toute nature que nous avons Ă notre disposition, y compris les gros » objets comme les immeubles, voitures, usines, infrastructures, etc nous avons utilisĂ© de plus en plus dâĂ©nergie pour mettre en mouvement les machines Ă transporter automobiles, camions, trains, avions, bateaux une fois construites, nous avons utilisĂ© de plus en plus dâĂ©nergie pour chauffer ou refroidir les espaces coupĂ©s de lâenvironnement extĂ©rieur » que nous avons construit les bĂątiments de toute nature Câest cette augmentation des machines au service de chacun que nous allons en fait retrouver dans lâaugmentation de la consommation dâĂ©nergie par personne ». Evolution de la consommation dâĂ©nergie par personne, en moyenne mondiale, depuis 1860, bois inclus mais ce dernier nâalimente quasiment jamais une machine industrielle ou un vĂ©hicule. Lâaxe vertical est graduĂ© en kWh ; un terrien dispose donc, en moyenne, dâun peu plus de kWh par an en comparaison lâĂ©nergie mĂ©canique fournie par son propre corps est de lâordre de 100 kWh par an. On note trois temps dans lâĂ©volution ci-dessus jusquâen 1979 2Ăš choc pĂ©trolier, la quantitĂ© dâĂ©nergie par personne est fortement croissante, aprĂšs elle est quasi-constante jusquâau dĂ©but des annĂ©es 2000, Et enfin elle remonte » au courant des annĂ©es 2000, pendant la pĂ©riode de trĂšs forte croissance⊠qui a surtout concernĂ© les pays Ă©mergents, et sâest faite au charbon », Ă©nergie qui dans ces pays se place globalement devant le pĂ©trole, mais cette hausse sâarrĂȘte Ă nouveau au milieu des annĂ©es 2000, juste avant la crise financiĂšre » Compilation de lâauteur sur sources primaires Shilling et al. 1977, BP Statistical Review 2019, Smil 2019. A cause de ce qui est exposĂ© ci-dessus, il est facile de comprendre que le systĂšme productif â et donc lâĂ©conomie â dĂ©pend fortement de lâĂ©nergie lâĂ©conomie, ce nâest quâun gros systĂšme Ă transformer des ressources, prenant dans la nature minĂ©raux, vĂ©gĂ©taux, gaz, liquides, etc, et les transformant en autre chose ». Or puisque toute transformation sâaccompagne de lâutilisation dâĂ©nergie, il paraĂźt logique que la production en sortie soit largement dĂ©pendante de lâĂ©nergie que lâon met dans le systĂšme en entrĂ©e. Cette Ă©nergie peut soit venir des hommes nos muscles, soit des machines. Or un rapide calcul montre quâun homme ne peut fournir, au maximum, que 100 kWh de travail mĂ©canique dans une annĂ©e en utilisant ses bras et ses jambes. Ce que dit le graphique ci-dessus est donc que pĂ©trole, gaz et charbon ont permis aux hommes de multiplier par plusieurs centaines leur action sur lâenvironnement, en ordre de grandeur et en moyenne. En France, oĂč la consommation dâĂ©nergie est plutĂŽt de kWh par an en tenant compte de lâĂ©nergie de fabrication des biens importĂ©s, le multiple serait plutĂŽt de lâordre de 500. ReprĂ©sentation schĂ©matique des flux qui pilotent notre systĂšme productif. Le systĂšme productif nâest quâune Ă©norme machine Ă transformer des ressources naturelles gratuites dans notre reprĂ©sentation Ă©conomique conventionnelle, et donc qui ne peuvent manquer par dĂ©finition, avec du travail donc de lâĂ©nergie qui est fourni pour une petite partie par nos muscles qui utilisent des aliments, et pour lâessentiel en fait pour 200 fois plus en moyenne mondiale, en 500 fois plus pour les français par des machines, qui utilisent de lâĂ©nergie. La productivitĂ© du travail », câest essentiellement combien dâĂ©nergie pour machines nous avons par bonhommeâŠ. La crĂ©ation de capital nâest quâune boucle de rĂ©troaction interne au systĂšme, constituĂ©e de ressources et de travail passĂ©s je nâai rien inventĂ©, câest exactement comme cela que le capital Ă©tait traitĂ© physiquement » dans le rapport du Club de Rome . On comprend bien, avec ce schĂ©ma, que si nous avons plein de capital et plein de travail, mais pas dâĂ©nergie, nous nâaurons pas de production significative ! Dit autrement, ce qui fait fonctionner la machine industrielle mondiale, câest avant tout lâĂ©nergie, et non avant tout le travail des hommes. Comme le tertiaire est assis » sur lâindustrie, et ne fonctionne pas Ă cĂŽtĂ© » sans en dĂ©pendre, du coup cela signifie que lâĂ©nergie est le vĂ©ritable moteur de la civilisation industrielle, bien avant nos bras et nos jambes, qui ne sont lĂ que pour actionner des manettes et des interrupteurs, bref ce qui libĂšre la force brute de lâĂ©nergie ! Il est donc logique que la contrepartie Ă©conomique de notre production, traditionnellement mesurĂ©e par le PIB, varie comme la consommation dâĂ©nergie â câest Ă dire la quantitĂ© de machines au travail â bien avant de varier comme la population â câest Ă dire la quantitĂ© dâhommes au travail. Evolution comparĂ©e, depuis 1960, du PIB mondial courbe bleue, en anglais PIB se dit GDP, et de la consommation mondiale dâĂ©nergie, hors bois courbe verte, attention il sâagit de kWh, pas de prix !. Ce qui est reprĂ©sentĂ© pour chaque annĂ©e est le pourcentage de variation par rapport Ă lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente. Il est facile de constater que les deux Ă©voluent quasiment de concert. Il est aussi intĂ©ressant de noter quâen 1980, 1989, 1997, et 2005 la variation Ă la baisse sur lâĂ©nergie a prĂ©cĂ©dĂ© â de peu, certes â celle sur le PIB. Compilation de lâauteur sur sources primaires BP statistical review, 2019, et Banque Mondiale PIB, 2019 PIB mondial en milliards de dollars constants de 2018 axe vertical en fonction de la consommation dâĂ©nergie mondiale en millions de tonnes Ă©quivalent pĂ©trole axe horizontal, pour les annĂ©es 1965 Ă 2018. La corrĂ©lation entre les deux grandeurs apparaĂźt clairement, avec une petite rupture de pente aprĂšs 1979. Compilation de lâauteur sur sources primaires BP statistical review, 2019, et Banque Mondiale PIB, 2019. Il est intĂ©ressant de constater que si on essaie de corrĂ©ler le PIB mondial non point au volume dâĂ©nergie disponible, mais Ă son prix, alors il nây a aucun lien ! PIB mondial en milliards de dollars constants de 2018 axe vertical en fonction du prix du baril en dollars constants de 2018 axe horizontal, pour les annĂ©es 1960 Ă 2018. Il nây a pas de corrĂ©lation le PIB peut monter avec un prix qui baisse, mais aussi avec un prix qui monte, et de 2008 Ă 2009 il est descendu avec un prix du pĂ©trole⊠qui est descendu aussi. Rappelons que le commerce international en gĂ©nĂ©ral, et celui du pĂ©trole en particulier, est un jeu Ă somme nulle si le pĂ©trole vaut plus cher lâimportateur paye plus, mais lâexportateur encaisse plus. Compilation de lâauteur sur sources primaires BP statistical review, 2019 prix du pĂ©trole, et Banque Mondiale PIB, 2019 Comme, pour le moment, le pĂ©trole domine le systĂšme Ă©nergĂ©tique mondial de la tĂȘte et des Ă©paules, fournissant plus de 40% de la consommation dâĂ©nergie finale de lâhumanitĂ©, et surtout quâil conditionne le transport mondial qui en dĂ©pend Ă 98%, lequel conditionne la taille » de lâĂ©conomie », la fluctuation du PIB par personne en lâespĂšce apparait comme encore plus ajustĂ©e sur celle du pĂ©trole disponible en volume. Variations respectives, depuis 1965, de la quantitĂ© de pĂ©trole produite donc consommĂ©e dans le monde pas du prix !, en violet, et du PIB par personne en moyenne mondiale, en bleu. Dans les deux cas de figure il sâagit de moyennes glissantes sur 3 ans. La corrĂ©lation du sens de la variation est parfaite, et celle de lâamplitude presque parfaite depuis 1986, avec un fait essentiel câest la variation sur le pĂ©trole qui prĂ©cĂšde celle sur le PIB depuis 1996, et non lâinverse. Source des donnĂ©es BP Statistical Review, 2019, et World Bank, 2019, calculs de votre serviteur. PIB mondial en dollars constants axe vertical en fonction de la consommation mondiale de pĂ©trole en millions de tonnes Ă©quivalent pĂ©trole axe horizontal, pour les annĂ©es 1965 Ă 2018. Courbe verte 1965 Ă 1982 Courbe rouge 1983 Ă 2018. On voit que la corrĂ©lation est aussi forte pour la pĂ©riode post-1982 que pour la pĂ©riode prĂ©-1974 cela confirme que lâĂ©conomie mondiale nâest pas moins dĂ©pendante du pĂ©trole, elle lâest au moins autant ! Compilation de lâauteur sur sources primaires BP statistical review, 2019 pĂ©trole, et Banque Mondiale PIB, 2019 Cela amĂšne Ă©videmment une question idiote que devient lâĂ©conomie avec moins de pĂ©trole ? Puis-je consommer de plus en plus dâĂ©nergie ? Tout ce qui vient dâĂȘtre exposĂ© ci-dessus est certes absolument passionnant, captivant, et pour tout dire haletant, mais si lâĂ©nergie est disponible sans limites, cela sera essentiellement utile pour les conversations de salon. LâĂ©conomie dĂ©pend de lâĂ©nergie, fort bien, il nây a quâĂ avoir de plus en plus dâĂ©nergie pour avoir de plus en plus dâĂ©conomie, et puis les retraites seront sauvĂ©es, et la cote politique des premiers ministres avec. Sauf que⊠lâĂ©nergie a une caractĂ©ristique majeure, bien connue des physiciens elle ne peut ni se crĂ©er, ni se dĂ©truire, mais juste se transformer. Pour augmenter lâĂ©nergie utilisĂ©e par un systĂšme, il faut donc que cette Ă©nergie vienne de lâextĂ©rieur du systĂšme, car il est interdit que plus dâĂ©nergie » apparaisse dans ce systĂšme de maniĂšre spontanĂ©e. Un moteur ne crĂ©e » pas dâĂ©nergie mĂ©canique, il transforme en Ă©nergie mĂ©canique et en chaleur une Ă©nergie chimique prĂ©existante celle du carburant qui lui est apportĂ©e de lâextĂ©rieur. Dans le mĂȘme esprit, le carburant nâest pas apparu spontanĂ©ment dans le sol, mais il vient lui-mĂȘme de la transformation dâĂ©nergie solaire ancienne. Incidemment, quand on utilise le terme producteur dâĂ©nergie » pour parler dâun producteur dâĂ©lectricitĂ©, ou Ă©ventuellement un producteur de pĂ©trole, câest un demi-mensonge. On devrait dire transformateur dâĂ©nergie » pour un Ă©lectricien, et extracteur dâĂ©nergie » pour une compagnie pĂ©troliĂšre, car aucune activitĂ© humaine ne peut produire » une Ă©nergie qui nâexistait pas auparavant ! Ce qui change, Ă chaque transformation de lâĂ©nergie, est la qualitĂ© » de cette derniĂšre, caractĂ©risĂ©e par une notion que lâon appelle lâentropie, qui mesure le degrĂ© de dĂ©sordre » de lâĂ©nergie. Plus lâentropie augmente, et plus lâĂ©nergie est en dĂ©sordre », donc bas de gamme. Or chaque transformation augmente inexorablement lâentropie, en transformant une Ă©nergie haut de gamme » en Ă©nergie bas de gamme ». Le haut de lâĂ©chelle est occupĂ© par lâĂ©nergie mĂ©canique, et le bas de lâĂ©chelle est occupĂ© par la chaleur basse tempĂ©rature, et câest pour cela que tout usage de lâĂ©nergie se termine toujours en chaleur, et quâil est impossible de recrĂ©er du mouvement faible entropie Ă partir de chaleur haute entropie pour la totalitĂ© de la chaleur entrant dans une machine thermique. Comme la physique nous interdit de crĂ©er de lâĂ©nergie, les hommes ne pourront donc jamais faire autre chose que de profiter dâune transformation dâune Ă©nergie qui se trouve dĂ©jĂ dans la nature matiĂšres qui brĂ»lent bois, pĂ©trole, charbon, gaz, noyaux fissiles uranium, rayonnement dĂ©jĂ prĂ©sent soleil, mouvement dĂ©jĂ prĂ©sent vent, marĂ©es, chutes dâeau, etc. Du coup, nous ne pouvons pas consommer » plus dâĂ©nergie que ce qui se trouve dans la nature. Et si une Ă©nergie nâexiste que suite Ă une transformation par les hommes Ă©lectricitĂ©, hydrogĂšne⊠elle nâest pas une source » dâĂ©nergie câest juste une maniĂšre dâutiliser une autre Ă©nergie dĂ©jĂ prĂ©sente dans la nature. Un deuxiĂšme Ă©lĂ©ment discrimine fortement les Ă©nergies Ă notre disposition la puissance. Car nos usages industriels rĂ©clament non seulement beaucoup dâĂ©nergie disponible, mais plus encore beaucoup de puissance, câest-Ă -dire que cette Ă©nergie soit disponible sur de trĂšs courts laps de temps. Une voiture dâune tonne qui roule Ă 100 km/h, cela reprĂ©sente environ 0,1 kWh dâĂ©nergie mĂ©canique. Ce nâest pas Ă©norme un homme ordinaire qui pĂ©dale comme un forcenĂ© est capable de fournir cette Ă©nergie en quelques heures un cycliste du tour de France en 10 fois moins de temps, mais nous nâavons pas tous ce genre de condition physiqueâŠ. Mais ce qui nous intĂ©resse, câest que notre voiture parvienne Ă cette vitesse en quelques secondes, pas en quelques heures ! Câest une autre maniĂšre de dire que les seules sources qui nous intĂ©ressent, pour nos usages modernes », sont des sources concentrĂ©es, capable de fournir beaucoup de puissance. Et câest lĂ tout le dĂ©bat sur les Ă©nergies renouvelables, car le Soleil a beau nous envoyer chaque heure ce que nous consommons en une annĂ©e, cette Ă©nergie tombe sur toute la surface de la terre, avec peu de puissance par unitĂ© de surface. Concentrer » lâĂ©nergie renouvelable pour lâamener au niveau de puissance des Ă©nergies fossiles, câest souvent lĂ que se trouvera la difficultĂ©. Et aprĂšs ? Maintenant que les flux physiques qui crĂ©ent lâĂ©conomie sont mis en mouvement par une Ă©nergie plusieurs centaines de fois supĂ©rieure Ă celle de nos muscles, une hypothĂšse raisonnable est de considĂ©rer que notre Ă©conomie ne pourra pas croĂźtre plus vite que lâapprovisionnement Ă©nergĂ©tique, aux gains dâefficacitĂ© prĂšs, mais ces derniers sont loin dâĂȘtre massifs Ă lâĂ©chelle de quelques dĂ©cennies. Cela est assez cohĂ©rent avec le fait que le pĂ©trole, qui domine le systĂšme Ă©nergĂ©tique de la tĂȘte et des Ă©paules le pĂ©trole reprĂ©sente 42% de lâĂ©nergie finale consommĂ©e dans le monde, est le meilleur indicateur avancĂ© de la conjoncture, loin devant les spĂ©culations des Ă©conomistes ! Si nous reprenons le graphique donnant la consommation dâĂ©nergie moyenne dâun individu depuis 1880, qui figure plus haut sur cette page, nous voyons quâil y a eu deux temps bien distincts depuis le dĂ©but de la rĂ©volution industrielle jusquâaux chocs pĂ©troliers, lâapprovisionnement par personne augmente fortement, de 2,5% par an en moyenne, depuis 1980, et mĂȘme en incluant la forte croissance des 10 derniĂšres annĂ©es, la moyenne sur la pĂ©riode nâest que de 0,3% par an Pourcentage dâaugmentation de la consommation dâĂ©nergie commerciale par personne donc hors bois, depuis 1870 moyenne glissante sur 10 ans. En bleu valeur annuelle ; En rouge moyenne pour la pĂ©riode 1860 â 1980 Ă gauche, moyenne pour la pĂ©riode 1981 â 2018 Ă droite. Il est facile de voir que les chocs pĂ©troliers ont marquĂ© une forte rupture sur la hausse moyenne, sur une pĂ©riode longue, de la consommation dâĂ©nergie par personne. Compilation de lâauteur sur sources primaires Shilling et al., BP statistical review, Nations Unies Population. Or lâanalyse Ă©conomique du 20Ăš siĂšcle et du dĂ©but du 21Ăš montre aussi quâil y a eu deux Ă©poques de 1880 Ă 1975, alors que lâĂ©nergie par personne croĂźt, la planĂšte ne connaĂźt que 1 crise Ă©conomique majeure, en 1929. depuis 1975, aprĂšs le changement de rythme de croissance, il y a une crise tous les 5 Ă 10 ans 1975, 1980, 1991, 2000, 2008, et 2012/2013 est aussi une pĂ©riode un peu chahutĂ©e dans lâOCDE. Cela semble en fait assez logique avec ce qui figure ci-dessus moins dâĂ©nergie = moins de capacitĂ© de transformation = moins de PIB qui ne fait que mesurer cette transformation quand elle sâopĂšre dans le cadre de lâĂ©conomie marchande. Pour renforcer cette conclusion, nous pouvons appeler Ă notre rescousse la rĂšgle de trois, qui, ici comme ailleurs, est toujours dâune Ă©tonnante actualitĂ© ! Pour cela, nous allons commencer par Ă©crire que le PIB mondial, que nous appellerons GDP, est Ă©gal Ă lui-mĂȘme. GDP= GDP Jusque lĂ , nous devrions tous ĂȘtre dâaccord ! Puis nous allons multiplier et diviser, Ă droite, par la consommation mondiale dâĂ©nergie, appelĂ©e NRJ. GDP= \frac{GDP} {NRJ}\times{NRJ} Soit \text{\scriptsize{PIB mondial }}=\text{ \scriptsize{PIB produit par unite d'energie} }\times \text{ \scriptsize{Quantite d'energie consommee}} Le terme PIB produit par unitĂ© dâĂ©nergie » nâest rien dâautre que lâefficacitĂ© Ă©nergĂ©tique de lâĂ©conomie plus lâĂ©conomie est efficace en Ă©nergie », plus on peut produire de PIB pour une mĂȘme quantitĂ© dâĂ©nergie. Quand ce terme augmente, cela signifie que, pour une mĂȘme consommation de kWh, on peut produire plus de meubles, de paires de lunettes, de surgelĂ©s, de logements et de cafetiĂšres. Pour ce qui suit, nous allons ramener cette Ă©galitĂ© au PIB par personne, ce qui signifie que nous allons diviser des deux cĂŽtĂ©s par la population mondiale, appelĂ©e POP, pour obtenir ce qui suit \frac{GDP} {Pop}= \frac{GDP} {NRJ}\times \frac{NRJ} {Pop} Soit \text{\scriptsize{PIB par personne }}=\text{ \scriptsize{PIB produit par unite d'energie} }\times \text{ \scriptsize{Quantite d'energie consommee par personne}} Nous allons maintenant dĂ©river cette Ă©galitĂ© », ce qui signifie passer de lâĂ©galitĂ© des termes Ă lâĂ©galitĂ© de la variation des termes dans le temps. En effet, quand deux termes sont Ă©gaux, alors par dĂ©finition leur variation dans le temps est Ă©gale ! Mais la petite subtilitĂ© dont nous allons profiter est que, quand chacun des termes ne change pas trop vite, la variation dans le temps dâun produit est Ă©gale, en premiĂšre approximation, Ă la somme des variations. Dit autrement, si nous avons A = B*C, alors la variation de A dans le temps, notĂ©e %A, est en premiĂšre approximation Ă©gale Ă %B+%C, pour %B et %C qui restent petits » quelques % par an satisfait Ă cette condition. Si ma population augmente de 2% par an et la consommation dâĂ©nergie par personne augmente de 4% par an, la consommation dâĂ©nergie globale qui est le produit des deux termes prĂ©cĂ©dents augmente en premiĂšre approximation de 6% par an 4%+2% et non pas de 4%*2% ! De ce fait, si nous notons %A lâaugmentation annuelle de A, nous pouvons Ă©crire \% \frac{GDP} {Pop}= \% \frac{GDP} {NRJ} + \% \frac{NRJ} {Pop} Le terme de gauche nâest rien dâautre que⊠la croissance du PIB par personne. Cette Ă©quation signifie donc que \text{\scriptsize{Croissance du PIB par personne }}=\text{ \scriptsize{Augmentation annuelle de l'efficacite energetique du PIB} }+ \text{ \scriptsize{Augmentation annuelle de la consommation d'energie par personne}} Or nous venons de voir que la croissance du terme NRJ/POP est brusquement passĂ©e, en 1980, de 2% par an â pendant plus dâun siĂšcle â à ⊠quasiment zĂ©ro. Le terme GDP/NRJ, lui, croĂźt dâun peu moins de 1% par an depuis 1970, et ce rythme nâa pas Ă©tĂ© significativement modifiĂ© sur le long terme par les chocs pĂ©troliers. Dollars constants de PIB par kWh dâĂ©nergie primaire, moyenne mondiale. Ce que dit cette courbe est que pour produire un dollar de PIB en 2018 dans le monde il faut utiliser environ 30% dâĂ©nergie en moins quâen 1965. Le terme GDP/NRJ, a donc progressĂ© dâun peu moins de 1% par an pendant cette pĂ©riode 0,8% par an pour ĂȘtre prĂ©cis !, mais on constate que sur les 15 derniĂšres annĂ©es la progression est trĂšs faible. Autant pour ceux qui disent que lâapparition dâInternet a permis de rendre lâĂ©conomie plus douce » pour lâenvironnement pour le climat ce nâest pas vraiment le cas ! Source BP Statistical Review 2019 pour lâĂ©nergie, World Bank 2019 pour le PIB, division par votre serviteur. Dans le passĂ©, cette petite Ă©galitĂ© explique donc pourquoi le PIB par personne, en moyenne mondiale, est brusquement passĂ© de â3% de croissance par an avant 1980 â1% par an pour GDP/NRJ + â2% par an pour NRJ/POP Ă â1% aprĂšs toujours 1% par an pour GDP/NRJ mais 0% par an pour NRJ/POP. Tout le reste dette croissante, chĂŽmage irrĂ©ductible, bulles spĂ©culatives Ă rĂ©pĂ©tition peut se relier assez logiquement Ă cette baisse rapide de la croissance du PIB par personne. Evolution du PIB par personne depuis 1960 courbe bleue, et moyenne sur trois pĂ©riodes courbe orange. La tendance de ce taux de croissance sur la pĂ©riode est aussi indiquĂ©e courbe verte pointillĂ©e. A la fin des Trente Glorieuses, la croissance du PIB est bien dâun peu plus de 3% par an en moyenne. Elle descend Ă un peu plus de 1% par an jusquâau nouveau choc de 2005, qui marque une nouvelle stabilisation de la quantitĂ© dâĂ©nergie par personne. Depuis, câest 1% par an. Source World Bank 2019 ; moyenne calculĂ©e par lâauteur. Et pour plus tard ? Si lâavenir europĂ©en doit ĂȘtre fortement contraint question Ă©nergie, et il le sera, en particulier sur le pĂ©trole et le gaz, alors le terme NRJ/POP va devenir nĂ©gatif, et la rĂ©cession deviendra probablement un Ă©pisode rĂ©current normal du parcours Ă©conomique. Il nâest pas complĂštement sĂ»r que le systĂšme fonctionne de maniĂšre aussi simple. Mais il nâest pas complĂštement sĂ»r non plus que cet enchaĂźnement de cause Ă effet ne soit pas le premier dĂ©terminant de lâĂ©conomie future. Les corrĂ©lations observĂ©es sont suffisamment troublantes, et la thĂ©orie » comporte suffisamment dâĂ©lĂ©ments solides pour que lâon se prĂ©occupe un peu plus dâĂ©nergie future quand on parle dâĂ©conomie future. Accessoirement, si cette relation est solide, construire une Ă©conomie dĂ©carbonĂ©e devient un vrai programme de sociĂ©tĂ©, puisque lâĂ©nergie a tout fait ! Enfin, si les mĂ©dias faisaient correctement leur travail, il serait impossible de faire prospĂ©rer auprĂšs du public des plans pour lâavenir qui supposent de violer dĂ©libĂ©rĂ©ment la loi de conservation de lâĂ©nergie ou qui supposent de violer dĂ©libĂ©rĂ©ment les faits scientifiques considĂ©rĂ©s comme acquis dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Entre autres exemples, promettre aujourdâhui plus de pouvoir dâachat ou des retraites prĂ©servĂ©es, ce qui suppose plus de PIB, sans expliquer comment on rend cela compatible avec de moins en moins dâĂ©nergie, soit pour des problĂšmes dâapprovisionnement, soit pour la sauvegarde dâun climat stable sans lequel il nây a plus de retraitĂ©s ce qui rĂšgle le problĂšme !, devrait se heurter immĂ©diatement Ă un tir nourri de questions incisives et factuelles. Je ne suis hĂ©las pas sĂ»r que la presse sây emploie ! Articles Connexes
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Ceconcept scientifique est apparu avec Aristote et a fortement Ă©voluĂ© au cours du temps. Aujourdâhui, lâĂ©nergie dĂ©signe « la capacitĂ© Ă effectuer des transformations ». Par exemple, lâĂ©nergie câest ce qui permet de fournir du travail, de produire un mouvement, de modifier la tempĂ©rature ou de changer lâĂ©tat de la matiĂšre.
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qu est ce que l énergie musculaire