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Jeanne Coroller, ou C. Danio pour Coroller Danio, est nĂ©e le 25 mai 1892 Ă Mordelles est assassinĂ©e le 13 juillet 1944, dans la forĂȘt de La Hardouinais Ă Merdrignac. Elle est une militante catholique rĂ©gionaliste et autonomiste bretonne et une femme de lettres. Son principal nom d'auteur Ă©tait C. Danio[1], elle signait C. Danio voir liste de ses principaux ouvrages, Jeanne de Coatgourc'han, Gilles Gautrel et Gilesse Penguilly. Origine[modifier modifier le code] Son pĂšre est un Ă©crivain de langue bretonne, EugĂšne Coroller 1857-1923 plus connu sous le pseudonyme de Gweltaz. Ce grand ami de ThĂ©odore Hersart de la VillemarquĂ© est un descendant du colonel Coroller, membre de lâĂ©tat-major de Georges Cadoudal, Il est aussi le fondateur de "Feiz ha Breiz" et le prĂ©sident du "Breuriez ar Brezonnek". Bretonne Ă©galement, sa mĂšre est Pauline de Farcy de Beaumont 1858-1932. NĂ©e Ă Mordelles en 1892, Jeanne Coroller Ă©pouse le 19 fĂ©vrier 1924 Ă TrĂ©daniel, RenĂ© Chassin du Guerny veuf en premiĂšres noces de CĂ©cile Loir-Mongazon et lui donnera sept enfants dont Rozenn 1958, mariĂ©e en 1939 avec Yves Chevillotte, François, Armelle, mariĂ©e en 1960 avec Yves Chevillotte, Marie-HĂ©lĂšne, Yvonne-Jeanne Vonig et Yannick mariĂ© en 1958 avec GeneviĂšve de MĂ©ric de Bellefon. Ćuvre romanesque et historique de langue bretonne[modifier modifier le code] Elle est un auteur de jeunesse de grand talent. Elle est aussi une catholique fervente. DĂšs 1922, elle publie une Histoire de notre Bretagne illustrĂ©e dans sa premiĂšre Ă©dition par Jeanne Malivel 1895-1926 qui au vu de l'autonomisme revendiquĂ© par l'ouvrage alors qu'elle mĂȘme s'Ă©tait toujours revendiquĂ©e rĂ©gionaliste, interdira fermement toute utilisation de ses bois gravĂ©s pour la réédition. En 1929, elle publie sous forme scĂ©nique Le MystĂšre de Bretagne, qui sera reprĂ©sentĂ©, dans la version bretonne de l'abbĂ© Perrot, au Bleun-Brug de Douarnenez devant prĂšs de 10 000 personnes. En 1940, elle participe Ă la revue pour enfants ĂlolĂ© d'Herry Caouissin, oĂč elle publie Les loups de Coatmenez 1941, suivi peu aprĂšs de sa suite La croisade des Loups 1943 tous les deux illustrĂ©s par Ătienne Le Rallic. On lui doit aussi une Histoire de ma Bretagne et de nombreux autres textes historiques. Elle publie son Ćuvre sous divers pseudonymes C. Danio, Jeanne de Coatgourc'han, Gilles Gautrel et Gilesse Penguilly. Son collaborationnisme breton[modifier modifier le code] En aoĂ»t 1943, son chĂąteau accueille le Kadervenn de Neven Henaff. Yann Fournis, dans sa thĂšse sur le Bezen Perrot, affirme que le cantonnement des BagadoĂč stourm fut organisĂ© chez elle en 1943 Ă Caulnes. Ronan Caouissin mentionne sa prĂ©sence dans une rĂ©union politique, le 20 mai 1944[2] Ă la rĂ©union de la rue le Bastard, Mabinog[3], adjoint de LainĂ©, avait groupĂ© une trentaine d'opiniĂątres. Le nĂ©o-paĂŻen Pol Le Reste y cĂŽtoyait les trĂšs catholiques Marc Le Berre, Olier Chevillotte, Jeanne du Guerny ainsi que le protestant Marcel Guieysse. » Son assassinat le 13 juillet 1944[modifier modifier le code] Courant 1944, Christian Le Mintier de La Motte-Basse, capitaine de vaisseau, est mis en congĂ© d'armistice. Il vient s'installer au chĂąteau de la Motte-Basse au Gouray, propriĂ©tĂ© de son frĂšre Godefroy Le Mintier de La Motte-Basse. Pour accĂ©lĂ©rer le retour de ses 4 fils vivant alors chez une tante dans la Creuse, il accepte l'aide de sa voisine de Penguily, Jeanne Coroller, proche sympathisante du PNB, qui l'accompagne Ă la Kommandantur de Lamballe pour obtenir des laissez-passer. Selon les sources, il n'aurait pas Ă©tĂ© pour la collaboration, mais d'autres considĂšrent qu'il avait des liens Ă©troits avec le PNB. Ce qui est sĂ»r, c'est qu'il exprime rĂ©guliĂšrement son amertume vis-Ă -vis des Anglais pour avoir vĂ©cu l'attaque de Mers el-KĂ©bir. Il commandait en effet le contre-torpilleur Lynx et a protĂ©gĂ©, avec sang-froid et dĂ©termination, la sortie du cuirassĂ© Strasbourg[4]. Les troupes allemandes font face Ă l'organisation de maquis dans le secteur du Gouray. MenacĂ©s d'encerclement, les maquisards de Lamballe du Bataillon Gilles commandĂ© par le commandant Gilles RenĂ© Billaud ont Ă©vacuĂ© leur maquis des Petites Rosaies Ă La Malhoure le 21 juin 1944 pour le Nid Rouge au Gouray. MenacĂ©s de nouveau par un ratissage allemand, ils se replient Ă La Boulaye, dans la forĂȘt du Boquen, au Gouray. Le 29 juin 1944, les Allemands fouillent Le Gouray Ă la recherche des maquisards. PourchassĂ©s en territoire mal connu, manquant d'armes, les maquisards ont le moral en berne et risquent l'anĂ©antissement. Ils repartent le jour-mĂȘme Ă 18 heures vers Le MenĂ© en passant de nuit par Saint-Jacut-du-MenĂ©. Ils trouvent refuge dans une grange isolĂ©e Ă 600 mĂštres de la route Ă 500 mĂštres de la ferme du Plat. Le 30 juin 1944, le commandant Gilles annonce la dispersion temporaire du maquis[5]. Fin juin 1944, le groupe de maquisards et de SAS du lieutenant Fauquet s'installe Ă son tour au Nid Rouge au Gouray. Ils sont Ă©galement attaquĂ©s par les Allemands et doivent dĂ©crocher. Certains partent vers la ferme des Salles Ă HĂ©non oĂč ils sont attaquĂ©s, capturĂ©s puis fusillĂ©s groupe du lieutenant Fauquet. Un autre groupe crĂ©e le maquis de Seilla Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© groupe du sergent Morand[6]. Un nouveau maquis s'installe dĂ©but juillet dans la forĂȘt de Boquen, au Nid Rouge Gouray, aidĂ© par les parachutistes SAS hĂ©bergĂ©s de temps en temps depuis juin 1944 chez Julia Gouin, Ă©pouse Baratoux. DĂ©noncĂ©, le maquis de Boquen doit Ă©vacuer le 9 juillet 1944, tout d'abord prĂšs du chĂąteau de La RohĂ©e au Gouray. Les 8 et 9 juillet, cinq personnes sont arrĂȘtĂ©es au Gouray par les Allemands, notamment Julia Gouin, Ă©pouse Baratoux, torturĂ©e ensuite Ă l'Ă©cole primaire d'Uzel. La plupart des maquisards partent ensuite au maquis de la forĂȘt de La Hardouinais Ă Merdrignac. Quelques autres crĂ©ent le 14 juillet 1944 le maquis de Bourgneuf Ă SĂ©vignac. Une ou plusieurs personnes du Gouray dĂ©nonce la famille Le Mintier de La Motte-Basse comme responsable de ces dĂ©nonciations rĂ©pĂ©tĂ©es au Gouray. Ces personnes interprĂštent diverses informations pas toujours trĂšs fiables sur fond de rivalitĂ©s familiales remontant Ă la RĂ©volution française⊠Une trentaine de maquisards arrivent au chĂąteau, vers 22 h, le 11 juillet 1944. Trois d'entre eux trouvent les habitants rassemblĂ©s dans la cuisine et emmĂšnent dehors, sous la menace de leurs armes, Christian Le Mintier de La Motte-Basse, son Ă©pouse Henriette Aymer de La Chevalerie, leur bonne alsacienne Gertrude Baumgarten, et Alberte Le Mintier de La Motte-Basse, Ă©pouse de PĂ©tigny de Saint-Romainc[7],[4]. Ils sont emmenĂ©s et enfermĂ©s au presbytĂšre du Gouray. Le lendemain 12 juillet vers 10 h, deux hommes armĂ©s viennent au domicile de Jeanne Coroller, au chĂąteau de La Saudraie, Ă Penguily, pour lui rĂ©quisitionner son automobile, ce qu'elle accepte. Ils lui apprennent sans doute que Christian Le Mintier de La Motte-Basse et sa famille ont Ă©tĂ© capturĂ©s et que l'automobile doit servir Ă les transporter. Elle se rend Ă pied, dans l'aprĂšs-midi, au Gouray avec son fils, François Chassin du Guerny [8] probablement dans l'espoir de faire libĂ©rer les prisonniers[9]. Mais, considĂ©rĂ©e comme Ă©tant proche sympathisante du PNB, elle est aussi emprisonnĂ©e avec son fils. Tous les captifs sont emmenĂ©s dans la forĂȘt de La Hardouinais, Ă Merdrignac, sauf la bonne, emmenĂ©e Ă Seilla Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©[7], par Michel Carrier et deux parachutistes pour ĂȘtre jugĂ©s » sauf François Chassin du Guerny, Ă©pargnĂ©, par un tribunal militaire du maquis de Boquen », dont les deux parachutistes. Il s'agit d'AndrĂ© Coquette et Francis Serville ; Michel Carrier est membre du maquis FTPF de Seilla, Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©[10]. AprĂšs un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont condamnĂ©s Ă mort »[11]. Le commandant Christian Le Mintier de La Motte-Basse, son Ă©pouse Henriette Aymer de La Chevalerie, sa belle-sĆur Alberte Le Mintier de La Motte-Basse, Ă©pouse de PĂ©tigny de Saint-Romain et Jeanne Coroller sont tuĂ©s par balle dans la tĂȘte, d'aprĂšs le mĂ©decin qui examine les corps aprĂšs leur dĂ©couverte[4],[12],[13]. Les corps sont enterrĂ©s dans une fosse commune faite dans un taillis, Ă La Fenderie, dans la forĂȘt de La Hardouinais, et retrouvĂ©s le 26 juillet 1944 Ă 14 heures. L'acte de dĂ©couverte des corps est dressĂ© le 30 juillet 1944 Ă Merdrignac[14]. Les corps sont dĂ©posĂ©s dans un premier temps Ă la mairie de Merdrignac[4] et identifiĂ©s par AndrĂ© Mirchier avant d'ĂȘtre amenĂ©s au caveau familial du chĂąteau de La Motte-Basse, au Gouray, pour inhumation. Les membres de la famille Le Mintier de La Motte-Basse sont reconnus Morts pour la France »[7] et inscrits au Monument aux Morts du Gouray. Il existe une rue du Commandant Le Mintier Ă Vannes. Jeanne Coroller a Ă©tĂ© Ă©galement assassinĂ©e le 13 juillet 1944, son corps a Ă©tĂ© retrouvĂ© que le 26 juillet [15], treize jours plus tard, et identifiĂ© par son frĂšre Yves Coroller[4]. Elle est inhumĂ©e dans un premier temps au cimetiĂšre communal de Merdrignac le 28 juillet et quelques mois plus tard au cimetiĂšre de Penguily, puis transfĂ©rĂ©e ailleurs. Gertrude Baumgarten est emmenĂ©e directement au maquis de Seilla Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©. Bien que la sachant innocente, ordre est donnĂ© de l'assassiner. AprĂšs avoir Ă©tĂ© violĂ©e par toute la bande dans le bois de Bosseny Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©, elle est tuĂ©e, le 24 juillet 1944, d'une balle de pistolet dans la tĂȘte. EnroulĂ© dans un drap, son corps est retrouvĂ© dans le bois, le 7 aoĂ»t 1944, et enterrĂ© dans une fosse sous un taillis. Le corps est ensuite inhumĂ© dans l'ancien cimetiĂšre de la commune[4] situĂ© autour de l'Ă©glise. Dans les annĂ©es 1970, le cimetiĂšre est transfĂ©rĂ© Ă son emplacement actuel et la tombe de Gertrude Baumgarten est supprimĂ©e. L'acte de dĂ©cĂšs est dressĂ© le 13 janvier 1945 Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©. La recherche des responsables des assassinats[modifier modifier le code] Plainte de la famille Le Mintier[modifier modifier le code] AprĂšs la LibĂ©ration, la famille Le Mintier de La Motte-Basse multiplie les requĂȘtes pour obtenir la vĂ©ritĂ© sur l'affaire. Recueillant des informations et des rumeurs, Godefroy Le Mintier de La Motte-Basse, frĂšre du commandant Christian Le Mintier de La Motte-Basse, affirme que ce sont les maquisards de Seilla, Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©, commandĂ©s par un dĂ©nommĂ© Mimile, qui ont enlevĂ© ces personnes. Il affirme Ă©galement que, le maquis en forĂȘt de La Hardouinais Ă©tant supposĂ© sous surveillance allemande, les meurtres auraient Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s par RenĂ© Baubry et Rogard, de la bande Ă Mimile, Ă coups de barre de fer. Reconstitution des faits[modifier modifier le code] Deux maquis existent en juillet 1944 Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©. Le premier s'est formĂ© en juin 1944 Ă La Douve, Ă l'est de la commune, oĂč se trouve la ferme de la famille Sagory. Le pĂšre Jean Sagory est dĂ©cĂ©dĂ© lors de la campagne de 1939-1940[16]. Ce maquis regroupe quelques maquisards qui ont fui la ferme de CrĂ©neleuc Ă Laurenan autour de Roger Peltier, alias Bouboule et le groupe Bleiz-Mor commandĂ© par EugĂšne Le Rhun alias Mimile, basĂ© Ă Plouguenast. PistĂ© par la police, l'armĂ©e allemande et la Gestapo, le groupe Bleiz-Mor doit fuir et rejoint le maquis de La Douve Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©. Ce maquis regroupe une trentaine d'hommes et de femmes[17],[18]. Ă l'ouest de la commune de Saint-Gilles-du-MenĂ©, une maison non habitĂ©e du Seilla, aux Rochers, sert de lieu de rencontre entre messagers des maquis. Fin juin 1944, le maquis du Nid Rouge dans la forĂȘt du Boquen au Gouray est attaquĂ© par les Allemands. Aux cĂŽtĂ©s des maquisards se trouvent des parachutistes larguĂ©s en juin 1944 pour aider les rĂ©sistants. Certains ont participĂ© Ă la crĂ©ation de la base Samwest de Duault attaquĂ©e par les Allemands et dispersĂ©e. AprĂšs l'attaque au Nid Rouge fin juin 1944, les maquisards se dispersent en deux groupes l'un avec les Fauquet, Fadda et Bidault part direction la ferme des Salles Ă HĂ©non, l'autre avec les Franz Nedelko alias Francis Morand, AndrĂ© Coquette et Francis Serville, direction Le Fresne Ă Plessala puis finalement le Seilla Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©[6]. Une rencontre a lieu entre EugĂšne Le Rhun, dit Mimile, du maquis de La Douve et le sergent-chef Franz Nedelko, alias Francis Morand. EugĂšne Le Rhun, alias Mimile, prĂ©tend que par la suite, les deux maquis n'ont plus de contact[19]. Divers tĂ©moignages ne confirment pas cette dĂ©claration. Le maquis de Seilla se compose de trois parachutistes le sergent Franz Nedelko alias Francis Morand, le caporal-chef AndrĂ© Coquette et le soldat Francis Serville, et des maquisards Roger Jerichenson, alias Lucien LagrĂ©e, Louis Lecomte, Jean-Louis Delourmel sous-lieutenant, Jean-Marie Connan, Ătienne Carrier, Michel Carrier, Jacques Chesneau et Lucien Lecomte. Le maquis de Seilla et celui de La Douve se croisent puisqu'ils se trouvent sur le mĂȘme secteur. Ils sont liĂ©s aux autres maquis du secteur notamment celui de La Hardouinais en attente d'un parachutage. Des dĂ©nonciations ont lieu sur le secteur du Gouray 22 en juin et juillet 1944 qui entraĂźnent plusieurs arrestations. Les rĂ©sistants du secteur cherchent le ou les responsables. Leurs soupçons se portent sur la famille Le Mintier de La Motte-Basse. Cela entraĂźne les arrestations des 11 et 12 juillet rĂ©alisĂ©es par Mimile, sa bande et des rĂ©sistants du Gouray en accord avec les Les prisonniers ont Ă©tĂ© emmenĂ©s dans la forĂȘt de La Hardouinais, Ă Merdrignac, par Michel Carrier et deux parachutistes AndrĂ© Coquette et Francis Serville membre du maquis de Seilla Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©, pour ĂȘtre jugĂ©s par un tribunal improvisĂ© du maquis de Boquen, avec des hommes en uniforme, dont les deux parachutistes. AprĂšs un interrogatoire de plusieurs heures, ils sont dĂ©clarĂ©s coupables[11] et assassinĂ©s. La bonne alsacienne, Gertrude Baumgarten, est emmenĂ©e au Seilla. Elle refuse de devenir la maĂźtresse de Franz Nedelko, alias Francis Morand, qui la donne Ă Mimile. Ce dernier l'assassine le 24 juillet 1944 aprĂšs qu'elle a Ă©tĂ© violĂ©e par toute la bande. Les reprĂ©sailles allemandes[modifier modifier le code] Dans la nuit du 27 au 28 juillet 1944, Franz Nedelko, alias Francis Morand, envoie Ătienne Carrier et Roger Jerichenson, alias Lucien LagrĂ©e, en mission. Quant Ă lui, il prend une permission avec Lucien Lecomte et quitte le maquis. Les deux maquisards, partis en mission avec la traction du maquis, tombent en panne et sont arrĂȘtĂ©s par une colonne allemande, vers 2 heures, Ă La LouviĂšre Ă Plumaudan. TorturĂ© Ă la Feldkkommandantur de Dinan, Ătienne Carrier reste silencieux. Il est trĂšs probablement fusillĂ© peu aprĂšs mais son corps n'a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©. Roger Jerichenson craque sous la torture et livre ses camarades. Le maquis est attaquĂ© Ă 6 heures du matin par la Gestapo et les de Dinan. Tous les maquisards prĂ©sents sont tuĂ©s ainsi que l'agent de liaison en mission, Odette Tort, du maquis de Plouasne, qui passe la nuit Ă Seilla. Les condamnations[modifier modifier le code] Absent, Franz Nedelko, alias Francis Morand, survit, mais il ne pourra jamais ĂȘtre interrogĂ©, car il est abattu le 22 aoĂ»t Ă Lesneven par un soldat amĂ©ricain ivre. Lucien Lecomte poursuit la lutte en combattant avec les de PlĂ©met mais n'a apparemment rien dit. Quant Ă Roger Jerichenson, alias Lucien LagrĂ©e, qui Ă©tait prisonnier des Allemands, il est libĂ©rĂ© par les AmĂ©ricains vers le 6 aoĂ»t 1944 LibĂ©ration de Dinan. Mais, il est arrĂȘtĂ© Ă nouveau aprĂšs la LibĂ©ration, puis condamnĂ© Ă cinq ans de travaux forcĂ©s par un tribunal militaire de Rennes[20]. L'assassinat des civils arrĂȘtĂ©s le 12 juillet 1944 implique en fait divers groupes de rĂ©sistants le maquis de Seilla, le maquis de La Douve et le maquis de La Hardouinais. UnitĂ© combattante, le maquis de La Douve perd trois hommes lors des combats pour la libĂ©ration de Merdrignac Jean Pierre GĂ©nevisse, Pierre GuĂ©guen et Albert Leguern. Cela n'empĂȘche que Mimile et sa bande, ont marquĂ© les mĂ©moires dans Le MenĂ© par leur brutalitĂ© meurtres, intimidations, rĂ©quisitions.... Les membres du groupe ont pour certains rejoint les formations militaires issues des et intĂ©grĂ©es Ă l'armĂ©e. C'Ă©tait le cas d'EugĂšne Le Rhun, alas Mimile, qui prenait le grade de capitaine, et qui est finalement arrĂȘtĂ©, interrogĂ© et incarcĂ©rĂ© Ă Saint-Brieuc, mais il trouve la possibilitĂ© de s'Ă©vader avant son jugement[21]. InterrogĂ© de nouveau en 1952 par la Gendarmerie[22]. et dans les annĂ©es 1980, concernant en particulier l'assassinat de Gertrude Baumgarten[23], Mimile nie toute responsabilitĂ© de sa part ainsi que de celle des membres du maquis de La Douve dans les enlĂšvements des 11 et 12 juillet 1944 et les meurtres qui ont suivi. Plusieurs autres assassinats sont imputables au maquis de La Douve. Deux sont reconnus par EugĂšne Le Rhun, alias Mimile[24]. Tout d'abord celui d'Annie Gelly nĂ©e en 1920. Venue se reposer pour des raisons mĂ©dicales Ă Saint-GouĂ©no, la jeune femme est dĂ©noncĂ©e par une habitante comme Ă©tant une espionne. En effet, elle prend en juillet 1944 des photos des trois parachutistes du maquis de Seilla lorsqu'ils viennent au bourg en uniforme pour les obsĂšques d'un habitant. Elle est arrĂȘtĂ©e par des maquisards de La Douve le 27 juillet 1944 Ă Saint-GouĂ©no. InterrogĂ©e, elle avoue sa culpabilitĂ© et des liens avec le lieutenant MĂŒller de la Feldgendarmerie de Saint-Brieuc. Elle est tuĂ©e le 28 juillet 1944, aprĂšs une tentative de fuite, jour de l'attaque du maquis de Seilla dont on l'estime responsable. C'est un maquisard, boucher de son mĂ©tier, qui la tue de 2 coups de poignard au ventre et au sein gauche, sans doute pour Ă©viter d'attirer d'Ă©ventuels soldats allemands encore prĂ©sents dans le secteur. Elle est sommairement enterrĂ©e sur place, Ă l'angle d'un champ aux Ăpinettes Ă Saint-Unay Ă Laurenan. Le corps est dĂ©couvert le 21 aoĂ»t 1944, exhumĂ© le 24 aoĂ»t 1944, pour ĂȘtre inhumĂ© au cimetiĂšre communal oĂč plus aucune tombe ne porte son nom[25],[24]. Le second assassinat concerne Jean Thomas, nĂ© en 1925, serrurier domiciliĂ© 210 rue de Nantes Ă Rennes. AprĂšs la LibĂ©ration, il se promĂšne au bourg de Plessala d'un cafĂ© Ă un autre. Il manie deux revolvers qu'il dĂ©pose sur les tables en disant qu'il est Ă la recherche d'un groupe de car ses camarades ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s. Trois maquisards de La Douve, venus se ravitailler en voiture chez le boulanger de Plessala, sont prĂ©venus le capitaine EugĂšne Le Rhun alias Mimile, Roger Peltier alias Bouboule et Alexis Hamon alias Francis. Ils arrĂȘtent le personnage qui les suit sans protestations. Il est dĂ©sarmĂ© et conduit en voiture au maquis. Il est rapidement reconnu par RenĂ© Baudry. Ce dernier l'a en effet vu en tenue de milicien lorsqu'il Ă©tait incarcĂ©rĂ© Ă Rennes. FouillĂ©, il est trouvĂ© en possession d'une fiche de paie de la Milice. Il reconnaĂźt les faits et est condamnĂ© Ă mort » par les responsables du maquis. Il est brutalisĂ© Ćil gauche tumĂ©fiĂ©. ConformĂ©ment Ă sa demande, il passe sa derniĂšre nuit en priĂšre auprĂšs de l'abbĂ© Poilbout, alors curĂ© de Saint-Gilles-du-MenĂ©. AccompagnĂ© du prĂȘtre, il est conduit, le 9 aoĂ»t 1944, au Pont du Gros ChĂȘne, Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©, et abattu de 2 balles dans la tĂȘte vers 9 heures. Son corps est dĂ©couvert le jour mĂȘme, dans l'aprĂšs-midi, dans une fosse, dans une prairie du Pont du Gros ChĂȘne, Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©, Ă 60 mĂštres de la RN 792. Son identitĂ© n'est pas connue dans un premier temps. Son acte de dĂ©cĂšs est dressĂ© le 7 mai 1945 Ă Saint-Gilles-du-MenĂ©, sur la dĂ©claration de son pĂšre. Cet assassinat est jugĂ© par le Tribunal Permanent des Forces ArmĂ©es Ă Paris et se termine par un non-lieu pour le capitaine EugĂšne Le Rhun[26],[23]. D'autres assassinats sont Ă porter Ă l'actif de Mimile. Aucune plaque, tombe ou monument ne rappelle plus la mĂ©moire de ces victimes de la barbarie de certains maquis. Ćuvres[modifier modifier le code] C. Danio, Yann-Vari Perrot, Le MystĂšre de Bretagne Pe war roudou hon Tadou - Pez burzudus e tisklaerier ennan eun diverra eus istor hor breiz, R. Durand, 1921, et Staed-Kastel, Brest, 1929. C. Danio, La route au but lointain, Saint-Brieuc, Aubert, 1927. Histoire de notre Bretagne, L'Enseigne de l'hermine - Dinard, 1922, l'Enseigne de l'hermine - Dinard, Impr. de Bretagne Ă Rennes, 1932 avec ill. de RenĂ©-Yves Creston et Jeanne Malivel, Enseigne de l'Hermine - Dinard 1938, Ă©d. Elor, Saint-Vincent-sur-Oust. Cet ouvrage est rééditĂ© en 1997, Ăditions Ălor, avec comme nom d'auteur de réédition Jeanne Coroller-Danio C. Danio Ă©tait son nom de plume original et Jeanne Malivel, une introduction de Herry Caouissin et une prĂ©face de Fransez VallĂ©e. Le trĂ©sor des douze, Quimper, Nouvelles Ăditions Bretonnes, collection 'PĂąques", 1935 sous le pseudonyme de Gilles Gautrel roman policier. C'est un roman de politique-fiction qui met en scĂšne des nationalistes bretons luttant pour l'indĂ©pendance de la Bretagne but atteint Ă la fin du livre. C. Danio, Histoire de Bretagne pour tous. Ăditions du Parti national breton - Rennes, Imprimerie Centrale de Rennes. 1942 Xavier Haas Les loups de Coatmenez et La croisade des Loups. Ils furent publiĂ©s pour la premiĂšre fois respectivement en 1941 et 1943, en diffĂ©rents Ă©pisodes, dans l'hebdomadaire 'OlĂŽlĂ©'. Une réédition de cet ouvrage a Ă©tĂ© effectuĂ©e en 1995 par les Ă©ditions BSI-Elor. Il sâagit dâune version expurgĂ©e de celles de 1942 et 1963 date peu plausible? 1943 ?, comprenant de multiples allusions antisĂ©mites. Dans cette aventure, les voleurs sont deux juifs, Isaac et Jacob dont lâaccent est Ă©tranger ⊠et le nez nâest pas chrĂ©tien » OlolĂȘ, 19 janvier 1941, p. 2 et Ă©dition 1963, p. 10. LâĂ©dition de 1963 a systĂ©matiquement fait disparaĂźtre le mot youpin remplacĂ© par voleur. Histoire de ma Bretagne illustrĂ©e par Ătienne Le Rallic Notes et rĂ©fĂ©rences[modifier modifier le code] â JoĂ«l Cornette, Le Marquis et le rĂ©gent Une conspiration bretonne Ă l'aube des LumiĂšres, Tallandier, 2015, 480 p. ISBN 979-10-210-0907-3, lire en ligne â Le rĂȘve fou des soldats de Breiz Atao, p. 102. â Mabinog, de son vrai nom Jean-Marie Chanteau â RenĂ© et Marguerite-Marie Billaud, Occupation et RĂ©sistance en Bretagne, Imprimerie de la Manutention, Mayenne, 1985, pages 165-203. â a et b Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, pages 13-14. â a b et c Dossiers nominatifs du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains. â Certaines sources ont indiquĂ© Ă tort l'implication dans ce tragique Ă©vĂšnement d'une Charlotte Coroller, sĆur de Jeanne Coroller. Jeanne Coroller n'a pas de soeur se prĂ©nommant Charlotte voir fratrie de Jeanne Coroller dans les 'Filiations Bretonnes' d'H. Frotier de la MesseliĂšre. Charlotte est son cinquiĂšme prĂ©nom Ă l'Ă©tat civil, source de confusion ?. C'est aussi le quatriĂšme prĂ©nom Ă l'Ă©tat civil de sa soeur Paule dĂ©cĂ©dĂ©e Ă Brest en 1983 et qui n'est pas concernĂ©e. â ADCA 2W79 Penguily. â Tous trois ont Ă©tĂ© tuĂ©s par les Allemands avec quatre autres personnes lors de l'attaque du maquis de Seilla le 28 juillet 1944. Voir Les monuments rappelant ce combat. â a et b Lire l'article L'Ă©limination de collaborateurs. â D'autres versions erronĂ©es rapportĂ©es dans les dossiers nominatifs du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains affirment que le maquis Ă©tant supposĂ© sous surveillance Allemande, les exĂ©cutions auraient rĂ©alisĂ©es par RenĂ© Baubry et Rogard du maquis de La Douve Ă coups de barre de fer. â Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, page 11, orthographe corrigĂ© Ă l'aide de la liste des membres du maquis de La Douve. â Voir Ă©tat-civil de Merdrignac. Acte du 30 juillet 1944,16 heures, signĂ© Joseph Gaborel maire de Merdrignac et dressĂ© Ă la suite du PV de gendarmerie de Merdrignac n°186 du 26 juillet 1944 â Voir ci dessus acte de dĂ©couverte des corps du 30 juillet 1944 â Jean SAGORY sur et sa fiche SGA-MĂ©moire des Hommes. â Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, pages 7 Ă 9. â Charles ASSET, La toile d'araignĂ©e de la RĂ©sistance en Bretagne, de Merdrignac et son canton, pages 19-21. â Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, page 14, tĂ©moignage d'EugĂšne Le Rhun. â Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, pages 14-15. â ADIV, citĂ© par Kristian Hamon â Dossier nominatif du Bureau des Archives des Victimes des Conflits Contemporains de Charles Le Mintier De La Motte-Basse, interrogatoire d'EugĂšne Le Rhun. â a et b Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, page 10. â a et b Brochure La RĂ©sistance Ă Saint-Gilles-du-MenĂ© », 1984, Rennes, page 10. â Source ADCA 2W87 Saint-GouĂ©no. â ADCA 2W87 Saint-Gilles-du-MenĂ©. Voir aussi[modifier modifier le code] Bibliographie[modifier modifier le code] Notice dans le Dictionnaire des auteurs de jeunesse de Bretagne, de Jacqueline et Bernard Le Nail. Article connexe[modifier modifier le code] Seiz Breur Liens externes[modifier modifier le code] Notices d'autoritĂ© Fichier dâautoritĂ© international virtuel International Standard Name Identifier BibliothĂšque nationale de France donnĂ©es SystĂšme universitaire de documentation BibliothĂšque du CongrĂšs WorldCatProfitezde votre sĂ©jour dâaffaire ou touristique pour rĂ©aliser des visites culturelles (ChĂąteau de la Motte-Basse) . liste dâhĂŽtel Le Gouray, dâauberge, dâ hotel 2 Ă©toiles ou 3 Ă©toiles vous permet de rĂ©server au meilleur prix grĂące Ă notre partenaire leader dans la rĂ©servation dâhĂŽtels en ligne.
L'Arguenon est un fleuve cĂŽtier français du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor dans la rĂ©gion Bretagne, qui se jette dans la Manche Ă cĂŽtĂ© de Saint-Jacut-de-la-Mer. Il naĂźt sur la commune du Gouray en CĂŽtes-d'Armor sur la commune de CrĂ©hen, dans la Baie de l'Arguenon. La longueur de son cours d'eau est de 53,4 km. Lien WikipĂ©dia Office de tourisme +125m -122m 4h30 Moyenne DĂ©part Ă CrĂ©hen - 22 - CĂŽtes-d'Armor DĂ©couvrez un aber magique et randonnez dans la vallĂ©e de l'embouchure Ă la limite maritime. Son nom ar» gwen» on» ou la blanche riviĂšre vient du fait quâĂ marĂ©e montante, son lit sâemplit dâune mystĂ©rieuse Ă©cume naturelle due aux brassages des eaux douces et salĂ©es Ă son embouchure la nature dans toute sa diversitĂ©. Des offres exclusives rĂ©servĂ©esaux membres Club Visorando JusquâĂ 20%* de rĂ©duction sur votre Ă©quipement de randonnĂ©e chez nosenseignes partenaires, spĂ©cialistesdes sports outdoor Testez GRATUITEMENT Visorandonneur +165m -163m 5h40 Moyenne DĂ©part Ă Jugon-les-Lacs - 22 - CĂŽtes-d'Armor Le circuit emprunte les bords ombragĂ©s du lac, de petites routes empierrĂ©es ainsi que quelques petites portions de routes tranquilles. Il vous emmĂšnera Ă travers des villages aux maisons anciennes, souvent bien restaurĂ©es. Pour terminer votre randonnĂ©e, vous pourrez parcourir les rues et ruelles du bourg en longeant le cours d'eau le long duquel des lavoirs ont Ă©tĂ© restaurĂ©s. Visorandonneur +383m -387m 4h50 Moyenne DĂ©part Ă PlĂ©ven - 22 - CĂŽtes-d'Armor Vous emprunterez un circuit trĂšs variĂ© avec, une retenue d'eau, une motte castrale, le chĂąteau mĂ©diĂ©val de la Hunaudaye. La majeur partie de cette randonnĂ©e se dĂ©roule en sous-bois ou au milieu des champs. Visorandonneur +355m -359m 5h30 Moyenne DĂ©part Ă Saint-Lormel - 22 - CĂŽtes-d'Armor Entre l'Arguenon et le GuĂ©briand, vous dĂ©couvrirez les rives d'un estuaire, un moulin Ă vent, de petits villages ayant conserver tout leur charme, une chapelle, une ancienne Ă©glise, son calvaire et son if. Des chĂąteaux dissimulĂ©s dans des Ă©crins de verdure surgiront au dĂ©tour d'un bosquet. Visorandonneur +305m -303m 2h30 Moyenne DĂ©part Ă Saint-Cast-le-Guildo - 22 - CĂŽtes-d'Armor Petit circuit de 36km. Piste cyclable, bord de mer et routes touristiques. Tous niveaux, petits groupes ou famille. Besoin de renouveler votreĂ©quipement de randonnĂ©e ? En tant quâabonnĂ© Club, profitez de 20%* derĂ©duction permanente sur la boutique en ligneSpeck Sports. EtĂ© comme hiver, trouvez tout le matĂ©rielnĂ©cessaire Ă vos sorties de pleine nature. En tant quâabonnĂ© Club, profitez de 20%* derĂ©duction permanente sur la boutique en ligne Speck Sports. EtĂ© comme hiver, trouvez tout le matĂ©rielnĂ©cessaire Ă vos sorties de pleine nature. En tant quâabonnĂ© Club, profitez de 20%*de rĂ©duction permanente sur laboutique en ligne Speck Sports. EtĂ© comme hiver,trouvez tout le matĂ©riel nĂ©cessaire Ă vos sortiesde pleine nature. J'en profite Visorandonneur +341m -337m 4h Moyenne DĂ©part Ă Saint-Cast-le-Guildo - 22 - CĂŽtes-d'Armor En vĂ©lo, en couple ou petit groupe entre mer et campagne, 60 kilomĂštres tranquilles.
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RecommandĂ© Train Prendre le train de Mantes La Jolie Ă Valognes Voiture Conduire de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret Voyagez en toute sĂ©curitĂ© durant le COVID-19 RĂšgles Ă suivre en/au France Voyager en/au France Un pass sanitaire est obligatoire pour les dĂ©placements longue distance en avion, train ou autocar, ainsi que dans certains lieux publicsMesures de contrĂŽle Ă l'Ă©chelle nationale en place Foire aux questions Quelles sont les restrictions de voyage en/au Barneville-Carteret ? Les voyages intĂ©rieurs ne sont pas limitĂ©s, mais certaines conditions peuvent s'appliquerLes masques de protection sont recommandĂ©sLa distanciation sociale Ă respecter est de 1 mĂštreUn pass sanitaire est obligatoire pour les dĂ©placements longue distance en avion, train ou autocar, ainsi que dans certains lieux publicsMesures de contrĂŽle Ă l'Ă©chelle nationale en place Explorer les options de voyage Quel est le numĂ©ro de la ligne d'assistance tĂ©lĂ©phonique COVID-19 en/au Barneville-Carteret ? Le numĂ©ro de la ligne d'assistance tĂ©lĂ©phonique COVID-19 en/au Barneville-Carteret est le 800 130 000. Dois-je porter un masque de protection dans les transports en commun en/au Barneville-Carteret ? Il est recommandĂ© de porter un masque de protection dans les transports en commun en/au Barneville-Carteret. Que dois-je faire si je prĂ©sente des symptĂŽmes du COVID-19 Ă mon arrivĂ©e en/au Barneville-Carteret? Faites-vous connaĂźtre auprĂšs d'un membre personnel et / ou appelez la ligne d'assistance nationale dĂ©diĂ©e au coronavirus au 800 130 000. DerniĂšre mise Ă jour 8 AoĂ»t 2022 Certaines exceptions peuvent s'appliquer. Pour plus d'informations European Union. Nous travaillons sans relĂąche pour vous transmettre les derniĂšres informations officielles relatives au COVID-19 pour que vous puissiez voyager en toute sĂ©curitĂ©. Ă notre connaissance, ces informations Ă©taient correctes Ă la date de la derniĂšre mise Ă vous avez besoin d'aide, rendez-vous surla page Conseils aux voyageurs Rome2rio. Questions & RĂ©ponses Quel est le moyen le moins cher pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret ? Le moyen le moins cher de se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret est en train qui coĂ»te 1 200 ⎠- 2 500 ⎠et prend 3h 53m. Plus d'informations Quel est le moyen le plus rapide pour se rendre de Mantes-la-Jolie Ă Barneville-Carteret ? 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Elle est exĂ©cutĂ©e le 24 juillet ChĂąteau de la Motte-BasseCatĂ©gories ChĂąteau monument historique dans les CĂŽtes-d'ArmorMonument historique inscrit en 1975Architecture du XVIIIe siĂšcle en BretagneDerniĂšre mise Ă jour de cette page le 02/04/ d'auteur les textes des articles sont disponibles sous Licence CC BY-SA Les licences et crĂ©dits des images sont disponibles en cliquant sur site Wikimonde est un agrĂ©gateur d'articles encyclopĂ©diques, il n'est pas Ă l'origine du contenu des contenu de cet article est une copie de l'article d'origine // publiĂ© sur WikipĂ©dia wiki collaboratif publiĂ© sous licence libre. Le contenu des articles n'est pas modifications mineures automatiques de mise en page peuvent avoir Ă©tĂ© effectuĂ©es.