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Biographiede La La Land "Lalaland" se traduit par "monde imaginaire" en anglais et désigne aussi le quartier d'Hollywood à Los Angeles. La comédie musicale éponyme, sortie début 2017 en France raconte la rencontre de 2 idéalistes, l'un rêvant de sessions jazz avec les plus grands, l'autre rêvant de bons rôles de comédienne.
Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 4,2 29430 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur La La Land ? 1 647 critiques spectateurs 5 636 critiques 4 460 critiques 3 236 critiques 2 168 critiques 1 81 critiques 0 66 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés "La La Land" dégage une énergie qui décoiffe tant les comédiens y mettent tout ce qu'ils peuvent pour crever l'écran et même s'y envoler !!!Bien en haut du podium, on trouve le génial Ryan Gosling, époustouflant dans ce rôle a contre emploi qui lui va comme un gant...Charmeur, séducteur, brillant, et donc extrêmement doué, l'acteur fait ici un parcours sans faute, certes un petit parcours de claquettes bien orchestré bien sûr, mais aussi de bien belles interprétations au piano sans fausse note sans oublier cette voix chaude et parfaite, tout ceci juste pour nous envoûter comme ce n'est pas permis !Emma Stone en est ainsi presque en retrait, même si sa prestation est remarquable malgré moins d'aisance dans le chant et moins de naturel dans ses expressions. Cependant il est à noter que même si ce film de Damien Chazelle baigne dans l'esprit des comédies musicales vintage, il n'en reste pas moins qu'il n'en est pas véritablement une "pure et dure" de bout en bout, comme on le penserait...L'histoire des deux tourtereaux prend en effet le pas sur le genre attendu, peut-être pour décevoir les aficionados de ces fameux ballets chantés, mais aussi pour mieux y faire entrer les plus réfractaires ! Et ça marche, ce qui est sans doute tant mieux ainsi, car au fond il ressort de cette fantaisie musicale euphorisante pleine de clins d'œil, quelques réflexions sur la vie, sur ce qui en fait son sel, sa saveur et aussi ses déceptions, rien qu'à travers les choix mis en œuvre afin de bien mener ses rêves ou pas, tout en préservant l'Amour...De même que l'idée de vénérer et de s'identifier à ses idoles d'antan, empêche aussi de s'adapter et d'avancer comme on le voudrait !Et donc de discussions en discussions, d'échanges de point de vue en véritables mises au point, ce film revigorant assène mine de rien quelques idées bien amenées et intéressantes à prendre en compte ! Reste à ajouter à toutes ces considérations la magie de la caméra de Damien Chazelle, véritable baguette enchanteresse tant au niveau des couleurs, des points de vue inouïs, de l'atmosphère au charme fou, juste ce qu'il faut de kitch et de sixties, tout en demeurant dans un XXI ème siècle présent et évident !Un tour de force du cinéaste que l'on doit bien reconnaître pour le moins ici. Quant à la fin dont on taira évidemment la tournure, elle révèle une surprise originale, une histoire dans l'histoire ou un petit tourbillon unique dans ce grand tourbillon endiablé !Et pour conclure, un super moment frais, pétillant, dynamisant et lumineux ! Contrairement à ce que suggère l'affiche, La La Land n'est pas qu'un hommage aux comédies musicales de l'âge d'or Hollywoodien qui en ont fait rêver tant. Il s'agit tout simplement d'une ode à ces rêveurs qui ne cessent jamais d'y croire, même quand tout semble jouer contre eux. Et comme pour Whiplash, son deuxième long-métrage, Chazelle y va de la façon le plus directe possible. Son amour de l'art, il le filme, il le chante, il le danse. Et quand les mots et paroles ne suffisent pas, les notes prennent le relais avec une même réussite. Une fois encore, la réalisation fait littéralement corps avec le récit et enchainent les séquences virtuoses dont plusieurs plans-séquences étourdissants. Malgré l'évidente difficulté qu'a dû représenter La La Land chansons, chorégraphies, la précision dont fait preuve le cinéaste m'a laissé béat d'admiration. Devant la caméra -et réunis pour la troisième fois- le duo trouve sa plus parfaite partition. Au delà du charme, au delà de l'alchimie, ils sont tout simplement au delà. Et comme de juste, la bande originale est un vrai La Land partage des liens évidents avec le deuxième long-métrage de Damien Chazelle, on pourrait presque le voir à la fois comme son pendant et son antithèse. La dureté et la tension qui parcouraient Whiplash laissent ici la place à l'émotion et la douceur. Elles accompagnent chaque moment traversés par son incroyable tandem la joie, les décisions et sacrifices avec une telle justesse qu'il est difficile d'y rester indifférent. Une vraie déclaration d'amour au cinéma et à l'Art tout simplement. Lalaland c'est une comédie musicale romantique mais c'est tellement plus que ca. Deja le gars Damien Chazelle il avait fait fort avec Whiplash mais la il confirme haut et fort que c'est juste une incroyable réalisateur. Le mec est qui détache vraiment Lalaland des autres comédies musicales c'est son style un peu vintage et ses chorégraphies justes sublimes. Franchement jkiffe pas danser mais j'avoue apres ca j'avais envie de taper une lourde chorée dans la salle ce que j'ai fait chez moi aha d'ailleurs c'était tres moche et j'étais ridicule... bref.Le scénario à plusieurs facettes, celles de deux jeunes gens, Emma Stone et Ryan Gosling, tout deux pris dans la spirale infernale d'une vie ennuyeuse et qui aspirent à la grande vie d'artiste connus qui commencent une histoire d'amour et se poussent l'un et l'autre à concrétiser leur rêve. C'est réaliste, tres réaliste larmesurmajoue. On s'y prend vite mais le charisme de ces deux acteurs y est pour quelque chose...Les décors sont parfaitement choisis et les musiques sont juste parfaites... tellement appropriées et nous transmettent tout ce qu'il faut ... Lalaland fait beaucoup de bien par les temps qui courent et ils courent n'importe comment.J'avoue ressortir de la salle assez mélancolique et en même temps avec des étoiles pleins les yeux ..En plus de ca, Emma Stone marque des précieux points dans la compétition Stone/Watson car je n'arrive pas a me décider de laquelle je préfère ...Bref, foncez voir ce chef d'œuvre BON j'ai enfin vu La La Land! Déjà mon avis sur les comédies musicales j'ai beaucoup de mal avec. Je ne compte pas les Disney car ce sont des films que j'ai vu enfant donc je n'ai pas d'esprit critique a ce sujet. Les "vraies" comédies? Ça dépend. Mon problème est que la logique me dépasse, a tout moment, les gens se mettent a danser et chanter ce qui enlève toute tension dramatique selon moi. Néanmoins, si je déteste Grease ou West Side Story pour cet aspect , je trouve que d'autres comme The Wizard of Oz ou Singin in the Rain ont un charme qui me touche personnellement. Donc je suis partagé. Comment j'ai géré ça avec La La Land? Le Grindhouse. J'ai pris La La Land comme un film Grindhouse au niveau de Planet Terror ou Death Proof. C'est un hommage, remplacer sa jambe par une mitrailleuse dans Planet Terror ça n'a aucun sens mais ce n'est pas important. Il faut prendre La La Land comme ça selon moi, la justification est maigre mais logique, ce n'est pas grave si tout le monde se met a chanter d'un coup. Donc j'ai bien pris cet aspect du film! Et a partir de là, tout passe tout seul. Déjà il faut le dire, si Damien Chazelle ne remporte pas un Oscar pour la réalisation je voit pas quoi dire. C'est DINGUE! Tout est démesuré, les plans séquences sont géniaux, chaque plan est sublime, les focales très courtes utilisés donnent un élargissement de l'image immense qui rend le tout magnifique! En parlant de magnifique Emma Stone! Elle est belle mais surtout elle joue merveilleusement bien, elle est très talentueuse. Et Ryan Gosling, il me ferait presque oublier son personnage dans Drive, c'est dire! La aussi, il joue très bien, jeu d'acteur comme piano! Piano d'ailleurs, que de transitions! car oui, les morceaux musicaux sont fabuleux, ils restent tous en tête mais ça fait du bien tant ils sont agréables et beaux! Ça donnent des scènes magnifiques, rythmée et superbement bien filmés! Damien Chazelle réutilise d'ailleurs un mouvement de caméra que j'adore dans Whiplash, quand la caméra bouge frénétiquement pour faire répondre 2 personnages, ici Sebastian et Mia. Le côté vieux film est bien présent les panneaux au début par exemple et renforce le côté Grindhouse dont je parlais au début. Le scénario part sur du classique mais les différents choix pris par les personnages rendent le final intelligent. Les décors sont très beaux et les couleurs bien choisie, les éclairages et vêtements se complètent pour un résultat très intéressant. Ce film me rend profondément heureux, j'ai pensé que ce serait un film cliché et inintéressant, je me suis retrouvé face a un film hommage magnifique. Je suis encore plus heureux car enfin, j'ai la preuve que les comédies musicales peuvent être des grand films! La La Land » est le gros cœur de ce début d’année. Réalisée par Damien Chazelle, cette comédie musicale renouvelle brillamment la comédie musicale sous des airs jazzy, tout en rendant hommage aux classiques américains et aux belles œuvres de Jacques Demy. L’histoire romantique est certes classique, mais magnifiquement orchestrée par des thématiques fortes et un rythme endiablé. Côté artistique, c’est une pure merveille avec des chorégraphies exceptionnelles accompagnées par une bande originale envoûtante. Et la cerise sur le gâteau, un casting de rêve avec une brillant duo porté par Gosling et Stone !Retrouvez ma critique sur ou via le lien ci dessous Gagnant des Golden Globes et grand favori des Oscars, La La Land est l'un des films événements en ce début d'année 2017 ! Il marque également, la troisième collaboration entre Ryan Gosling et Emma Stone après Crazy, Stupid, Love et Gangster Squad. La La Land est une comédie musicale du jeune réalisateur de Whiplash. La comédie musicale n'est pas fait pour tout le monde car beaucoup de gens sont dérangés de voir des personnages s'exprimer en chantant plutôt qu'en parlant. Mais cette comédie musicale empreinte une certaine magie et un caractère assez étonnant ! La scène d'ouverture donne le ton puisqu'on assiste à un numéro musical dans lequel des personnes coincés dans un trafic sur un viaduc à Los Angeles se mettent à danser autour de leurs véhicules arrêtées en chantant. C'est bien chorégraphié - les pas de claquettes de Ryan Gosling dans les rues nocturnes - sont excellentes ! La musique n'est jamais étouffante, et donne beaucoup de place à cette histoire charmante. D'ailleurs, certains sons sont très plaisants. Il y a bien deux ou trois musiques qui restent en tête à la fin de la projection... La direction artistique et photo ont produit un travail admirable ! Le film joue avec les couleurs de façon originale. De même pour la réalisation de Damien Chazelle qui s'avère efficace, elle contribue aussi avec l'image. Des plans qui font penser des moments à son précédent long-métrage, Whiplash. Des clins d'oeil donc... La La Land ne manque pas d'humour - la scène où R. Gosling veut essayer d'embrasser E. Stone lors d'une séance au cinéma - est cocasse. Les protagonistes font magnifiquement leur job. Emma Stone et Ryan Gosling forme à nouveau, un duo séduisant. Ils sont attachants et inspirants et, à travers leur amour et nous donnent envie de poursuivre nos propres rêves impossibles. Elle, qui rêve de percer à Hollywood et lui, pianiste qui veut ouvrir son propre club de jazz ! Ces deux acteurs livrent une voix vocale juste et bluffante. A noter une brève apparition de Simmons, sa présence est pratiquement inutile à mon humble avis... Cependant le film souffre de plusieurs longueurs interminables, et cela est assez décevant. Il aurait été préférable de raccourcir certaines séquences... Mais l'émotion est au rendez-vous, surtout vers sa finale qui est bouleversante, quoique on reste un peu sur notre faim ! Pour conclure, La La Land n'est pas le chef d'oeuvre annoncé mais il nous étonne et nous transporte dans ce joli moment d'évasion. Une ode à l'industrie du rêve ! La La Land, La La Land, La La Land ^^......avec pas moins de 7 récompense et 14 nominations aux Oscars 2017, un succès critique retentissant à l'échelle international à tel point que le film est acclamé comme l'un des événements cinématographique du siècle !Je vais pas y aller par quatre chemins, je n'ai jamais été un grand amateur de comédies musicales, oui je trouve ça sympa et bien chorégraphié mais pourtant ça n'a jamais été pour moi une expérience transcendante au cinéma. Cependant je dois avouer que je n'aime pas quand il y a une "hype"que je ne comprend donc décidé de me préparer convenablement à l'événement, ne souhaitant pas être à la ramasse culturellement, j'avais au préalable visionné "Whiplash", premier film de Damien Chazelle au succès critique colossal qui avait conquis presse comme spectateurs fin 2014. Pour le coup la claque a été telle un coup de cymbale en pleine poire à l'image de celle de la légende de Charlie Parker ^^.Ayant pu constater tout le génie en devenir du prometteur Damien Chazelle, c'est avec les plus grandes attentes que je suis allé voir La La Land. L'histoire de La La Land prend place à Los Angeles, de nos jours. Mia, serveuse dans un bar et comédienne de formation, postule à des casting pour saisir sa chance et réaliser le rêve de sa vie devenir une grande actrice. Sa vie bascule le jours ou elle rencontre Sebastian, pianiste tentant de gagner sa vie en jouant des musiques de fond dans un restaurant. D'abord distants, ces 2 rêveurs passionnés vont finir par se rapprocher, entre Jazz et Comédie, et feront leur maximum pour accomplir leur rêve. Voilà pour le pitch est il ?? Waouw ! Grand moment de cinéma !! Nan srx, La La Land c'est pas juste un film, mais une véritable expérience, une leçon cinématographique et Théâtrale complète !Après le puissant et psychologiquement intense Whiplash avec lequel Damien Chazelle redonnait tout son souffle épique au monde du Jazz, le réalisateur signe ici une véritable déclaration d'amour à la Comédie Musicale et au monde du cinéma dans toute sa grandeur à travers un show des plus époustouflants !! Cela faisait des années qu'une comédie musicale n'avait pas fait autant de bruit dans le monde du grand écran mais avec l'impact actuel de La La Land, nul doute que l'on est sur le point d'assister au début d'une renaissance du genre ! Entre Modernité et tradition, Chazelle en bon metteur en scène, nous montre ici qu'il connaît et maîtrise son sujet de bout à bout, multipliant les références évidentes à des monuments du Cinéma comme "Singing in the rain" ou les films de Jacques Demy, "Les parapluies de Cherbourg", "les Demoiselles Rochefort", tout ça en passant d'un registre dramatique à l'autre. Tantôt drôle, tantôt romantique, mélancolique, dramatique, La La Land est une grande bouffée d'air et de bonne humeur. La Narration est ici semblable à celle d'une pièce de théâtre avec un quasi découpage acte par acte, les chorégraphies sont dynamiques et emplies de bonne humeur à telle point que nous spectateurs, aurions un désir immense de rejoindre la danse, mention spéciale à la scène d'ouverture ou tous les gens sortent progressivement de leur voiture pour danser sur la périphérique, vraiment fun ou encore les scènes de danse entre Sebastian et Mia l'hommage aux claquettes et la scène à l'Observatoire Griffith permettant une mise en abyme des studios Hollywoodien avec les 2 personnages dansant sur un ciel étoilé en fond...une esthétique quasi Disneyienne ou même l'artificialité évidente a son charme ! !L'histoire d'amour entre Mia et Seb est sans doute l'une des mieux écrites du Cinéma Hollywoodien depuis un paquet d'années, rationnelle mais tellement bien traiter qu'elle en est totalement crédible. Un autre point très intéressant dans l'analyse de l'oeuvre, c'est le discours que glisse Chazelle en arrière plan sur la difficile ascension professionnelle dans des milieu comme le théâtre ou la musique. Comment réussir à percer, à se faire un nom dans le milieu ? Faut il poursuivre ses rêves ou bien être conventionnel ? C'est le dilemme qui attend Mia et personnages sont d'une grande sympathie grâce au jeu d'acteur exemplaire d'Emma Stone et Ryan Gosling, réunit devant la caméra pour la 3ème fois après "Crazy Stupid Love" et "Gangster Squad" ! La première que j'ai découvert dans "Birdman" d'Iniarritu et les deux "Amazing Spider man", resplendi comme jamais sous les projecteurs ! Quand à Ryan Gosling, ça a été LA grosse surprise ! Qui aurait cru que le solitaire et blasé driver de Nicolas Winding Refn arriverait à être aussi sensible et attendrissant ^^. Simmons, le tyrannique professeur chef d'orchestre Terrence Fletcher de Whiplash est là lui aussi...et dans un rôle toujours aussi sévère x.Clairement les références à Whiplash ne manquent pas et c'est à ça qu'on reconnaît la signature du réalisateur qui insert quelques plans rapides sur la mouvements de caméra et différents plans/montages au service du show et de la musique transmettent une émotion qui nous fait succomber à toute cette énergie poétique !La La Land est donc incontestablement un événement cinématographique à ne surtout pas rater, deuxième grand film de Damien Chazelle, jeune réalisateur confirmant bel et bien l'avènement d'un talent et d'une carrière prometteuse. Une histoire d'amour puissante et poétique, une pluridisciplinarité rendant toute sa gloire au théâtre et au cinéma dans toute leur splendeur ! Bravo ! L’affiche semble promettre un grand moment de cinéma, ponctuée par un petit commentaire du site The Playlist qui tient en trois mots "Un triomphe absolu". Cela fait-il référence à la cascade de récompenses obtenues lors des Golden Globes édition 2017 et aux 14 nominations pressenties pour la cérémonie des Oscars à venir ? Sur le papier, je ne serai pas aussi catégorique que la plupart des critiques de la presse, ou des spectateurs. Pour moi, ce long métrage ne mérite pas sa note actuelle 4,6/5, même si c’est un bon film. Le début est surprenant, et nous envoie direct au pays de l’âge d’or des comédies musicales hollywoodiennes par un hommage avéré envers ce genre aujourd’hui quasiment disparu des grands écrans. On sent que le réalisateur Damien Chazelle est un grand amoureux de la comédie musicale d’antan. Parce que la scène d’ouverture est parfaitement chorégraphiée, utilisant à merveille l’environnement dans lequel évolue la troupe, avec une parfaite synchronisation des danseurs. Mais le plus dérangeant est que cette première scène ressemble plus à un clip qu’à l’implantation du contexte, bien qu’elle ouvre de façon trop brève et presque anecdotique sur deux personnes, deux destins similaires qui n’évoluent pourtant pas tout à fait dans le même monde Mia Emma Stone est une actrice ratée enchaînant les castings les uns après les autres entre lesquels elle doit se résoudre à servir des cafés au beau milieu des studios d’Hollywood, Sebastian Ryan Gosling est un bon pianiste condamné à exercer ses talents où le vent le mène parce que son seul tort est d’être passionné pour un genre musical qui se meurt. Nous basculons tour à tour de l’un à l’autre, et il n’est pas difficile de comprendre qu’ils ne vont pas tarder à se retrouver, ce que la bande annonce s’est par ailleurs empressée de nous confirmer. Seulement voilà le scénario prend son temps, et au lieu d’en faire un long métrage enjoué plein de folie comme ont pu le faire les comédies musicales des années 50, il en ressort une romance gentillette qui, à défaut de tourner au conte de fées, cède la place à la vie de couple ordinaire et à ses petits et grands tracas alors que les deux personnages principaux s’entraident pour accomplir leur rêve . Mais au moins, ça a le mérite de changer un peu ! De ce fait, il y a fort à parier que le propos tenu parlera aux personnes qui sont en plein marasme d’une vie de couple ratée. Cependant les choses mettent tellement de temps à se décanter qu’on a l’impression qu’il ne se passe pas grand-chose, voire rien du tout, et du coup on sent un inquiétant ennui essayer de pénétrer dans notre espace vital. Pour autant, on nous agrémente de quelques bonnes scènes ici et là, notamment celle du numéro de claquettes aux allures d’improvisation. En voilà une riche idée !... si seulement on entendait mieux les claquettes… Un tel numéro ne vaut que pour le bruit à la fois mélodieux et entêtant des claquettes, non ? Là, le gros bémol est qu’ils ne bénéficient pas de la mise en avant qu’on aurait dû leur accorder par une puissante sonorité. Au contraire, on reste sur un focus concentré sur les personnages principaux, et c’est ce qui caractérise ce long métrage, à tel point que jamais les chansons ne transporteront le flot d’émotions fortes que nous aurions dû avoir, hormis le morceau de piano joué par Sebastian en hommage à sa première vraie rencontre avec Mia. C’est très dommage quand des thèmes si forts sont abordés , à commencer par l’accomplissement des rêves les plus chers… sans perdre l’essence de son existence … Au lieu de ça, ce qui parait le plus réussi, c’est la façon de filmer le cinéaste nous régale en grand amateur des comédies musicales d’une multitude de plans magnifiques, des travellings aux gros plans sur les doigts animant les instruments de musiques, des panoramas sur les innombrables luminaires de la ville observés par nos deux personnages à la superbe esthétique visuelle apportée par la maîtrise grandement artistique de l’éclairage conjointe à l’art de la mise en scène. Voir la caméra se concentrer sur un personnage en particulier, au milieu de gens qui disparaissent dans la pénombre pour ne garder qu’une lumière tamisée d’une poursuite pour auréoler la silhouette de ce personnage, est un vrai régal pour les yeux provoquant un irrésistible frisson. J’ose avouer que c’est justement cela, avec la profondeur du propos, qui me fait remonter considérablement ma note pour cette œuvre qui finalement n’offre pas de réelles surprises, excepté le fait que nous aboutissons à un happy end sans que ce soit vraiment un happy end, et hormis les présences de Ryan Gosling et d'Emma Stone dans ce genre de rôle, et pour lesquels on saluera l’immense travail qu'ils ont accompli pour les besoins du tournage, sans toutefois atteindre le niveau de Gene Kelly ou de Debbie Reynolds et consorts. Quoiqu’il en soit, il est très probable qu’en sortant du cinéma, vous improvisiez sans le vouloir un ou deux petits pas de danse timides et maladroits ! C'est aujourd'hui, à l'occasion de la Fête de la musique, que j'ai décidé de me refaire en version originale le dernier film de Damien Chazelle, plébiscité par la critique lors de sa sortie "La La Land", comédie musicale déjà culte à juste titre mettant en scène Ryan Gosling, déjà connu pour Drive, Only God forgive et N'oublie jamais, ainsi qu'Emma Stone, célèbre pour Bienvenue à Zombieland, The amazing Spider-Man ainsi que Birdman. Cette merveille auditive et visuelle narre de deux jeunes gens ambitieux, Mia et Sebastian à Los Angeles. Elle est serveuse dans un bar et rêve de briller sous les étoiles d'Hollywood, lui est pianiste, sous la direction d'un patron autoritaire, et rêve d'être jazzman célèbre ; tous deux partiront ensemble à la recherche de la gloire, et du bonheur. On avait compris avec ses deux premiers films, "Guy and Madeline on a park bench" et "Whiplash", que la musique était un art essentiel de l'univers de Damien Chazelle. La chose se confirme avec "La La Land", cette merveille, cette bombe cinématographique comme on en voit à peine tous les dix ans dans le cinéma américain. Il est bien loin le temps où Hollywood était une impressionnante et géniale usine à comédies musicales telles "Chantons sous la pluie", "Un américain à Paris", "West Side story", "Une étoile est née", "My fair lady", "Grease", etc. Le film en est un brillant hommage ; en effet Chazelle a lui même confié son amour pour le genre, plus particulièrement pour les "Parapluies de Cherbourg" de Jacques Demy. Parler de ce dernier pour moi, c'est comme s'aventurer sur un terrain interdit, une armure inviolable puisqu'entre ce film et moi c'est une bien longue histoire il s'agit bien plus de la meilleure comédie musicale française à ce jour, bien plus que le meilleur film français et la meilleure comédie musicale à ce jour donc High school musical, Camp rock, Nine et compagnie allez voir ailleurs ! "Les Parapluies de Cherbourg" est mon film, mon oeuvre cinématographique préférée. A ce jour, aucun film ne m'a autant ému de ma vie et dieu sait qu'elle est courte et que j'en ai vu, des films, jamais les thèmes de la passion amoureuse, de la famille, des conséquences de la guerre n'ont été aussi bien traités. J'ai beau avoir vu ou écouté ^^ ce film au minimum 20 fois, il me fait toujours autant d'effets, même 50 ans après. Ce fit donc déjà un bon paquet de raisons pour lesquelles je suis allé voir puis revoir "La La Land", qui assurait donc d'être un gros défi pour moi, alors ignorant de la filmographie générale du réalisateur actuellement âgé de 32 ans, et déjà promis à un avenir cinématographique brillant, au même titre que le québécois Xavier Dolan. Au final, ma place de cinéma avait beau se situer au premier rang donc voilà, pas super..., le film avait beau être visionné en VF... Je suis tombé sur le charme du film dès les premières notes, dès que la première chanson, "Another day of sun" a retenti, je suis reste complètement scotché à mon siège, impressionné par la créativité des chorégraphies et de la mise en scène. Donc une introduction débutant rapidement mais très efficacement. Chazelle réalise par la suite un vrai tour de magie de 2h10 en rendant hommage à la tradition tout en signant le film d'une période les années 50. Si le film se déroule à une époque indéterminée je viserais fin années 80-début 90, les thèmes de la musique le jazz et du cinéma la comédie musicale durant les années 50 représentent l'âge d'or d'Hollywood et des stars telles James Dean, traité ici par la vision d'une projection de "La fureur de vivre", plus particulièrement du premier extrait se déroulant à l'observatoire Griffith ; à la suite de l'apparition de cet extrait, Chazelle *remake* celui-ci pour ensuite laisser place à l'un des plus beaux moments du film la fameuse scène de la danse dans les étoiles, bercée par la sublimissime bande-son de Justin Hurwitz, auteur des autres bandes originales de Chazelles, dont celle du limité et méconnu "Guy and Madeline on a park bench", au titre faisant d'ailleurs référence au nom du couple à la fin des "Parapluies de Cherbourg" ceux qui l'ont vu verront bien de quoi je parle ; il s'agit donc d'une première tentative d'hommage au genre, mais la méconnaissance du film aux yeux du grand public a empêcher le réalisateur de le montrer. Par ailleurs, "La La Land" possède multiples références aux autres comédie musicales notamment, à "Chantons sous la pluie dans la scène des danseurs avec les parapluies à la fin du film, "Les demoiselles de Rochefort" de Demy avec les marins dans cette même scène finale, et, sans oublier, "Les parapluies de Cherbourg" le dernier regard entre Sebastian et Mia est quasi-identique à celui entre Guy et Geneviève dans les Parapluies, un adieu, puis un retour à la normale, *comme avant*. Sauf qu'ici, les deux amants sont séparés non par la guerre, mais par la gloire. En effet, après l'ellipse *"5 ans plus tard"*, nous remarquons que Mia est heureuse, donc que la gloire est venue à elle, qu'elle a un enfant, mais que Sebastian n'est plus avec elle ; il est devenu pianiste de club de jazz, son rêve depuis le début du film, tel le dernier cadre spatio-temporel des Parapluies plusieurs années après avoir été séparés, l'homme retrouve la femme là ou ils souhaitaient être, ensemble. Et dieu que c'est beau, les deux scènes des deux films m'ont fait pleurer de beauté à chaque visionnage. Sinon, à part ça le film fait aussi référence à de multiples artistes ou groupes musicaux de l'époque jusqu'aux années 1980, notamment grâce aux mentions entre autres, de Thelonious Monk ou l'apparition de "Wake me up before you go-go" de Wham!, groupe anglais légendaire des *eighties* mené par le bien regretté George Michael, nous ayant quitté un mois avant la sortie française du film le 25 janvier 2017 donc le 25 décembre 2016. Enfin, le film présente une palette de personnages précis, colorés par des costumes magnifiquement conçus. Mia Dolan Emma Stone, représente l'ambition, la solitude aux premiers abords, puis l'exigence qui vire à l'arrogance, nous fait tirer une morale qui ne m'a fait tilt qu'au second visionnage, celle que la gloire n'est pas le paradis, que nos rêves ne seront jamais réellement achevés, du moins, pas tous ensemble. Quant à Sebastian Ryan Gosling, il est attachant, passionné et, dirigé par Chazelle, fait alterner le spectateur entre séquences romantiques belles, colorées et jamais mièvres et interludes plus vifs. Sinon, Simmons, le professeur de batterie tyrannique du précédent Chazelle, "Whiplash", incarne là aussi l'énergumène qui mènera le personnage principal à bout de nerfs, et ainsi lancer l'intrigue, par la rencontre entre les deux personnages. Ainsi, "La La Land" de Damien Chazelle représente tout le futur du bon cinéma actuel puisqu'il possède bon nombre de qualités indéniables que je viens de traiter dans le plus long pavé que j'ai fait ^^, et que les deux acteurs principaux, d'ores et déjà célèbres leurs statues de cires entreront au musée Grévin à Paris en fin d'année j'irai leur dire bonjour au plus vite! et placés au plus haut dans les stars américaines les plus influentes de la nouvelle génération. Un sublime feu d'artifice qui peut aussi se déguster sans les images. Allez, je dois vous laisser, la Fête de la musique n'est pas terminée. Et ne l'est pas encore pour vous non plus ! Un film touchant sur la réalisation de ses rêves et comment une rencontre peut bouleverser une vie. La musique est entraînante, les acteurs sont touchants par leur sincérité. Le début me laissait perplexe, étant peu habituée à ce genre de film sous la forme de comédie musicale mais on s'y fait. Le film ne tombe à aucun moment dans les clichés et montre la dure réalité de réaliser un rêve, entre Mia qui veut devenir actrice et Sebastian qui veut ouvrir son propre club de jazz. La dernière scène est totalement bouleversante. Bref, un pur régal ! bien, mais pas génial un peu déçu de l'histoire et des de boulot pour faire ce film ca c'est indéniable, mais il n'en ressort pas un sentiment extraordinaire je trouve. A voir si vous aimez les comédies musicales comme moi, mais ne vous attendez pas à retrouver l'ambiance des "classiques" comme "chantons sous la pluie" ou un "américain à Paris" Désolé de mettre un léger bémol à l'enthousiasme général. Certes le film est un bel hommage à la magie d'Hollywood et les acteurs sont très émouvants mais tout reste au niveau de l'esthétique au détriment de l'intensité. Personnellement je me suis un peu ennuyé. Non je ne me suis pas dirigé vers mon cinéma à petits pas cadencés, la La La hype ne me caressait pas vraiment l’esprit, surtout attiré par les tintamarres du buzz médiatique, un film qu’il est "impossible de ne pas aimer" m’annonçait-on, sonnant presque comme une provocation à mes oreilles. Et ce n’était pas gagné, car en voyant la bande annonce je m’attendais vraiment à une oeuvre ronflante à la dramaturgie prévisible, avec en plus un duo d’acteurs me laissant de marbre, le film se devait donc de mettre la barre très haut … Enfin n’ayez crainte, je ne suis pas non plus du genre à m’arrêter mordicus à mes aprioris, je gardais bel et bien au fond de moi cette envie irrésistible d'être totalement surpris et transporté, car c’est aussi ça le cinéma, nous sortir de La Land nous immerge dans un conte musical contemporain, un Los Angeles feutré et dynamique où deux âmes perdues vont se rencontrer au gré du hasard, Mia Emma Stone, serveuse multipliant les castings sans grande réussite, et Sebastian Ryan Gosling, pianiste passionné et nostalgique de l’âge d’or du jazz galérant entre deux maigres cachets, la romance s’installe alors ...En étant tout à fait honnête je n’ai pas vraiment accroché à l’intro, ce ballet sur l’autoroute dans l’idée c’est plutôt pas mal mais ça ressemble terriblement à une sorte de happening du Saturday Night Live genre Hollywood va ouvrir les Oscars sur un truc du genre, obligé, puis on voit déjà le clin d’oeil aux Demoiselles de Rochefort avec l’arrivée des camionneurs sur la place Colbert, mais là où Demy plantait un contexte Chazelle en fait un clip, donc on est directement dans l’apparence et l’effet de style. Ensuite le développement des portraits croisés résume assez bien chaque caractère, d’un côté l’aspect pétillant et capricieux de Mia et d’un autre la mélancolie et la monotonie de Sebastian, et lorsque ces deux univers se croisent les étincelles sont promises, et là, l’alchimie fonctionne, qui saute aux yeux c’est évidemment la technique de Chazelle pour rendre des moments absolument divins, rien que par le cadre, les travellings et l’utilisation des couleurs, certains plans séquences m’ont rappelé Birdman de Inarritu, on est aussi dans cette logique là, tout en entassant des références visuelles plus ou moins facilement reconnaissables. La question étant de savoir si le réalisateur allait se servir de son bagage pour raconter une histoire, et c’est là que selon moi ça flanche un peu, car cette romance demeure un brin téléphonée, enfin même si je comprends effectivement qu’il est difficile de dépeindre une réelle complexité du couple avec une intention aussi grand public, mais je m’attendais tout de même à plus d’authenticité. En fait j’ai surtout aimé le personnage de Gosling dans ce qu’il nous explique sur l’histoire du jazz, de quelque chose qu’il ne veut pas voir mourir, mais c’est peut être parce que je suis aussi réactionnaire que lui, et on sent également que son discours est celui de Chazelle, qui avait partagé sa passion dans son Whiplash, il y a une certaine continuité ...Et justement en terme de musicalité j’aurais aimé plus de jazz, limite que l’axe tourne uniquement autour de ce style, et surtout que les mélodies principales soient moins fainéantes, comme l’impression que tout est fait pour qu’on sifflote les airs à la sortie du cinéma, mais l’un n’empêchait pas l’autre, le projet manque de jusqu'au-boutisme à mes yeux, bien qu'il reste correct. Il en est de même pour le rythme et l’homogénéité dans la comédie musicale pure, la première moitié du film compile plusieurs passages chantés et/ou chorégraphiés mais la seconde beaucoup moins, étant donné que l’une est enchantée et l’autre plus dramatique, mais la tragédie peut très bien se mettre en scène avec des sonorités mélancoliques, le ton de la narration n’est pas une excuse. Et les éléments du récit qui provoquent l’enclenchement des deux virages essentiels tombent un peu de nulle part le pote dans la boite de jazz et le coup de fil des casteurs, preuve que pour moi le scénario n’est pas complètement abouti, que les circonstances de la vie ne se font et se défont pas aussi trivialement, on voit le procédé, et je dirais même que le final en est symptomatique … … puisque complément pompé sur Les Parapluies de Cherbourg même le "5 ans après", quand on a vu le film la surprise est moindre, et quand Demy faisait passer une émotion en un regard il faut à Chazelle une scène de 10 minutes, où ils refont leur vie, mais pour moi clairement de trop, impossible d’être touché par quoi que ce soit. La La Land reste un hommage assumé et angélique aux comédies musicales d’antan, un spleen coloré et entrainant, une machine à laver en cinemascope, franchement j’ai passé un bon moment, mais voilà j’imaginais plus d’inventivité, plus de parti pris, et surtout plus d’émotions. Comme l’impression que Chazelle ai jouit de ses références tout en ayant plus ou moins discrédité l’histoire qu’il voulait raconter, d'ailleurs ça me fait irrésistiblement penser à The Artist, un revival calibré à la frame voulant raviver la flamme d’un genre, mais qui ne restera qu’au statut de calque dans l’histoire du cinéma. A la fois hommage vibrant aux grandes comédies musicales d'antan, telles que celles de Jacques Demy, aux "Chantons sous la pluie" et "Un Américain à Paris", aux pas de danse effrénés et gracieux de Gene Kelly, mais aussi résolument moderne dans sa réalisation, "La La Land" est un film vertigineux, plein de puissance et d'émotion où le plaisir de rendre hommage à ses pairs ainsi qu'au jazz donne au long-métrage un aspect déroutant, bourré de naïveté enfantine, de sincérité qui surgit de tous les pores de chaque plan ce qui nous donne, au lieu d'un film pétri de clichés et ce n'est pas les occasions qui manquent !, une histoire touchante, captivante et profondément bouleversante. Que Sebastian chante face à l'océan devant un coucher de soleil, que les deux personnages dansent dans les étoiles ou bien au petit matin face à la ville des lumières, jamais Damien Chazelle ne tombe dans les clichés et livre une histoire intense mais aussi très intimiste. Au son de mélodies endiablées ou très feutrées, à la vue de ces pas de danse émerveillés et émerveillant, le spectateur n'a d'autre choix que de se laisser dériver par ce tourbillon onirique, de rêveries et d'illusions. Illusions que les personnages touchent du doigt, bercés de rêves qui semblent inaccessibles. Au pays Hollywood où tout n'est que paraître, au milieu de ces couleurs criardes et de ces faux-semblants, de ces décors en carton-pâte, deux personnages vivent sincèrement, entraînés par leurs désirs d'impossible. Vaut-il mieux rester rêveur ou grandir enfin ? Qu'aurait-il mieux valu pour Sebastian et Mia ? Au-delà de cette "comédie" musicale techniquement impeccable et sentimentalement éreintante, Damien Chazelle propose une vision plus grave et déroutante de la vie, jusqu'à ce que la comédie vire au drame, jusqu'à ce que les couleurs vives se teintent d'amertume et de dure réalité, jusqu'à ce que les chansons et les musiques pleines d'espoir se taisent et laissent place au silence et à ces quelques notes jouées au piano, souvenir lointain d'un monde pourtant si proche, où quelques gestes et quelques paroles auraient suffi à faire vivre ce souvenir pendant des années encore. Que réserve the "City of Stars" pour Sebastian et Mia ? Le rêve du jazz et du cinéma ? D'une histoire d'amour inespérée et si romantique ? Resteront-ils doux rêveurs ou des adultes ayant atteint leurs illusions ? Que nous réserve Damien Chazelle dans son "La La Land" ? Un film moderne, jamais cliché, où le plaisir de livrer ses passions que sont le cinéma et le jazz transpirent partout, un film enfin où Emma Stone et Ryan Gosling entrent dans une harmonie et une symbiose sidérante, où ils excellent l'un comme l'autre dans leur rôle, où pendant plus de deux heures ils nous on fait croire à l'amour, le vrai. Une fois sorti de la salle, lessivé par tant d'émotions et de beauté, on se surprend à peine à esquisser quelques pas maladroits de danse en sifflotant ces quelques notes de ce "City of Stars". On en redemande. Mais déjà au bout de cinq minutes de film, une fois le titre apparu on en redemandait. Que dire de plus ? La la Land le chéri et bien-aimé des média est une oeuvre relativement contestataire , entre ceux qui ne comprenne pas vraiment ce qu'il y a de si extra ordinaire à une oeuvre ou toute les critiques furent extrêmement positive et ou l'impact à la cérémonie des oscars en firent une comédie musicale que tous entendirent inlassablement dire qu'il est le meilleur et bien je me suis laissé agréablement mené jusqu'à aimé ce que j'avais sous les yeux , seulement ... Après beaucoup de tergiversation je me suis tout compte fait convaincu de visionner cette révérence spleenétique au comédie musicale . Décrite dans sa texture comme une oeuvre grandiose sur l'amour et son érosion , c'est hymne à l'élégance , la gaieté , la finesse , l'épanouissement ,encense un périple chimérique chevaleresque sur la vie mais également sur la morosité par le biais de l'interrogation sur la déréliction et le désenchantement de son créateur .Alors que les non initiés y voient pour beaucoup une oeuvre surfaite ne jouant qu'avec son image et son côté nostalgique à coup de lourdeur narrative sur absence de développement profond ; et que les premier fan du genre eux y voient pour bon nombre au contraire une magie visuelle sur une déclaration permanente d'amour d'un réalisateur au comédie musicale avec pour ambition de crée une relecture du genre sur une belle histoire d'amour , et bien moi je ne vois rien de tout cela .Je considère La La Land comme un film important et majeur . Mais le soucie c'est que ce n'est absolument pas pour les mêmes raison d'écrite par bon nombre de critique relatant le fait que ce long métrage est extra ordinaire que le charme à opéré sur moi . J'en suis arriver à dresser un constat simple ou je me suis interrogé sur le fait d'avoir bien vu le même film et d'en avoir saisi le même sens que tout le monde . Car il m'est clairement apparue que c'est avant tout sur l'essence même du cinéaste à passer son message pour ma part clair que le désir et la curiosité ont agis bigrement sur moi . Je considère pertinemment tout le reste comme de la belle poudre au yeux mis en place justement pour masquer notre regard et pour nous trompés sur le réel constat dressé par son réalisateur . Une belle façon de nous démontrés que le plus important est tout autre que l'aspect visuel. Tel un très jolie papier cadeau enfermant en son sein une chose en total inadéquation avec sa beauté visuelle .La La Land à la clairvoyance de bâtir une histoire qui offre bon nombre d'interrogation subtil exempt toutefois d'explication claire . Ce qui permet alors de crée une variable de lecture différentes auprès du spectateur et rend pour le coup cette fiction élusif et dès lors subjuguant et justifie donc de soumettre assez d'épaisseur graphique et profonde pour ce permettre plusieurs décryptage possible .A l'age de 30 ans s'avoir réaliser comme il le fait , structuré des récits avec autant de complaisance significative et proposer des thématiques sujette a débat sans pour autant donner raison je dit , "bravo".Cette ambiguté et sans conteste la fondation même du talent certain de son créateur Damien Chazelle . Une adresse totale de son oeuvre via la fausseté de son extralucide prenant à contre pied celui qui en saisi le fond , à s'en demander si cela à été fais de manière bien consenti ou pas . A mon humble avis je pense que le sens caché du cinéaste reste bien volontaire car l'examen et l'analyse du ton donner véhicule en nous un sentiment d'emprisonnement entre la nostalgie hypocrite ou ""tout paraissais bien mieux autre fois car on été naif "" et la vision maussade et grisatre mais pourtant réelle et honnête de notre époque . Il est alors assez évident que ce que distingue avant tout le réalisateur envers le système actuel et passé est une variante s'opposant l'un à l'autre . Un constat de ce qui existe de meilleur en nous jusqu'à la part caché et pourtant maîtresse de tout "" l'égoisme et l'individualisme qui anime notre société fondatrice "" . On nous faire croire qu'on est tous fraternel et égaux , mais le cinéaste n'est pas dupe c'est pourquoi il le dénonce admirablement bien autour de ses deux protagoniste principaux si beau qui sont sacralisé par la représentativité de leurs les péchés ,l'envie , l'avarice , la luxure et l'orgueil le tout animé et masqué par de superbe décors animé avec de belle chanson ou tout le monde semble heureux et beau . Le cinéaste nous le démontre immanquablement image par image tout est magnifique , tout est lumineux , on chante , on danse on sourie , mais tout ceci n'est au final qu'une façade masquant nos défauts qui sont en totale inéquation avec le monde scintillant qu'on nous propose .La la land est la dénonciation par une oeuvre nostalgique de nos fantasme conformiste ou chacun rêve d'avoir sa part du gâteau , présenté au court d'une anecdote d'amour qui finis mal à cause des péchés de chacun .L'on peut d'ailleurs qualifié cette production de comédie musicale mélancolique et déprimante aux apparences pourtant très enjoué . La la land est bien plus malin qu'il y parait et s'affirme être le reflet putride et macabre de nos illusions et la névrose et l'aversion ethnique qui sévisse dans notre société moderne . Quand bien même est elle aussi bellement fantasmé , dès la séquence d'ouverture ou la comédie musicale prend forme dans la joie et l'utopie description de société idéalela plus totale on aperçoit en arrière plan un embouteillage infecte et gangrené venant contrasté la situation . Un désenchantement du climat établis véhiculé par une mise en scène duquel on constate qu'elle favorise la symbolique du contexte caché et non de l'image première . Tout ceci s'impose comme une évidente volonté de déformation , non pas de la comédie musicale elle même ni de ce qu'elle évoque sur le moment , mais bien l'illusion bâti autour de cette perfection qui n'en est une que si on en fais vraiment partie d'ou l'obsession , car dans le cas contraire nous sommes dans la convoitise et la jalousie la plus totale .La mise en scène est relativement fluide et reprend quelques scène par-ci par-là d'autre comédie musicale mais de manière légèrement plus maladroite et moins habile . Une application pour ma part volontaire car l'on discerne la maladresse de quelques chorégraphie par les acteurs principaux entre autre, comme si le cinéaste avait fais exprès de s'assuré que certaine danse ne soit pas parfaite , comme si il voulait que sa soit intentionnellement maladroit . C'est comme si les beau décors et tout ce qui s'y trouve dedans venait à s'effrité sous le poids de la véritable amertume que tente de caché cet spirale étincelante . Il est à ce moment la pour moi très évident que l'objectif est de faire croire et non de revendiqué la vérité de son oeuvre . Son oeuvre qui est en réalité ""Los Angeles"" et l'avidité autolâtre qu'elle abrite en elle . L'égoisme absolu que représente cette métropole , et les rêves qui ne sont en aucun cas des rêves artistique ni créatif , mais bien des ambitions démesurés de gloire ,d'élévation hiérarchique , d'idôlatre, de reconnaissance de soit et de richesse .Aller dire que cette comédie musicale est excellente voir un chef d'oeuvre juste grâce à la mélodie et au talent des acteurs entre autre serait complètement naif , car il est est avant tout une dénonciation de ce que l'on est en vérité .Malgré tout les discours allant dans ce sens , pas une fois dans La la land je n'ai éprouvé l'envie de sourire ,de m'extasié , de m'enjoué , ni de m'émouvoir , et l'hommage dont il fais preuve au plus grand cinéma du genre ne ma pas attendris et ma laissé un peu indifférent . Ce qui ma par contre énormément plus et envoûté c'est ce récit intérieurement sombre et malheureux qui s'amuse avec splendeur des codes établis pour s'insinué en nous par ces fantasmes nostalgique pour au final nous les balancés en pleine poire .Il n' y a rien de majestueux , ni de bienfaisant dans cette sinistre exposition de nos chimères et certainement pas une considération irréfléchi et simplet des différentes oeuvre dont elle recopie avec en mon sens une maladresse voulu pour donner plus de texture à sa vision . La ou le bas blesse c'est dans son final qui démontre que la vie n'est jamais aussi belle que lorsque l'on vient à la masqué de ses réalités affligeante qui reprenne inéluctablement le pas sur nos rêves à partir du moment ou l'on vient à le toucher du bout des doigts .A la fin du récit je ne vois en aucun cas une maturité positive au sacrifice nécessaire de ce que l'on aime à son accomplissement personnel , mais bien la résultante incontesté de la victoire de l'égoisme communautaire dont nous sommes à la fois les martyr mais également les bâtisseur .Et cette insensibilité communautaire est établi à travers un paquet d'élément proportionnel à Los Angeles et ses habitants .Les personnages principaux bien que superbement incarné et propre sur eux sont une dimension identitaire du mal qui sévisse en eux et qui n'est jamais humaniste ni charitable et qui ce révèle au final être un reflet de l'enfantillage immature actuel .CONCLUSIONLa la land est une oeuvre devant laquelle on ne peut pas fermer les yeux tant la signification du cinéaste Damien Chazelle est personnel et impactant .Car oui ce film et visuellement superbe , les chanson sont cool et les acteurs bon , mais si l'on vient à retenir seulement cela de ce film que ""tout est beau et tout mignon et que les héros sont amical et gentil "" ,se serait vraiment une extrapolation mensongère et grossière . Car au final Ryan Gosling et Emma Stone ne sont que le reflet de la mélancolie morne et sinistre de la réalité de la vision de son auteur ,d'ou le fait que Sébastian le héros et Mia l'héroine sont des BIP !!!! La La Land est pour ma part une belle pépite incomprise autant par la majorité de ses fan que de ses détracteurs , lui qui traite avant tout du grand problème existentiel de notre temps .4,5/5 Excellent !!! Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
14mars 2021 - Revivez la passionnante histoire d'amour de la comédie musicale La La Land avec cette Boîte à Musique en bois, jouant la romantique mélodie City of stars.
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