Petiterecette normande La Teurgoule Dessert traditionnel normand c'est une sorte de riz au lait (mais en bien meilleur) Ă  la cannelle, cuit trĂšs longtemps au four. - 1 litre de lait - 90g. de riz - 12 morceaux de sucre 1gousse de vanille fendue en 2 cannelle en poudre - Mettre dans une terrine ronde le lait, le riz et le sucre - Battre le
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IngrĂ©dientspour 6 personnes: La Teurgoule: 1 L de lait cru, 75 g de riz rond, 90 g de sucre, 1 pincĂ©e de sel, 1 c. Ă  c. de cannelle.. La Fallue: 250 g de farine, 90 ml d'eau Ă  T° ambiante, 1 Ɠuf, 50 g de beurre mou, 25 g de sucre,

Parmi les spĂ©cialitĂ©s normandes et plus prĂ©cisĂ©ment augeronnes, la teurgoule est l'une des plus cĂ©lĂšbres. L'histoire veut qu'elle soit nĂ©e Ă  Honfleur Calvados. Explications. Par Sophie Quesnel PubliĂ© le 17 AoĂ»t 16 Ă  1159 Didier Violet, charcutier Ă  Pont-l'ÉvĂȘque et titulaire de la Teurgoule d'or ».La teurgoule, spĂ©cialitĂ© normande par excellence, est un dessert cuit dans un four Ă  feu doux pendant de longues heures. Sa particularitĂ© est la suivante le riz et le sucre sont noyĂ©s dans du lait entier qui, lors de la cuisson, absorbe les grains de la cĂ©rĂ©ale de telle maniĂšre qu’ils fondent presque totalement dans une crĂšme onctueuse parfumĂ©e Ă  la Ă  Honfleur ?Selon les manuscrits historiques, la teurgoule serait originaire de Honfleur Calvados. La mĂ©moire populaire veut que l’inventeur du dessert soit François Orceau de Fontette 1718-1794. L’intendant de la GĂ©nĂ©ralitĂ© de Caen nommĂ© par Louis XV, en 1752, fit importer du riz et des Ă©pices, trois ans plus tard en Normandie afin d’éviter une disette dans le pays d’Auge et mettre fin Ă  la menace d’émeutes effet, aprĂšs un printemps humide et un Ă©tĂ© pluvieux, les paysans avaient perdu leurs rĂ©coltes. Peu habituĂ©s au riz, une cĂ©rĂ©ale peu rĂ©pandue quasiment inconnue en France Ă  cette Ă©poque, les Normands se virent proposer une recette afin de la cuisiner avec du bateau chargĂ© de riz, rĂ©quisitionnĂ© par Fontette, aurait Ă©tĂ© en rĂ©alitĂ© une prise corsaire dĂ©barquĂ©e dans le port de Honfleur
 Cette derniĂšre hypothĂšse est d’autant plus probable que la disette en question se situe au dĂ©but de la guerre de Sept Ans 1756-1763 qui opposait une fois encore la France Ă  l’Angleterre ; au cours de ces annĂ©es les corsaires normands capturĂšrent plusieurs navires adverses arrivant d’ donc ainsi que naquit la teurgoule et que les Normands furent rassasiĂ©s. Le plat qui n’allait pas tarder Ă  se transformer en dessert et Ă  devenir cĂ©lĂšbre Ă©tait cuit dans des fours Ă  pain, aprĂšs la fournĂ©e, pour bĂ©nĂ©ficier d’une longue du nomL’origine du mot teurgoule, se tordre la goule, la tĂȘte » en Normand, a quant Ă  lui plusieurs explications. MangĂ©e encore chaude, la teurgoule fait tourner la tĂȘte ou bien est-ce le goĂ»t de la cannelle, Ă©pice inconnue, qui tord la goule » du autre explication veut que les Augerons affamĂ©s, se prĂ©cipitĂšrent sur les terrines Ă  peine sorties du four Ă  pain, en se brĂ»lant le palais Ă  se tordre la goule », d’oĂč le mot teurgoule » en patois en ce moment sur ActuLa terrineLa teurgoule est parfois appelĂ©e aussi terrinĂ©e, Ă  cause du nom de son contenant. La terreine -terrine- Ă©tait autrefois un important rĂ©cipient de la laiterie. TrĂšs Ă©vasĂ©, d’une contenance de six Ă  huit litres de lait, il y Ă©tait placĂ© en attendant de pouvoir effleurer le effet, suivant la saison, et donc plus ou moins rapidement, la fleurette -crĂšme fine, la premiĂšre montĂ©e sur le lait- Ă©tait enlevĂ©e Ă  la cuillĂšre, entiĂšrement et dĂ©licatement. Et c’est aussi ce rĂ©cipient, cette terreine, qui est utilisĂ© pour faire cuire la teurgoule ou
 Teurgoule d’Or Ă  Pont-l’ÉvĂȘqueDe Honfleur Ă  Pont-l’ÉvĂȘque oĂč est fabriquĂ©e la meilleure teurgoule de la rĂ©gion il n’y a qu’un pas que Didier Violet a aisĂ©ment franchi. Le charcutier de Pont-l’ÉvĂȘque est, depuis deux ans, titulaire de la prestigieuse Teurgoule d’Or. Parmi les 80 participants, Didier Violet a mis au point la meilleure recette et il remettra son titre en jeu en septembre s’il garde secret le tour de main qui lui a permis de remporter deux annĂ©es de suite le concours, il a acceptĂ© de nous confier ses conseils Tout se joue sur la cuisson. La mienne cuit environ 4 h 30. Je dĂ©marre fort et je diminue n’en saurons pas d’avantage mais aprĂšs l’avoir goĂ»tĂ©e, nous ne pouvons que vous la conseiller
 Recette pour quatre personnes- 150 grammes de 2 litres de lait de 200 grammes de 1 sachet de sucre 2 cuillĂšres Ă  cafĂ© de une terrine, verser le lait sur le riz, le sucre et le sucre vanillĂ©. Puis saupoudrer deux cuillĂšres Ă  cafĂ© de cannelle. Faire cuire ensuite quatre Ă  cinq heures dans un four Ă  ceux qui ne disposent pas de four Ă  pain, on peut utiliser un four Ă©lectrique Ă  thermostat trĂšs doux 160°, thermostat 5, le prĂ©chauffer et cuire pendant trois la qualitĂ© du lait est trĂšs importante il faut utiliser du lait de ferme lait cru, Ă  dĂ©faut du lait entier qui donnera un rĂ©sultat un peu moins trĂšs important, la teurgoule est cuite quand la croĂ»te est dorĂ©e, et quand la prĂ©paration n’est plus liquide. Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Pays d'Auge dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites.
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promouvoirl'Art de composer la meilleur Teurgoule et Falue Normande, de les dĂ©guster, d'en apprĂ©cier le bouquet et les saveurs ; dĂ©cerner, chaque annĂ©e, des prix aux meilleures fabrications qui seront dĂ©signĂ©es par le jury de la confrĂšrerie . Ce projet s'inscrit de maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale dans le thĂšme : gastronomie, oenologie, confrĂ©ries, gourmets - Les associations de ce En parallĂšle des ateliers culinaires, la maison DUPONT avec un thĂ© partage son savoir-faire aux particuliers dĂ©sireux d’apprendre ses secrets. Notre Chef pĂątissier vous dĂ©voile des recettes conviviales et rĂ©alisables en un tour de main. GĂąteaux au pommes, truffes au chocolat, riz au lait, chouquettes, chocolat chaud, madeleines, mousse au chocolat, clafoutis
 autant de gourmandises Ă  confectionner Ă  la maison pour le bonheur des petits et des grands. Vous souhaitez approfondir vos connaissances culinaires ? Venez participer aux cours de la maison DUPONT avec un thĂ© !
Lesartisans et restaurateurs de la ville vous ouvriront leurs portes pour déguster un petit morceau de Normandie. La confrérie des Tripes à la mode de Caen a pour habitude de se retrouver au café Mancel pour savourer de bon matin les fameuses Tripes à la mode de Caen, avis aux amateurs ! Jeremy 2022-03-29T20:04:34+02:00. Andouille de Vire de Normandie.
DerniĂšre mise Ă  jour13 dĂ©cembre 2021 Durant votre Ă©vĂ©nement professionnel vous dĂ©couvrirez une terre d’exception pour ses Ă©levages, son agriculture et ses produits de la mer, la cuisine normande fait partie intĂ©grante de la gastronomie et est dĂ©sormais inscrite au patrimoine culturel immatĂ©riel par l’Unesco depuis 2010. La crĂšme fraĂźche et le beurre se taillent la part du lion dans les plats normands. En 1651, un dĂ©nommĂ© La Varenne indiquait dans Le Cuisinier françois que les Normands mestent de la cresme en la plupart de leurs sausses ». Quant aux fromages AOC/AOP, le Camembert, rĂ©putĂ© s’il en est, reste le plus connu au monde ; suivent le Livarot, le NeufchĂątel et le Pont-L’EvĂȘque. Mais aussi quelques autres comme le Boursin, Le crĂ©meux du Mont-Saint-Michel, le PavĂ© d’Auge, le Petit Sainte MĂšre, le Gratte-cul, le Belle-mĂšre ou le Coup de Pied au Cul
 Enfin, les pommes jouent aussi un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant dans cette cuisine, elles sont l’ingrĂ©dient de la fabrication du cidre, du pommeau et du calvados. Desserts de la cuisine normande La tarte normande DĂšs lors, il n’est guĂšre surprenant de voir la pomme au cƓur des nombreux desserts, Ă  commencer par l’un des plus rĂ©putĂ©es d’entre eux la tarte normande aux pommes. La tarte normande est une spĂ©cialitĂ© culinaire dont la garniture est composĂ©e de farine, d’Ɠufs, de crĂšme Ă©paisse, de sucre et d’un peu de calvados. Il est primordial d’utiliser des pommes de bonne qualitĂ© et surtout de bien Ă©quilibrer la quantitĂ© de pommes et la quantitĂ© de garniture. La cuisson au four doit lĂ©gĂšrement caramĂ©liser la partie supĂ©rieure des quartiers de pomme. La pĂąte est une pĂąte brisĂ©e ; la tarte peut ĂȘtre avantageusement cerclĂ©e d’un anneau en bois, qui assure sa tenue au cours de la cuisson. La tarte normande constitue un Ă©lĂ©ment incontournable de l’identitĂ© culturelle normande. La production de pommes Ă©tant importante sur l’ensemble du territoire, chaque pays normand se prĂ©vaut de produire la meilleure d’entre toutes ! Voir aussi
 Et voici une version ou la farine est remplacĂ©e par de la poudre d’amandes chez Petit Bec Gourmand. Mais, la tradition des desserts normands ne se contente pas de la tarte. Le gourmet saura bientĂŽt que les dĂ©clinaisons en la matiĂšre sont nombreuses, parfois avec des appellations des plus pittoresques, Ă  l’instar de la Teurgoule. La Teurgoule ou Torgoule Parfois appelĂ©e torgoule ou tergoule, la rĂ©ussite tient Ă  la cuisson dans un plat traditionnel en grĂšs Ă©maillĂ©. Ce mythique dessert normand est une sorte de riz au lait sucrĂ©, souvent parfumĂ© Ă  la cannelle, cuit Ă  four trĂšs doux pendant 5h, dans le plat spĂ©cialement conçu Ă  cet usage. L’étymologie proviendrait de l’expression se tordre la goule » la bouche lorsqu’on mangeait ce plat. Certains prĂ©tendent que c’est parce qu’on se dĂ©pĂȘchait de la manger alors qu’elle Ă©tait encore trĂšs chaude mais d’autres pensent que c’est parce que les premiĂšres adaptations n’avaient pas encore atteint le moelleux d’aujourd’hui. Le Bourdelot et/ou le Douillon Le Bourdelot dessert de la cuisine normande Le Bourdelot, Ă©galement appelĂ© Douillon, est une spĂ©cialitĂ© culinaire de Normandie, connu Ă©galement Ă  Jersey, oĂč elle s’appelle BourdĂ©lot. On dĂ©pose une pomme, pelĂ©e ou pas, Ă©vidĂ©e, sur une pĂąte brisĂ©e ou feuilletĂ©e. La cavitĂ©, au centre du fruit, est remplie de sucre, mouillĂ© avec une cuillerĂ©e Ă  cafĂ© de calvados. On y ajoute une noisette de beurre. Les angles de la pĂąte sont alors refermĂ©s, la pĂąte Ă©tant elle-mĂȘme dorĂ©e avec un jaune d’Ɠuf. Voir aussi
 Les Bourdelots se dĂ©gustent chauds ou froids, accompagnĂ©s de crĂšme fraiche, arrosĂ©s de bon cidre bouchĂ© ou flambĂ© au calvados. La variante du Bourdelot utilisant une poire, s’appelle le Douillon. Le Douillon est la version Ă  la poire du Bourdelot, Ă  la fois croustillant et moelleux. Quelques temps oubliĂ©s, il fait Ă  nouveau l’objet d’un vif intĂ©rĂȘt, notamment des pĂątissiers et artisans boulangers de la rĂ©gion. Le Douillon aux poires sur Normandie HĂ©ritage et plein d’autres recettes sucrĂ©es et salĂ©es de la cuisine normande. Les croĂ»tes normandes Il s’agit d’un dessert du pain perdu amĂ©liorĂ©, composĂ© de tranches de brioche rassie, garnies de compotes de pommes sucrĂ©es, trempĂ©es d’un mĂ©lange d’Ɠufs battus, dorĂ©es au beurre, arrosĂ©es de calvados. Elles se servent chaudes avec un accompagnement de crĂšme fraiche Ă©paisse. Une recette de la CroĂ»te normande sur Ma Petite Recette. Le BrasillĂ© du Calvados BrasillĂ© de Normandie Il s’agit d’une brioche de pĂąte feuilletĂ©e dont la matiĂšre grasse est le saindoux. Cette recette qui date du milieu de XIXĂšme siĂšcle, destinĂ©e Ă  l’époque aux pauvres, est une pĂąte Ă  pain composĂ©e de lard et de gros sel. Ce dessert sucrĂ©-salĂ© de forme ovale, se mange tiĂšde, saupoudrĂ© de sucre. Il a pris de nos jours la forme d’une brioche Ă  pĂąte feuilletĂ©e. La recette est sur le site Patrimoine Normand. La Falue / Fallue ou gĂąche normande La Falue brioche normande La Falue est une pĂątisserie est connue dans les rĂ©gions du Bessin, de Saint-LĂŽ et de Coutances. Avant l’apparition de la galette des rois, on la servait Ă  l’occasion de la fĂȘte de l’Epiphanie. L’origine du terme proviendrait du mot falle qui dĂ©signe l’estomac, du vocable scandinave falur, signifiant tube. Il s’agit d’une brioche levĂ©e deux fois avant d’ĂȘtre cuite environ une demi-heure Ă  four chaud dans un plat Ă  hauts rebords spĂ©cialement dĂ©diĂ©. Recette en video des Carnets de Julie Et ici la Recette de la Fallue traditionnelle proposĂ©e par Monsieur Jean-Yves REBOURS de Caen. Le soufflĂ© normand Cette pĂątisserie est le mariage du soufflĂ© traditionnel, du flan aux pommes et dit-on, de la charlotte aux pommes. On tapisse les parois d’un moule de biscuits Ă  la cuillĂšre auxquels sont ajoutĂ©s des dĂ©s de pommes, l’ensemble imprĂ©gnĂ© de calvados. SoufflĂ© normand On en parle comme du comble du raffinement, recette sur Normandie HĂ©ritage. Le sablĂ© normand Petit gĂąteau sucrĂ© considĂ©rĂ© comme une gourmandise, le sablĂ© se composait Ă  l’origine, d’un tiers de beurre, d’un tiers de farine, d’un tiers de sucre et des jaunes d’Ɠufs. Ce biscuit friable est connu vers les annĂ©es 1820 -1830 par un dĂ©nommĂ© Masson de Saint – Amand lors d’un voyage dans la rĂ©gion et connu sous le nom de sablĂ© d’Alençon ». Masson explique qu’il s’agit d’une – espĂšce de pĂątisserie assez recherchĂ©e, et qui s’émiette comme du sable quand on la mange. Elle se compose d’un tiers de beurre, un tiers de farine, un tiers de sucre. ». Vers 1870, LittrĂ© inclut le mot sablĂ© dans son dictionnaire, oĂč il le dĂ©finit comme le nom d’une sorte de gĂąteau en Normandie ». Trente ans plus tard environ, Pierre Lacam, cĂ©lĂšbre MaĂźtre pĂątissier et auteur de l’ouvrage Ă  succĂšs le MĂ©morial de la pĂątisserie, Ă©crit en 1888 que le sablĂ© est le gĂąteau Ă  la mode », – Vous n’avez pas de sablĂ©s, vous n’ĂȘtes pas assortis voilĂ  ce que disent ces dames revenant de Trouville et de Houlgate. » C’est donc la frĂ©quentation des plages normandes qui a donnĂ© aux Parisiens le goĂ»t de ces petits gĂąteaux, Il y a trente ans, l’on ne trouvait des sablĂ©s que chez DugĂ©, faubourg PoissonniĂšre, dans tout Paris
 aujourd’hui, tout le monde en a. » De fait, en cette fin du XIXĂšme siĂšcle, c’est par centaines de douzaines qu’il s’en fabrique dans les villes du Calvados, Lisieux, Trouville, Caen, Houlgate. » Mais aussi
 Le sucre de pomme de Rouen – Créé en 1592 par un apothicaire de Rouen, le sucre de pomme Ă©tait alors considĂ©rĂ© comme un remĂšde contre la mĂ©lancolie et les maux de gorge. De nos jours il se prĂ©sente en bĂątonnet Ă  sucer, en savoir plus sur le site Rouen Tourisme. Les berlingots de Falaise ou Les bouchons d’Alençon
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PrĂ©parationde la Teurgoule PrĂ©chauffer le four Ă  150° (thermostat 2). MĂ©langer le sucre, le riz, et la cannelle dans un plat en terre de prĂ©fĂ©rence. Faire chauffer le lait dans une casserole avec la noix de beurre. Ne pas faire bouillir. Incorporer le lait. Mettre la terrine 5 heures Ă  four chaud sans ouvrir. Il fait beau, il fait chaud et Ma Cuisine Ancestrale profite des derniers jours de vacances pour vous emmener dans la DrĂŽme Ă  la ville Ă©tait, autrefois, rĂ©putĂ©e pour ĂȘtre la capitale de la chaussure, elle l’est toujours pour ĂȘtre celle des lunettes
 non pas celles pour mieux voir mais celles Ă  croquer. MĂȘme si on en trouve un peu partout en France, les lunettes de Romans sont l’une des spĂ©cialitĂ©s typiques de cette citĂ©. Ces dĂ©licieux sablĂ©s ovales, fourrĂ©s Ă  la confiture et recouverts de sucre glace, ont Ă©tĂ© baptisĂ©s ainsi car ils sont percĂ©s de deux trous faisant penser Ă  des lunettes. Ce gĂąteau est dĂ©rivĂ© d’un biscuit italien, le milanais, dont la fabrication remonte au Moyen Âge, en Italie. C’est un sablĂ© percĂ© d’un trou, que des immigrants transalpins auraient fait connaĂźtre dans le DauphinĂ©. Les PiĂ©montais, venus dans le Vercors, rĂ©gion productrice de fruits, reconstituĂšrent leur pĂątisserie en la fourrant de confiture de fruits. Actuellement, si ce milanais est toujours fabriquĂ© en Italie, il est aussi et surtout devenu un biscuit de NoĂ«l, incontournable en Suisse et un grand classique de la cuisine la recette, c’est par ici CrĂ©ation CANVA Souvenir d’enfance par excellence, nous nous rappelons tous avoir vu ces biscuits dans la vitrine du boulanger, et de les avoir dĂ©gustĂ©s Ă  l’heure du rĂ©gression a parfois du bon alors, d’ici notre prochain rendez-vous, revivez vos jeunes annĂ©es et rĂ©galez-vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait 😋 Sources Origine et recette et Images Collection Personnelle En juillet, Ma cuisine ancestrale fait escale dans le sud-ouest, plus exactement dans le Tarn et part Ă  la dĂ©couverte du poumpet aussi appelĂ© feuillĂąt. Ce gĂąteau serait nĂ© dans des contrĂ©es trĂšs Ă©loignĂ©es puisqu’il aurait Ă©tĂ© importĂ© par les Sarrasins lors de leur invasion en Europe au VIIIĂšme siĂšcle. Ce serait donc un gĂąteau d’origine arabe dont il a conservĂ© plusieurs caractĂ©ristiques communes avec leurs pĂątisseries le sucre, les agrumes et les valeurs nutritionnelles. Durant plusieurs siĂšcles, cette recette Ă©laborĂ©e Ă  base de saindoux ou de graisse d’oie aujourd’hui, on utilise du beurre, d’Ɠufs, de farine, de sucre, de miel et de zestes de citron, s’est transmise de mĂšre en fille qui la confectionnait pour les grandes occasions d’oĂč le nom occitan de poumpet, qui signifie littĂ©ralement gĂąteau de fĂȘte fĂȘte se traduisant en patois local par pompa. À cette Ă©poque, cette spĂ©cialitĂ© culinaire n’était rĂ©alisĂ©e que dans le canton de Soual et de SĂ©malens, deux villages voisins et situĂ©s sur le territoire de Castres. En 1894, un pĂątissier de Soual, Mr Gelis a fabriquĂ© et commercialisĂ© le poumpet sous le nom plus vendeur de feuillĂąt car plusieurs couches de pĂąte et de graisse d’oie successives lui donnaient un aspect feuilletĂ©. Ce gĂąteau Ă©tait parfumĂ© au citron, Ă  la fleur d’oranger ou Ă  la bergamote uniquement. La recette originale fut transmise ensuite aux acquĂ©reurs successifs de la pĂątisserie de M. Gelis, maintenant aux mains de la famille Andrieu. En 1985, la ConfrĂ©rie du Poumpet fut créée Ă  Soual, devenue depuis la ConfrĂ©rie du FeuillĂąt afin de perpĂ©tuer sa tradition. Chaque pĂątissier garde prĂ©cieusement la recette de son poumpet mais, il existe des bases communes Ă  ce gĂąteau. Quoi qu’il en soit, le poumpet est rĂ©alisĂ© avec des citrons, sinon, ce n’est pas un poumpet, qu’on se le dise ! CrĂ©ation CANVA Note j’ai prĂ©fĂ©rĂ© rĂąper les zestes des citrons Les tarnais sont trĂšs fiers de ce gĂąteau ancestral
 un hĂ©ritage concĂ©dĂ© depuis des temps trĂšs anciens, de mĂšre en fille et de pĂątissier Ă  dessert simplissime dĂ©montre encore une fois que l’Histoire et la transmission passe aussi par la cuisine. Je vous souhaite un bel Ă©tĂ©, de bonnes vacances aux juilletistes et d’ici notre prochain rendez-vous, rĂ©galez vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait !Sources Soual, sur les terres ancestrales du PoumpetImages collection personnelle God save the Queen » En juin, Ma Cuisine Ancestrale hĂ©sitait entre trois recettes. Elle a donc demandĂ© aux gĂ©nĂ©ablogueurs de choisir. Ils ont gazouillĂ© leur choix avec l’oiseau bleu et ont Ă©lu le gĂąteau traversons la Manche et rendons visite Ă  nos voisins grands Royaume Uni vit un Ă©vĂšnement historique puisque Sa MajestĂ© Elisabeth II fĂȘte son jubilĂ© de platine, soit soixante dix ans de rĂšgne
 un record de longĂ©vitĂ©!Le jubilĂ© est officiellement cĂ©lĂ©brĂ© durant quatre jours, du 2 au 5 juin est Ă©galement cĂ©lĂ©brĂ© dans d’autres pays du Commonwealth, notamment l’Australie, le Canada, la Nouvelle-ZĂ©lande et la Papouasie-Nouvelle-GuinĂ©e et dans le monde entier. Pour la circonstance, en janvier dernier, le Palais Royal a organisĂ© entre autres projets, un concours a Platinium Pudding CompĂ©tition. Le jury a reçu plus de 5000 propositions et la gagnante est Jemma, une jeune femme de 31 ans. Elle s’est inspirĂ©e de ses deux grands-mĂšres pour rĂ©aliser un Lemon Swiss Roll & Amaretti Bagatelle
 Ce pudding sera dĂ©gustĂ© lors des festivitĂ©s
 Tout un programme, pour le rĂ©aliser, regardez ICI Ce dessert est trop rĂ©cent pour Ma cuisine Ancestrale, je vous propose donc une autre recette, celle du Reine Elisabeth. Les origines du gĂąteau sont incertaines il aurait Ă©tĂ© nommĂ© en l’honneur du sacre d’Élisabeth II en 1953 une excellente annĂ©eIl pourrait Ă©galement avoir Ă©tĂ© appelĂ© en l’honneur de la mĂšre de cette derniĂšre lors du couronnement de George VI en autre possibilitĂ© est que le Reine Élisabeth serait originaire d’Australie et qu’il aurait Ă©tĂ© introduit Ă  la cour d’Angleterre dans les annĂ©es 1950 par le pianiste polonais Jan raconte que, lors d’une invitation Ă  prendre le thĂ©, le pianiste aurait servi ce gĂąteau Ă  la reine mĂšre. Ayant adorĂ© ce dessert, elle demanda la recette au pianiste et l’offrit durant de nombreuses annĂ©es Ă  ses sujets royaux. Il serait dĂ©licieux accompagnĂ© d’une tasse de thĂ© Earl Grey pour un effet so british !Le Reine Elisabeth est un dessert prĂ©parĂ© avec des dattes et glacĂ© avec de la noix de coco. Il est trĂšs populaire au Canada. CrĂ©ation personnelle CANVA La France participe aussi Ă  cet Ă©vĂšnement avec une cĂ©rĂ©monie prĂ©vue au pied de l’Arc de triomphe, jeudi Cuisine Ancestrale et moi resteront dans notre cuisine mais, nous savourerons le Reine Elisabeth accompagnĂ©e d’une tasse de thĂ©, of course
 C’est notre maniĂšre de fĂȘter cet Ă©vĂšnement inĂ©dit !D’ici, notre prochain rendez-vous, rĂ©galez vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait ! Sources France Bleu jubilĂ©e d’Elisabeth IIFortmun & collection personnelle 
En Bretagne et ailleurs Image gratuite Karoligraphics de Pixabay Autrefois, chez nos ancĂȘtres, lorsque l’enfant paraissait, il Ă©tait urgent de le baptiser. Aujourd’hui, l’évĂšnement n’est plus impĂ©rieux
 NĂ©anmoins, cette cĂ©rĂ©monie est accompagnĂ©e de rituels gourmands qui existent depuis fort longtemps comme offrir des dragĂ©es et des gĂąteaux aux parents et gĂąteaux Ă©taient et sont toujours un gage affectueux et amical de convivialitĂ©, de partage et de Pierre Jean-Baptiste Legrand D’Aussy °1737 +1800, un historien du XVIIIe siĂšcle, a Ă©crit C’était un gĂąteau qu’offraient Ă  l’Eglise les femmes nouvellement accouchĂ©es lorsqu’elles allaient se faire relever
 J’en ai parlĂ© ICIEnfin, c’est un gĂąteau qui formait le plat principal de la collation qu’on donnait Ă  la suite du baptĂȘme d’un enfant et sur ce point Paris, jusque vers la fin du siĂšcle [XVIIe siĂšcle] ne diffĂ©rait point des autres villes du Royaume. » Et cette tradition a perdurĂ© jusqu’au dĂ©but du XIXe siĂšcle selon Grimod de La ReyniĂšre °1758+1837, mais C’est cependant moins un goĂ»ter qu’un ambigu puisqu’on y sert des viandes chaudes et froides et que l’on y boit du vin. » Puis, dans les grandes villes, la collation devenue repas familial, celui-ci se terminait par une piĂšce montĂ©e. Et, au fil du temps, cet usage s’est aussi rependu dans les campagnes. Cependant, loin du raffinement de ce croquembouche, certaines rĂ©gions se dĂ©marquaient en servant leur spĂ©cialitĂ© gourmande du terroir comme les pognons aux peurniaux dans le RhĂŽne, les kugelhofs en Alsace, la pompe en Provence, la brioche tressĂ©e en Lorraine, la brioche en forme de bĂ©bĂ© emmaillotĂ© dans le Nord et l’Est de l’hexagone, etc
En Bretagne, on servait des farz
traduisez par farine, gruau
 Il existe plus de 60 recettes de farz salĂ©s ou sucrĂ©s selon Patrick HervĂ©, auteur d’un livre sur ces spĂ©cialitĂ©s XVIIIe siĂšcle, un farz Ă©tait une bouillie de farine accompagnĂ©e de lĂ©gumes et parfois de lard ou de viande, le kig ha farz, un plat qui a retrouvĂ© ses lettres de noblesse de nos fil du temps, la recette salĂ©e va Ă©galement donner naissance Ă  une recette sucrĂ©e. Au XIXe siĂšcle, on ajoute du lait et du sucre Ă  la farine. La transformation de la simple bouillie Ă  un dessert a lieu surtout dans les familles les plus aisĂ©es. Puis, la recette s’agrĂ©mente d’Ɠufs et de beurre salĂ©, bien sĂ»r
 Le far est nĂ© et le plus cĂ©lĂšbre est le farz prun ou far aux pruneaux, un emblĂšme de la pĂątisserie bretonne. Farz prun – Collection personnelle CrĂ©ation Canva Farz prun – collection personnelle Le saviez-vous ?Les pruneaux, une histoire de marins Au 19e siĂšcle, ceux-ci Ă©changeaient du poisson morue contre un fruit sec venu d’Agen qui, riche en vitamine C, permettait de se prĂ©munir du scorbut, une terrible maladie qui dĂ©cimaient les marins. TrĂšs vite, la Bretagne adopte le pruneau et celui-ci fait son entrĂ©e dans la traditionnelle recette du far ! Voici une seconde recette peu connue. Originaire du Nord-FinistĂšre terre ancestrale, il s’agit du farz pitilig ou far Ă  la une sorte de dessert Ă  mi-chemin entre le far et la crĂȘpe Ă©paisse, un plat rapide Ă  rĂ©aliser et qui est servi, selon le niveau de gourmandise, avec un peu de beurre, de sucre, de confiture, de caramel ou autre
 Farz Pitilig – collection personnelle CrĂ©ation Canva Note Ramasser la pĂąte » quand la crĂȘpe commence Ă  ĂȘtre saisie, pousser la pĂąte vers le centre de la poĂȘle Ă  l’aide d’une cuillĂšre en bois. Bien loin des gĂąteaux de baptĂȘme d’aujourd’hui, j’apprĂ©cie la simplicitĂ© de ces deux recettes qui nous rappellent que nos ancĂȘtres se rĂ©galaient avec attendant notre prochain rendez-vous, Ă  vous d’apprĂ©cier cette collation
 moi, c’est dĂ©jĂ  fait ! Avec mes pensĂ©es amicales pour Brigitte, fraĂźchement promue Sosa 7 et AndrĂ©a,son tout petit Sosa 1 💕 Sources Dictionnaire de la gourmandise – Annie PERRIER-ROBERTFars bretons et Kig Ha Farz –Patrick HERVE – Editions Skol Kevin Adkins, pĂątissier de la maison Coupel situĂ©e Ă  Rennes meilleur far aux pruneaux en 2017 et 2018HĂ©lĂšne CrĂ©ac’hcadec, spĂ©cialiste du farz recette du kig ha farzImage gratuite de mer Christel SAGNIEZ de PixabayImages collection personnelle En avril, ne te dĂ©couvre pas d’un fil ! Depuis hier, la mĂ©tĂ©o ne dĂ©ment pas l’adage ! Il fait frisquet
MalgrĂ© le retour du temps hivernal, Ma Cuisine Ancestrale vous propose une petite excursion en Aveyron pour y dĂ©couvrir une spĂ©cialitĂ© locale originale et rĂ©confortante la pascade ou pascada en occitan. Pascade – version salĂ©e Pascade – version sucrĂ©e Le terme pascade » est une francisation du rouergat pascĂ do , dĂ©rivĂ© de Pascas » qui signifie PĂąques. Il s’agit d’une recette nĂ©e dans les fermes du Rouergue que l’on servait jadis en pĂ©riode de disette lorsque les rĂ©coltes Ă©taient la tradition a voulu que l’on mange la pascade au moment de PĂąques, plus prĂ©cisĂ©ment le dimanche de Quasimodo premier dimanche aprĂšs celui de PĂąques. Faisant suite au CarĂȘme, cette prĂ©paration Ă  base d’Ɠufs et de farine Ă©tait privilĂ©giĂ©e pour consommer l’importante production pondue durant celui-ci. Mi omelette, mi crĂȘpe soufflĂ©e, cette recette se consomme cuite Ă  point dans une poĂȘle ou au four, salĂ©e ou sucrĂ©e, nature ou garnie. CrĂ©ation Canva Collection personnelle Note J’ai choisi de rĂ©aliser une pascade salĂ©e et une seconde sucrĂ©e
. IdĂ©al pour un dĂźner Ă  deux. La version salĂ©e est cuite dans une poĂȘle et accompagnĂ©e de quelques feuilles de roquette, de tranches d’avocat et d’Ɠufs version sucrĂ©e est cuite dans le four, dans un plat en terre. Elle est agrĂ©mentĂ©e de deux pommes coupĂ©es en morceaux, caramĂ©lisĂ©es dans un peu de beurre salĂ© et de cassonnade un mix entre mes racines bretonnes et picardesJe n’ai qu’un mot Ă  Ă©crire DĂ©licieux !VoilĂ  pour ces deux exemples, Ă  vous de cuisiner en laissant parler votre imagination
 Et en attendant notre prochain rendez-vous, Ma Cuisine Ancestrale vous souhaite de joyeuses fĂȘtes de PĂąques en souhaitant qu’elles ne se passent pas au tison. Si tel est le cas, je vous renvoie Ă  Quasimodo pour vous rĂ©galer ! Sources Origine et recette collection personnelle – CrĂ©ation Canva En mars, le GĂ©nĂ©athĂšme proposĂ© par Geneatech, dont le thĂšme est l’annĂ©e 1832, s’invite Ă  la table de MaCuisineAncestrale... Et j’avoue que j’aime bien cette idĂ©e ! CĂŽtĂ© Histoire En 1832, la France vit sous le rĂ©gime de la Monarchie de Juillet et est gouvernĂ©e par Louis Philippe 1er. L’annĂ©e est marquĂ©e, entre autres, par des Ă©meutes, une tentative de soulĂšvement en VendĂ©e, une insurrection rĂ©publicaine Ă  Paris et une Ă©pidĂ©mie de cholĂ©ra qui fera plus de 100 000 morts dans l’hexagone. VoilĂ  ce que la grande Histoire nous apprend, mais nous ignorons que cette pandĂ©mie ferait disparaĂźtre Ă©galement une tradition locale !Cet usage est nĂ© Ă  ArmentiĂšres, petite citĂ© du Nord, au XVIe siĂšcle À l’origine, la Nieulle orthographiĂ©e Nieule » au XVe siĂšcle, Ă©tait une sorte de pain azyme ancien pain aux cĂ©rĂ©ales Ă  la pĂąte non levĂ©e que l’on distribuait dans les grands repas et les fĂȘtes. En mai 1510, lors d’un banquet offert Ă  l’occasion de la foire annuelle, par les Ă©chevins d’ArmentiĂšres en l’honneur de Jacques de Luxembourg, Seigneur de la ville, le surplus des biscuits du repas furent jetĂ©s au peuple du balcon de l’HĂŽtel de ville. La tradition Ă©tait nĂ©e se perpĂ©tuant ainsi jusqu’en 1832, non sans avoir Ă©tĂ© supprimĂ©e au lendemain de la RĂ©volution et rĂ©tablie vers 1800. AprĂšs une tentative de rĂ©habilitation fugace en 1938, il fallut attendre 1950 pour que les commerçants eurent l’idĂ©e de relancer cette coutume disparue. Depuis lors, chaque annĂ©e, en septembre, on cĂ©lĂšbre les nieulles lors d’une ducasse fĂȘte, oĂč des milliers de ces gĂąteaux sont jetĂ©s des fenĂȘtres du Beffroi d’ArmentiĂšres. CĂŽtĂ© Cuisine Aujourd’hui, les nieulles sont des biscuits sablĂ©s ronds Ă  bord cannelĂ© rĂ©alisĂ©s Ă  base de farine, de beurre, de jaunes d’Ɠufs, de lait, de sucre et de vanille. CrĂ©ation Canva Je ne sais pas pour vous, mais je raffole de ces petites histoires, surtout lorsqu’elles sont gourmandes
 D’ici notre prochain rendez-vous, rĂ©galez vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait ! Sources Origine des nieulles Dictionnaire de la Gourmandise – Annie PERRIER-ROBERTRecette Collection personnelle En fĂ©vrier, Ma Cuisine Ancestrale raconte mon gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ©, celui qui fait frĂ©tiller mes papilles de plaisir. Le millefeuille ou mille-feuille, les deux orthographes Ă©tant correctes, doit son nom au nombre Ă©levĂ© de feuillets de pĂąte qui composent chaque gĂąteau. Compte tenu de la mĂ©thode traditionnelle de prĂ©paration de la pĂąte feuilletĂ©e, en six Ă©tapes de pliages en trois, le mille-feuille comporte en rĂ©alitĂ© 729 paires de feuillets
 Vous suivez ! Eh oui, parfois, la pĂątisserie Ă©pouse les pensais que le millefeuille Ă©tait une crĂ©ation rĂ©cente mais je me trompais puisque la premiĂšre version remonterait au XVIIe histoire Le millefeuille aurait Ă©tĂ© créé par François Pierre de La Varenne, qui le dĂ©crit dans son livre Le Cuisinier françois » en 1651. Il aurait Ă©tĂ© ensuite perfectionnĂ© par Marie-Antoine CarĂȘme, cuisinier de Charles-Maurice de Talleyrand-PĂ©rigord. Maguelonne Toussaint-Salmat, l’autrice de La trĂšs belle et trĂšs exquise histoire des gĂąteaux » mentionne une recette publiĂ©e en 1806 et signĂ©e d’un certain c’est en fait la pĂątisserie Seugnot situĂ©e rue du bac Ă  Paris, qui proposa les premiers millefeuilles en 1867 confectionnĂ©s par Dubose, le chef pĂątissier d’Adolphe Seugnot. De plus, la perfide Albion aurait inventer une fausse lĂ©gende le Millefeuille n’était pas le gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ© de NapolĂ©on Bonaparte qui en aurait attrapĂ© une indigestion Ă  la veille de Ă©tant par ailleurs le nom de cette pĂątisserie en mĂȘme titre que d’autres classiques, la mille-feuille symbolise le gĂ©nie de la pĂątisserie française dans le monde entier. CĂŽtĂ© cuisine Le millefeuille est fait de trois couches de pĂąte feuilletĂ©e et deux couches de crĂšme pĂątissiĂšre aromatisĂ©e au rhum. Le dessus est recouvert avec du sucre glace ma version prĂ©fĂ©rĂ©e ou du fondant. RĂ©alisation pour 8 personnes Composition CANVA Collection personnelle Comme Ma Cuisine Ancestrale, rĂ©alisez-vous votre pĂąte feuilletĂ©e ? Non, alors je vous encourage Ă  le faire
 C’est un peu long mais, elle est bien meilleure que celle du commerce. Sinon, choisissez un pĂąte feuilletĂ©e pur beurre ou achetez la chez votre de vous lancer, mieux qu’un long discours, voici un tuto qui explique trĂšs bien la mĂ©thode du feuilletage ordinaire VidĂ©o J’espĂšre que ce gĂąteau ravira vos papilles autant que les miennes. En attendant notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous et dites-moi quel est votre gĂąteau prĂ©fĂ©rĂ© ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait ! Sources Recette inspirĂ©e par Origine du mille-feuille collection personnelle Collection personnelle En ce dĂ©but d’annĂ©e, Ma Cuisine Ancestrale vient Ă  la rescousse de tous ceux qui ont le moral dans les chaussettes et leur propose une recette rĂ©gressive Ă  souhait
 une recette doudou » qui a le pouvoir de nous ramener en enfance c’est mon cas et de nous faire oublier, le temps de sa dĂ©gustation, la morositĂ© ambiante. Suivez-moi au pays d’Auge pour y dĂ©couvrir un dessert au nom Ă©trange, la Teurgoule, dont l’histoire remonte au XVIIIe ce temps-lĂ , la Normandie Ă©tait une rĂ©gion cĂ©rĂ©aliĂšre. La population se nourrissait essentiellement de bouillies Ă  base de blĂ©, d’orge, d’avoine ou de sarrasin. Mais, la mĂ©tĂ©o capricieuse on ne parlait pas encore de rĂ©chauffement climatique influençait ce que nos ancĂȘtres mettaient dans leur la disette s’installait et ce ne sont pas les processions religieuses et encore moins l’interdiction de la libre circulation des grains d’une rĂ©gion Ă  l’autre qui arrangeaient les 1757, lors d’une crise alimentaire sĂ©vĂšre, il a fallu faire face au dĂ©ficit des vivres pour Ă©viter les rĂ©voltes frumentaires et les Ă©meutes consĂ©quentes dues Ă  la disette. C’est alors que François-Jean ORCEAU DE FONTETTE 1718-1794, Intendant de la GĂ©nĂ©ralitĂ© de Caen est intervenu en faveur des plus 1756, le royaume Ă©tait en guerre contre les anglais ; une guerre qui a durĂ© 7 ans 1756-1763. En mer, les corsaires normands faisaient la chasse aux navires marchands ennemis. Les briks anglais capturĂ©s Ă©taient dĂ©lestĂ©s de leurs denrĂ©es provenant des Indes et du Nouveau-Monde cannelle de Ceylan, riz de Caroline, sucre de Virginie, etc
François-Jean ORCEAU DE FONTETTE eut l’idĂ©e de racheter ou de confisquer les cargaisons de riz dĂ©robĂ©es pour palier au manque de la GĂ©nĂ©ralitĂ© de Caen, une grande campagne a, alors, commencĂ© pour faire accepter cette denrĂ©e cuisines de l’Intendant ont servi de laboratoire pour accommoder le riz. On y a mis au point une bouillie parfumĂ©e avec des Ă©pices. Les recettes et les mĂ©thodes Ă©taient diversifiĂ©es et elles Ă©taient, ensuite, placardĂ©es. Les curĂ©s, responsables des paroisses, Ă©taient chargĂ©s de distribuer le riz et ses recettes. Mais d’oĂč vient le nom Ă©trange de Teurgoule?En normand, la goule, c’est la gueule, la bouche
 Avoir de la goule, c’est ĂȘtre gourmand et Ă  part la terrinĂ©e qui renvoie au mode de cuisson, il existe moult synonymes teurgoule, tourgoule, torgoule, tergoule
 mais, toujours avec la goule Le terme pourrait signifier qui tord la bouche » ou qui fait faire la grimace »  parce que nos ancĂȘtres se prĂ©cipitaient pour avaler cette bouillie trop chaude ou trop roborative, parce que les grains de riz n’avaient pas atteint l’onctuositĂ© des grains d’aujourd’hui ou parce que la cannelle retournait la bouche Ă  cause de sa saveur jusque lĂ  inconnue
 Quelque soit la raison, ce dessert a su marier le bon lait normand, le riz et la cannelle et a su s’implanter, particuliĂšrement dans le Calvados, et il fait aujourd’hui partie du patrimoine normand. CrĂ©ation personnelle Canva Collection personnelle Autrefois, la teurgoule Ă©tait cuite dans le four des boulangers aprĂšs la fournĂ©e. Elle mijotait ainsi pendant plusieurs heures sur le reste des braises. Note J’ai fait cuire ma terrine Ă  160° – On peut remplacer la cannelle par de la vanille en poudre, du chocolat, du caramel ou encore du Calvados. Si vous avez de la goule, sachez que la Teurgoule est encore meilleure accompagnĂ©e d’une tranche de Fallue cliquez pour dĂ©couvrir la recette J’espĂšre que cette recette rĂ©confortante vous mettra du baume au coeur en attendant les jours d’ici, notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait 😉Sources Origine La Teurgoule, une histoire de corsaires – Annie de GERYRecette ConfrĂ©rie de la Teurgoule et de la Fallue en Normandie – HonfleurImages Collection personnelle Ho, Ho
 NoĂ«l approche ! Et en dĂ©cembre, Ma cuisine ancestrale fait une excursion dans l’Est de la France, en forestiĂšre, l’arbre y est roi et je soupçonne le PĂšre NoĂ«l d’y avoir installĂ© ses ateliers avec ses lutins puisque de nombreux chantourneurs y fabriquent des jouets en bois pour gĂąter les enfants l’approche des fĂȘtes de fin d’annĂ©e, quel plaisir de se rĂ©fugier dans les traditions hĂ©ritĂ©es de nos aĂŻeux en faisant appel aux souvenirs de famille. C’est aussi un moment privilĂ©giĂ© pour se retrouver et rĂ©aliser les recettes d’ ces derniĂšres, en Franche-ComtĂ©, se trouve une coutume ancienne, le Cugneux ou Quigneu, une brioche que les parrains et marraines offraient Ă  leur filleulle le jour de NoĂ«l et dans laquelle, ils cachaient une piĂšce de monnaie. Le nom, la forme et les recettes changent selon les villages Quignieu, Quegneu, Quigneu ou encore Ramin en d’autres au nord, la forme n’est pas sans rappeler un nouveau-nĂ© emmaillotĂ© dans ses langes telle la Coquille en dĂ©gustation de ce Cugneux empli de fruits secs, figure la manducation eucharistique communion de l’enfant transition, voici la recette empruntĂ©e Ă  MĂ©mĂ© Suzanne, habitante de Giromagny 90 CrĂ©ation Canva Notes Avec les quantitĂ©s renseignĂ©es sur la recette, j’ai rĂ©alisĂ© deux brioches et j’ai laissĂ© levĂ© la pĂąte deux fois une heure. Je vous souhaite de trĂšs belles fĂȘtes de fin d’annĂ©e et d’ici notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait 😋Sources Recette et origine – collection personnelle La Toussaint approche et sans doute, irez-vous vous recueillir et fleurir les tombes des personnes que vous avez aimĂ©es. Ma Cuisine Ancestrale, elle, les commĂ©more Ă  sa maniĂšre en partageant la recette des gĂąteaux de l’ñme, des biscuits qui possĂ©deraient un pouvoir. Avant de vous dĂ©voiler ce pouvoir, une petite prĂ©cision s’impose la Toussaint n’est pas la fĂȘte des morts ! La Toussaint est une fĂȘte catholique, instituĂ©e au 8Ăšme siĂšcle et cĂ©lĂ©brĂ©e le 1er novembre en l’honneur de tous les saints connus ou inconnus. Le jour des morts, est cĂ©lĂ©brĂ© officiellement, le 2 novembre. Le 1er novembre est en France, depuis 1801, l’une des quatre fĂȘtes religieuses chĂŽmĂ©es contrairement Ă  la fĂȘte des morts. Cette derniĂšre a Ă©tĂ© créée en 998 par le MonastĂšre bĂ©nĂ©dictin de Cluny et a Ă©tĂ© inscrite par l’Église dans son calendrier universel Ă  partir du 13e siĂšcle, mais elle n’est jamais devenue un jour pour cette raison que nous avons pris l’habitude de nous rendre dans les cimetiĂšres le jour de la Toussaint fusionnant ces deux commĂ©morations. Dans les pays de tradition catholique, des desserts sont confectionnĂ©s pour la Toussaint et en souvenir des quelques gĂąteaux, pains ou biscuits rĂ©alisĂ©s pour ces deux fĂȘtes en France en cliquant sur leur nom, vous trouverez leur recette En Seine-et-Marne, on confectionne des niflettes. Les niflettes remonteraient au Moyen-Âge et seraient originaires de la ville de Provins, mais elles pourraient aussi bien provenir de Coulommiers ou de Nangis. Les niflettes Ă©taient prĂ©parĂ©es pour le 1er la tradition, cette pĂątisserie Ă©tait offerte aux orphelins qui pleuraient devant la tombe de leurs parents, en leur disant ne flete » qui signifie ne pleure pas ». Cette phrase de consolation serait Ă  l’origine du nom de cette dĂ©licieuse niflettes sont des petites tartelettes composĂ©es d’un rond de pĂąte feuilletĂ©e, garnie de crĂšme pĂątissiĂšre. Elles se consomment froides ou tiĂšdes, comme dessert mais aussi Ă  n’importe quel autre moment de la journĂ©e !Pour la recette, je vous invite Ă  visiter le blog L’arbre de vie de Pascal. Une seconde spĂ©cialitĂ© rĂ©gionale de Provins ou de Meaux
 nommĂ©e GĂąteau briard de la Toussaint aurait vu le jour au 18e siĂšcle. Certaines pĂątisseries et congrĂ©gations de la rĂ©gion briarde et de la rĂ©gion parisienne en perpĂ©tuent la tradition lors de la fĂȘte de la un gĂąteau composĂ© d’une dacquoise Ă  la pistache, d’une crĂšme Chiboust au citron, surmontĂ© de citron confit et de framboise. Dans le nord de la Corse, vers Bastia, on confectionne la Salviata ou Serviade, un gĂąteau en forme de avais fait allusion lors de mon ChallengeAZ en 2015 rĂ©servĂ© aux spĂ©cialitĂ©s culinaires de mes Corse du sud, Ă  Bonifacio, on rĂ©alise le pain de Bonifacio ou pain des morts, Ă  l’origine appelĂ© ĂŒga siccata .Il est prĂ©parĂ© le soir de la Toussaint, la veille de la fĂȘte des dĂ©funts, et laissĂ© sur la table Ă  l’intention des dĂ©funts, mais en rĂ©alitĂ© il est destinĂ© aux plus un pain Ă  base de farine, levure de boulanger, eau, beurre, sucre, sel, Ɠufs, lait, raisins secs, noix et citron. En Bretagne, l’usage voulait qu’à la Toussaint, on mange des crĂȘpes de blĂ© noir en prenant soin de garder la part des morts ». Autrefois, on voyait les enfants aller de village en village, munis d’une sonnette pour quĂȘter la crĂȘpe des trĂ©passĂ©s. Aux confins de la Normandie et de la Picardie, dans le pays de Bray, on mange le PĂątĂ© aux poires de poire de FisĂ©e ou poire de FusĂ©e FisĂ©e Ă©tant la forme dialectale normande de fusĂ©e est une spĂ©cialitĂ© normande de cette rĂ©gion. La Poire de FisĂ©e serait la FusĂ©e d’Automne, une variĂ©tĂ© ancienne originaire de Haute-Saxe, mentionnĂ©e en 1628 par le procureur du roi Ă  OrlĂ©ans. Devenu rare, l’arbre est toujours cultivĂ© dans le nord du dĂ©partement de Seine-Maritime. Sa chair est dure et blanche mais, devient rougeĂątre Ă  la cuisson. La poire n’est consommable que cuite sous forme de confitures, de fruits confits et de tarte. Elle est aussi utilisĂ©e pour la fabrication du poirĂ©, cidre obtenu Ă  partir des pĂątĂ© de poires de FisĂ©e est un gĂąteau aux senteurs d’automne qui se dĂ©guste Ă  la Toussaint autour de Dieppe et de NeufchĂątel-en-Bray, pĂ©riode de rĂ©colte de ces poires. En Catalogne, on fabrique des panellets petits pains, un dessert catalan traditionnel de la Toussaint, consommĂ© Ă  l’occasion de la Castanyada », fĂȘte populaire cĂ©lĂ©brĂ©e la veille ou le jour de la Toussaint, issue d’une ancienne fĂȘte rituelle existeraient depuis le XVIIĂš siĂšcle oĂč ils Ă©taient considĂ©rĂ©s comme un aliment bĂ©ni Ă  partager aprĂšs certaines fĂȘtes sacrĂ©es. Les panellets bĂ©nĂ©ficient depuis le 2 octobre 2008 de l’appellation europĂ©enne spĂ©cialitĂ© traditionnelle garantie » Une fois n’est pas coutume, Ma Cuisine Ancestrale s’invite chez nos voisins Grands-Bretons, pays des soul cakes traduction anglaiseAutrefois, les gĂąteaux de l’ñme Ă©taient distribuĂ©s aux enfants et aux pauvres qui allaient de porte en porte, mendiant l’aumĂŽne, le jour de la Toussaint . Chaque gĂąteau mangĂ© libĂšrerait une Ăąme du purgatoire cette Ă©ventualitĂ© m’enchanteLe don et la rĂ©ception des gĂąteaux de l’ñme ont commencĂ© au Moyen Âge et sont considĂ©rĂ©s comme Ă  l’origine du Trick or Treat » d’All Hallow’s Eve, une fĂȘte plus connue sous le nom d’Halloween et cĂ©lĂ©brĂ©e la veille de la Toussaint. Mais ça, c’est une autre histoire !Pour rĂ©aliser une trentaine de biscuits Composition CANVA Ma petite touche personnelle j’ai remplacĂ© le vinaigre de vin blanc par du vinaigre balsamique blanc que j’avais dans mon placard et j’ai ajoutĂ© une cuillĂšre Ă  soupe d’eau pour bien amalgamer la pĂąte. Ces sablĂ©s ressemblent beaucoup aux shortbreads
 So british et parfaits avec le thĂ© ! Ce serait merveilleux qu’en unissant notre goĂ»t pour la pĂątisserie d’autrefois, ces gĂąteaux libĂšrent les Ăąmes
 Rien ne nous empĂȘche d’y croire et en attendant notre prochain rendez-vous, rĂ©galez-vous ! Moi, c’est dĂ©jĂ  fait ! Sources Origine de la Toussaint et de la FĂȘte des morts Dictionnaire Larousse et gĂąteaux de l’ñme des niflettes de la salviata les-pap du pain de Bonifacio du pĂątĂ© aux poires de FisĂ©e des Panellets collection personnelle . 316 274 96 455 427 448 428 325

recette de la teurgoule normande confrerie